fournir une attestation de conformité électrique de son domicile, - remplir un certificat ou une attestation sur l'honneur en se basant sur un descriptif de conformité que doit lui fournir l'administration. L'administration dispose d'un
VĂ©rifiĂ© le 04 mars 2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministreLe tĂ©lĂ©travail est une activitĂ© professionnelle effectuĂ©e en tout ou partie hors des locaux de l'entreprise Ă  la demande du salariĂ© ou de l'employeur. Le salariĂ© en tĂ©lĂ©travail bĂ©nĂ©ficie de garanties tĂ©lĂ©travail dĂ©signe toute forme d'organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait Ă©galement pu ĂȘtre exĂ©cutĂ© dans les locaux de l'employeur est effectuĂ© par un salariĂ© hors de ces tĂ©lĂ©travail permet au salariĂ© de travailler en dehors de l'entreprise, en utilisant les technologies de l'information et de la communication TIC.Le tĂ©lĂ©travail permet ou impose au salariĂ© de travailler ailleurs que dans les locaux de son salariĂ© peut donc travailler À son domicileDans un tĂ©lĂ©centre titleContent, bureau partagĂ©Tout autre lieu pour les salariĂ©s effectuant de nombreux dĂ©placementsIl existe 2 formes de tĂ©lĂ©travail TĂ©lĂ©travail rĂ©gulier qui permet d'avoir une rĂ©gularitĂ© dans l'emploi du temps 1 Ă  2 jours par semaine par exemple. Ce dispositif est prĂ©cisĂ© dans l'accord collectif ou dans la charte Ă©laborĂ©e par l'employeur aprĂšs avis du CSE titleContent s'il occasionnel quelques jours ou semaines par an par exempleÀ savoir l'employeur peut imposer le tĂ©lĂ©travail en cas de circonstances exceptionnelles Ă©pidĂ©mie de Covid-19, par exemple.Le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre mis en place dans le cadre d'un accord collectif titleContent ou d'une charte Ă©laborĂ©e par l' l'absence d'accord collectif ou de charte, l'employeur et le salariĂ© peuvent convenir de recourir au collectif ou charteL'accord collectif ou la charte Ă©laborĂ©e par l'employeur doit prĂ©ciser les Ă©lĂ©ments suivants Conditions de passage en tĂ©lĂ©travail en cas d'Ă©pisode de pollution par exempleMode d'acceptation par le salariĂ© des conditions de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail et de retour Ă  une exĂ©cution du contrat de travail sans tĂ©lĂ©travailMode de contrĂŽle du temps de travail ou de rĂ©gulation de la charge de travailDĂ©termination des plages horaires durant lesquelles l'employeur peut habituellement contacter le salariĂ© en tĂ©lĂ©travailMode d'accĂšs des travailleurs handicapĂ©s au tĂ©lĂ©travailMode d'accĂšs des salariĂ©es enceintes au tĂ©lĂ©travailAccord entre l'employeur et le salariĂ©L'employeur et le salariĂ© peuvent, Ă  tout moment, convenir de recourir au formalisent leur accord par tout savoir en cas de circonstances exceptionnelles menace d'Ă©pidĂ©mie par exemple, le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre imposĂ© sans l'accord des salariĂ©s. Cette disposition s'applique aussi en cas de force majeure. Ces mesures peuvent ĂȘtre prises pour permettre la continuitĂ© de l'activitĂ© et garantir la protection des travailleurs. L'employeur doit informer le CSE titleContent de sa dĂ©cision, sans dĂ©lai et ensuite le consulter dĂšs que du comitĂ© social et Ă©conomique CSEDans les entreprises de plus de 50 salariĂ©s, le CSE doit ĂȘtre de tĂ©lĂ©travailL'employeur qui refuse d'accorder le tĂ©lĂ©travail Ă  un salariĂ© occupant un poste permettant d'en bĂ©nĂ©ficier dans les conditions prĂ©vues par accord collectif ou par charte, s'ils existent doit motiver sa l'absence d'accord collectif ou de charte, l'employeur n'a pas l'obligation de motiver son refus. Un accord collectif titleContent peut toutefois prĂ©voir cette de travailL'accord collectif ou la charte peut prĂ©voir l'obligation, pour l'employeur, de fournir les outils et matĂ©riels nĂ©cessaires au l'absence d'accord collectif ou charte, le salariĂ© peut utiliser son matĂ©riel informe le salariĂ© de toute restriction d'usage d'Ă©quipements ou outils informatiques ou de services de communication doit prĂ©venir l'utilisateur des sanctions en cas de non-respect de ces des donnĂ©esL'employeur a une obligation de protection des donnĂ©es utilisĂ©es et traitĂ©es par ses salariĂ©s, y compris le obligation s'applique que le tĂ©lĂ©travailleur utilise le matĂ©riel de l'employeur ou son propre annuelL'employeur doit organiser chaque annĂ©e un entretien qui porte notamment sur les conditions d'activitĂ© du salariĂ© et sa charge de gĂ©nĂ©rauxLe tĂ©lĂ©travailleur est un salariĂ© de l' bĂ©nĂ©ficie donc des mĂȘmes droits individuels et collectifs que l'ensemble des salariĂ©s AccĂšs Ă  la formationRespect de la vie privĂ©eSantĂ© et sĂ©curitĂ© au travailAccĂšs aux activitĂ©s sociales de l'entreprise, aux informations syndicales, aux avantages sociaux titres-restaurant, chĂšques vacances par exempleArrĂȘt du tĂ©lĂ©travailL'employeur et le salariĂ© peuvent, d'un commun accord, convenir de mettre fin au tĂ©lĂ©travail et organiser le retour du salariĂ© dans les locaux de l' conditions particuliĂšres de retour Ă  une exĂ©cution du contrat sans tĂ©lĂ©travail peuvent ĂȘtre prĂ©vus par l'accord collectif ou la charte applicable dans l' tĂ©lĂ©travailleur est prioritaire pour occuper ou reprendre un poste sans tĂ©lĂ©travail qui correspond Ă  ses qualifications et compĂ©tences employeur doit porter Ă  sa connaissance la disponibilitĂ© de tout poste de cette de tĂ©lĂ©travailLe refus pour le salariĂ© d'accepter de passer en tĂ©lĂ©travail n'est pas un motif de rupture du contrat de du travailL'accident survenu sur le lieu oĂč est exercĂ© le tĂ©lĂ©travail pendant l'exercice de l'activitĂ© professionnelle du tĂ©lĂ©travailleur est prĂ©sumĂ© ĂȘtre un accident de liĂ©s au tĂ©lĂ©travailL'employeur doit prendre en charge les frais engagĂ©s par un salariĂ© dans le cadre de l'exĂ©cution de son contrat de ce titre, il prend donc en charge les frais occasionnĂ©s par l'exercice du prise en charge peut s'effectuer sur la base des dĂ©penses rĂ©ellement engagĂ©es par le salariĂ© et justifiĂ©es factures Ă  l'appui. Elle peut Ă©galement s'effectuer par le versement d'une indemnitĂ© de transport domicile-lieu de travailL'employeur prend en charge 50 % du prix des titres d'abonnements du salariĂ© en tĂ©lĂ©travail pour ses dĂ©placements entre sa rĂ©sidence habituelle et son lieu de s'agit des services de transports publics tels que MĂ©troBusTramwayTrainLocation de vĂ©loLorsque le tĂ©lĂ©travail ne s'effectue que sur 1 ou 2 jours par semaine, la prise en charge par l'employeur est identique Ă  celle d'un salariĂ© qui est en permanence dans l'entreprise. Le montant de l'abonnement n'est pas ? RĂ©ponses !Cette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?
Ildoit notamment rĂ©pondre aux rĂšgles de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique. L’agent est garant de cette conformitĂ© et fournit pour cela une attestation sur l’honneur. Pour que le tĂ©lĂ©travail puisse avoir lieu, l’agent devra Ă©galement justifier que les locaux sont couverts par une assurance habitation permettant l’exercice de cette activitĂ© (selon les assureurs, cela peut gĂ©nĂ©rer un
Articles de l'accord Exemples de clauses PrĂ©ambule AmĂ©lioration de la productivitĂ© Les nouvelles technologies en matiĂšre d’outils de tĂ©lĂ©communication Ă  distance conduisent Ă  impulser de nouvelles dynamiques visant Ă  travailler autrement, tout en repensant notamment les espaces de vie au travail, et en associant souplesse et rĂ©activitĂ© Acc. Relatif au tĂ©lĂ©travail. France Air du 21/03/2019. RĂ©duction de l’impact Ă©cologique Il rĂ©pond aux engagements de l’entreprise en matiĂšre de responsabilitĂ© sociale et environnementale par la rĂ©duction de l’impact carbone des transports Acc. Relatif au travail distanciĂ©. Caisse d’épargne du 3/04/2019. Meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle Ce dispositif de tĂ©lĂ©travail rĂ©pond Ă©galement un double objectif de performance et d’amĂ©lioration de la qualitĂ© de vie des salariĂ©s, en favorisant une meilleure conciliation entre la vie professionnelle et la vie privĂ©e, en limitant les trajets, la fatigue, le stress et les risques associĂ©s, tout en maintenant le lien social avec l’entreprise Acc. Relatif au tĂ©lĂ©travail. France Air du 21/03/2019. Conditions de passage en tĂ©lĂ©travail Article 1 pĂ©rimĂštre d'application de l'accord Les dispositions du prĂ©sent accord sont applicables Ă  l’ensemble des salariĂ©s cadres et non cadres de l’entreprise CARGLASS en France qui sont Ă©ligibles au dispositif du tĂ©lĂ©travail tels que dĂ©finis ci-aprĂšs. A date, il s’agit des fonctions dites support et commerciales de l’entreprise rattachĂ©es au siĂšge social de l’entreprise et qui remplissent les conditions d’éligibilitĂ© ci-dessous. Acc. TĂ©lĂ©travail Carglass du 15/01/2019. Article 2 conditions d'Ă©ligibilitĂ© au tĂ©lĂ©travail Les critĂšres d’éligibilitĂ© sont, entre autres - la nature du travail, qui peut ĂȘtre ou non rĂ©alisĂ© en tĂ©lĂ©travail. Sont ainsi exclus les salariĂ©s dont les fonctions ou les tĂąches exigent, par nature, une prĂ©sence physique permanente dans les locaux de l’entreprise ou chez le client ; - la capacitĂ© du salariĂ© Ă  travailler de façon rĂ©guliĂšre Ă  distance ; - la configuration de l’équipe ; - les fonctions ou tĂąches n’impliquant pas l’accĂšs et /ou le traitement de certaines donnĂ©es Ă  caractĂšre confidentiel soumises Ă  des conditions de sĂ©curitĂ©. Les parties rappellent que l’exercice de l’activitĂ© du salariĂ© en tĂ©lĂ©travail ne doit pas aller Ă  l’encontre de la bonne continuitĂ© du service ou de la bonne rĂ©alisation de la mission Acc. Relatif au tĂ©lĂ©travail. SociĂ©tĂ© EXTIA 18/01/2019. Les salariĂ©s occupant des fonctions opĂ©rationnelles dites de terrain » sont exclus de ce dispositif » Acc. TĂ©lĂ©travail. AdĂšne Groupe du 26/10/2018. Article 3 conditions de passage en tĂ©lĂ©travail en cas de pollution En cas d’épisode de pollution mentionnĂ© Ă  l’article du Code de l’environnement associĂ© Ă  des consignes des services de l’Etat sur la limitation des dĂ©placements, d’intempĂ©ries majeures ou de grĂšves nationales dans les transports communs publics, le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre organisĂ© de maniĂšre exceptionnelle pour des salariĂ©s ayant la possibilitĂ© matĂ©rielle et fonctionnelle de tĂ©lĂ©travailler dans les conditions du prĂ©sent accord mais ne bĂ©nĂ©ficiant pas du tĂ©lĂ©travail rĂ©gulier ou n’étant pas planifiĂ©s en tĂ©lĂ©travail pour la ou les journĂ©es impactĂ©es par l’épisode de pollution. Ce tĂ©lĂ©travail exceptionnel devra ĂȘtre autorisĂ© par le manager au plus tard et dans la mesure du possible la veille de la journĂ©e tĂ©lĂ©travaillĂ©e pour cause de pic de pollution, d’intempĂ©ries majeures ou de grĂšve nationale dans les transports publics. Le manager devra s’assurer des missions qui pourront ĂȘtre rĂ©alisĂ©es lors de la ou des journĂ©es de tĂ©lĂ©travail exceptionnel. Acc. TĂ©lĂ©travail, Carglass du 15/01/2019. Article 4 lieu d'exĂ©cution du tĂ©lĂ©travail Le tĂ©lĂ©travail peut se pratiquer dans le lieu de vie habituel ou dans un second lieu privĂ©. Cet ces espaces doit doivent ĂȘtre conformes aux rĂšgles de sĂ©curitĂ© Ă©lectriques. Une dĂ©claration sur l’honneur de conformitĂ© Ă©lectrique sera ainsi fournie par le salariĂ© en tĂ©lĂ©travail. Il remettra Ă  son employeur une attestation de conformitĂ© Ă©lectrique. Acc. tĂ©lĂ©travail Bayard presse du 30/01/2019. Article 5 Assurance du lieu de tĂ©lĂ©travail Le salariĂ© a la responsabilitĂ© d’informer son assurance de la rĂ©alisation de tĂ©lĂ©travail Ă  son domicile afin de s’assurer que son assurance habitation couvre bien sa prĂ©sence dans cette activitĂ© et le matĂ©riel mis Ă  sa disposition. Le salariĂ© remet une attestation de son assurance Ă  son employeur avant le dĂ©but du tĂ©lĂ©travail. L’entreprise prendra en charge l’éventuel surcout sur prĂ©sentation d’une facture acquittĂ©e de la compagnie d’assurances. Acc. TĂ©lĂ©travail. Lagarder thematiques du 7/02/2019. Article 6 organisation du tĂ©lĂ©travail Afin de prĂ©server le lien social avec l’entreprise, la cohĂ©sion et le bon fonctionnement des Ă©quipes, le tĂ©lĂ©travail est limitĂ© de telle sorte que le salariĂ© est prĂ©sent dans l’entreprise au moins 4 jours par semaine Acc. TĂ©lĂ©travail Canal+ 22/01/2019. En cas de passage au tĂ©lĂ©travail, la durĂ©e du travail du salariĂ© demeurera identique Ă  celle de son contrat de travail initial. Acc. TĂ©lĂ©travail. Lagarder thematiques du 7/02/2019. ModalitĂ©s d'acceptation par le salariĂ© Article 7 procĂ©dure de passage en tĂ©lĂ©travail Le tĂ©lĂ©travail revĂȘt un caractĂšre volontaire et l’initiative de sa demande revient au collaborateur. Le passage en tĂ©lĂ©travail est nĂ©anmoins subordonnĂ© Ă  l’accord du manager et de la DRH. Par consĂ©quent, le collaborateur qui souhaite bĂ©nĂ©ficier de ce mode d’organisation du travail doit en faire la demande Ă©crite par courriel ou par courrier auprĂšs de son manager et de sa DRH Acc. TĂ©lĂ©travail Canal+ 22/01/2019. Le responsable hiĂ©rarchique qui refuse d’accorder le tĂ©lĂ©travail Ă  un salariĂ© qui occupe un poste Ă©ligible au tĂ©lĂ©travail doit motiver sa rĂ©ponse. Acc. relatif au tĂ©lĂ©travail. France Air du 21/03/2019. Article 8 accĂšs au tĂ©lĂ©travail pour des salariĂ©s en situation de handicap Outre les demandes formulĂ©es Ă  l’appui de prĂ©conisations de la mĂ©decine du travail, les critĂšres d’éligibilitĂ© du salariĂ© en situation de handicap seront Ă©tudiĂ©s en concertation avec le manager, le salariĂ© et son gestionnaire RH. Par ailleurs, il est prĂ©vu de mettre en place des amĂ©nagements et du matĂ©riel adaptĂ©, en application des prĂ©conisations du mĂ©decin du travail. Une prioritĂ© est accordĂ©e aux travailleurs handicapĂ©s, lors du passage en tĂ©lĂ©travail, en cas de circonstances exceptionnelles Acc. TĂ©lĂ©travail UES CAL&F du 8/02/2019. Conditions de retour Ă  une situation sans tĂ©lĂ©travail Article 9 conditions de retour Ă  une exĂ©cution sur site Le salariĂ© peut mettre fin Ă  tout moment Ă  sa situation de tĂ©lĂ©travail en respectant un dĂ©lai de prĂ©venance de 15 jours calendaires, signifiĂ© par Ă©crit. Le manager peut mettre fin au travail d’un de ses collaborateurs notamment si l’un des motifs de refus, inexistant au moment de la signature de l’avenant, est survenu en cours de pĂ©riode. Le dĂ©lai de prĂ©venance est alors fixĂ© Ă  15 jours calendaires et est signifiĂ© par Ă©crit Acc. TĂ©lĂ©travail Onet du 28/06/2018 ModalitĂ©s de contrĂŽle du temps de travail ou de rĂ©gularisation de la charge de travail Article 10 modalitĂ©s de contrĂŽle du temps de travail Pour pouvoir contrĂŽler le temps de travail effectuĂ© ainsi que les durĂ©es maximales de travail et des temps minimaux de repos, le tĂ©lĂ©travailleur hors cas des salariĂ©s au forfait annuel en jours relĂšvera ses horaires de travail pour chaque jour travaillĂ© Ă  son domicile et transmettra ce relevĂ© Ă  la direction. Par ailleurs, la direction s’engage Ă  ce que la charge de travail et les dĂ©lais d’exĂ©cution soient Ă©valuĂ©s suivant les mĂȘmes que celles utilisĂ©es pour les travaux exĂ©cutĂ©s dans les travaux de la sociĂ©tĂ©. Les heures supplĂ©mentaires ne sont pas autorisĂ©es, sauf demande formalisĂ©e de la direction Acc. TĂ©lĂ©travail SociĂ©tĂ© Thales du 5/02/2019. DĂ©termination des plages horaires durant lesquelles l’employeur peut habituellement contacter le salariĂ© en tĂ©lĂ©travail Article 11 plages horaires oĂč le tĂ©lĂ©travailleur est joignable La sociĂ©tĂ© est attachĂ©e au respect de la vie privĂ©e de ses salariĂ©s. A cet effet, le salariĂ© ne pourra ĂȘtre joint avant 8h, ni au-delĂ  de 19h. Dans le respect du principe de conciliation vie professionnelle et vie personnelle, et en dehors des cas exceptionnels, le management en gĂ©nĂ©ral et tout salariĂ© en particulier, veillera Ă  respecter les horaires de travail de son Ă©quipe et, dans le cas des salariĂ©s au forfait, les plages ci-avant Ă©voquĂ©es. Droit ou statut du tĂ©lĂ©travailleur Article 12 Ă©quipement mis Ă  disposition L’entreprise mettra Ă  disposition des collaborateurs en tĂ©lĂ©travail, s’ils n’en disposent pas dĂ©jĂ , un ordinateur portable professionnel en lieu et place de leur ordinateur fixe. Le transfert d’appel tĂ©lĂ©phonique vers la ligne fixe du collaborateur sera opĂ©rĂ©. Dans le cas d’une impossibilitĂ© temporaire d’accomplir ses fonctions en tĂ©lĂ©travail Ă  domicile, notamment en cas de panne ou de mauvais fonctionnement des Ă©quipements de travail, le collaborateur devra en informer son manager dans les plus brefs dĂ©lais afin de convenir des modalitĂ©s de poursuite de son travail au domicile ou sur site. Acc. TĂ©lĂ©travail Canal+ 22/01/2019. Article 13 prise en charge des coĂ»ts liĂ©s au tĂ©lĂ©travail Les frais liĂ©s Ă  l’exercice du tĂ©lĂ©travail frais d’abonnement Ă  Internet, frais d'Ă©lectricité  sont pris en charge par l’Entreprise Ă  hauteur de 20 euros bruts par mois. Cette somme est versĂ©e sur le bulletin de paye aux tĂ©lĂ©travailleurs, quel que soit le nombre de jours de tĂ©lĂ©travail prĂ©vu dans l’avenant et le nombre de jours de tĂ©lĂ©travail effectuĂ© dans le mois. Elle est soumise Ă  cotisations sociales et impĂŽt sur le revenu. Les frais de repas du tĂ©lĂ©travailleur ne sont pas pris en charge, sauf disposition spĂ©cifique plus favorable applicable dans l’Entreprise pour leurs salariĂ©s travaillant en dehors des locaux habituels de travail. Acc. TĂ©lĂ©travail Natixis du 12/11/2018. Article 14 formation et assistance Le salariĂ© et le manager peuvent bĂ©nĂ©ficier prĂ©alablement Ă  la mise en Ɠuvre effective du tĂ©lĂ©travail d’une formation technique Ă  l'utilisation des solutions informatiques et de tĂ©lĂ©phonie mises Ă  leur disposition. Ils bĂ©nĂ©ficient d'un appui technique tant pour l'installation des outils sur le poste de travail que pour l'utilisation des systĂšmes mis Ă  leur disposition hotline informatique. Un guide contenant des recommandations et informations sur le tĂ©lĂ©travail est accessible sur l’Intranet. Une rubrique spĂ©cifique dĂ©diĂ©e au tĂ©lĂ©travail existe sur l’Intranet. Acc. TĂ©lĂ©travail UES CAL&F du 8/02/2019 Article 15 droit Ă  la dĂ©connexion Les parties souhaitent Ă©galement rappeler que l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication NTIC mises Ă  disposition des salariĂ©s doit respecter la vie personnelle de chacun. A cet effet, il est rappelĂ© que, tant le responsable hiĂ©rarchique que le salariĂ© doivent respecter le droit Ă  une dĂ©connexion des outils de communication Ă  distance pendant les pĂ©riodes de repos hebdomadaires et quotidien. Si une utilisation anormale des outils de communication Ă  distance est constatĂ©e, l’employeur prend toute disposition utile pour permettre d’y remĂ©dier. Acc. TĂ©lĂ©travail SociĂ©tĂ© EXTIA du 18/01/2019 Article 16 hygiĂšne, santĂ© et sĂ©curitĂ© Les dispositions lĂ©gales et conventionnelles relatives Ă  la santĂ© et Ă  la sĂ©curitĂ© au travail sont applicables au tĂ©lĂ©travailleur. Le tĂ©lĂ©travail doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© dans un environnement propre au travail et Ă  la concentration. En cas d'accident, pendant les heures travaillĂ©es, le tĂ©lĂ©travailleur prĂ©vient immĂ©diatement et dans tous les cas, sa hiĂ©rarchie et la Direction des ressources humaines de l'entreprise. Afin de vĂ©rifier la bonne application des dispositions applicables en matiĂšre de santĂ© et de sĂ©curitĂ© au travail, l'employeur ou son reprĂ©sentant et un ou plusieurs Ă©lus du CSE membres de la Commission SSCT, ainsi que les autoritĂ©s administratives compĂ©tentes pourront demander Ă  avoir accĂšs au domicile du tĂ©lĂ©travailleur. Cet accĂšs est subordonnĂ© Ă  une notification Ă  l'intĂ©ressĂ© qui doit prĂ©alablement donner son accord, et Ă  un dĂ©lai de prĂ©venance de 2 jours ouvrĂ©s minimum Acc. TĂ©lĂ©travail bouygues bĂątiment International du 20/12/2018. Article 17 confidentialitĂ© et protection des donnĂ©es Le collaborateur en tĂ©lĂ©travail s’engage Ă  respecter les rĂšgles de sĂ©curitĂ© informatique et de confidentialitĂ© en vigueur dans l’entreprise. Il est notamment tenu au strict respect de la charte informatique conditions d’utilisation des matĂ©riels et des moyens informatiques, dĂšs lors qu’il utilise une ressource du systĂšme d’information de l’entreprise. Il doit assurer l’intĂ©gritĂ©, la disponibilitĂ© et la confidentialitĂ© des informations et donnĂ©es qui lui sont confiĂ©es, auxquelles il a accĂšs ou qu’il crĂ©e dans le cadre du tĂ©lĂ©travail, sur tout support et par tout moyen et notamment sur papier, oralement ou Ă©lectroniquement Acc. TĂ©lĂ©travail Canal+ 22/01/2019. Article 18 droits collectifs et Ă©galitĂ© de traitement Le collaborateur en tĂ©lĂ©travail bĂ©nĂ©ficie des mĂȘmes droits et avantages lĂ©gaux et conventionnels que ceux applicables aux salariĂ©s en situation comparable travaillant dans les locaux de l’entreprise. Ainsi, l’ensemble des rĂšgles applicables en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration, d’évaluation des rĂ©sultats, d’accĂšs Ă  la formation, d’accĂšs Ă  l’information, gestion de carriĂšre, d’accĂšs Ă  la formation de l’entreprise sont identiques Ă  celles des personnes en situation comparable travaillant dans les locaux de l’entreprise. Acc. TĂ©lĂ©travail canal + du 22/01/2019

Un certificat de conformitĂ© ou Ă  dĂ©faut une attestation sur l’honneur justifiant que l’installation Ă©lectrique de son espace de travail est conforme aux normes en vigueur ; - Une attestation de l’assurance auprĂšs de laquelle il a souscrit son contrat d’assurance multirisques habitation prĂ©cisant qu’elle couvre l’exercice du tĂ©lĂ©travail au domicile ; - Une attestation sur

Quelles sont les restrictions qui s’appliquent aux voyageurs en provenance de pays hors de l’espace europĂ©en ? Pour les pays au sein desquels la circulation du virus est peu importante Une liste de pays dans lesquels la circulation du virus est peu importante a Ă©tĂ© Ă©tablie Australie, CorĂ©e du sud, Japon, Nouvelle-ZĂ©lande, Rwanda, ThaĂŻlande et voyageurs en provenance de ces pays ne font plus l’objet de restriction Ă  leur entrĂ©e sur le territoire liste fera l’objet d’une actualisation rĂ©guliĂšre, au minimum tous les 15 jours, en lien avec nos partenaires europĂ©ens, en tenant compte de la recommandation du Conseil de l’Union europĂ©enne, de l’évolution de la situation sanitaire et du respect de la les pays au sein desquels la circulation du virus est toujours trĂšs active Les voyageurs souhaitant entrer sur le territoire français, en provenance d’un pays au sein duquel le virus circule toujours de maniĂšre trĂšs active, doivent se munir de plusieurs documents avant de voyager Une dĂ©claration sur l’honneur attestant qu’ils ne prĂ©sentent pas de symptĂŽme d’infection au Covid-19 et qu’ils n’ont pas connaissance d’avoir Ă©tĂ© en contact avec un cas confirmĂ© de Covid-19 dans les quatorze jours prĂ©cĂ©dant le vol Une attestation de dĂ©placement dĂ©rogatoire vers la France mĂ©tropolitaine depuis les pays tiers Un ou plusieurs documents permettant de justifier le motif du dĂ©placement Les voyageurs en provenance de pays dans lesquels il est possible de faire des tests dans les 72 heures prĂ©cĂ©dant le dĂ©part Etats-Unis, Emirats Arabes Unis, Panama BahreĂŻn, Afrique du Sud, AlgĂ©rie, Chine, Équateur, Irak, Iran, IsraĂ«l, Liban, Maroc, RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo, Russie, Turquie, Ukraine et Zimbabwe* Doivent obligatoirement prĂ©senter les rĂ©sultats de leur test de dĂ©pistage virologique, qui est contrĂŽlĂ© avant l’embarquement par les compagnies aĂ©riennes. Pour les voyageurs en provenance de pays dans lesquels il est difficile ou impossible de faire des tests dans les 72 heures prĂ©cĂ©dant le dĂ©part Argentine, ArmĂ©nie, Bosnie-HerzĂ©govine, BrĂ©sil, Chili, Colombie, Costa Rica, Inde, Kosovo, KoweĂŻt, Madagascar, Maldives, Mexique, Moldavie, MontĂ©nĂ©gro, Oman, PĂ©rou, Qatar, RĂ©publique dominicaine, Serbie, Territoires palestiniens, Aruba, Bahamas, Belize, Cap-Vert, Guyana, Libye, Paraguay*, un accueil sanitaire spĂ©cifique est mis en place, en amont du contrĂŽle frontiĂšre, organisĂ© par l’Agence rĂ©gionale de SantĂ©. Les voyageurs sont systĂ©matiquement dirigĂ©s Ă  leur arrivĂ©e Ă  l’aĂ©roport vers les Ă©quipes du dispositif sanitaire » chargĂ©es de procĂ©der Ă  un test PCR. Si les voyageurs refusent de rĂ©aliser le test Ă  leur arrivĂ©e Ă  l’aĂ©roport, le dispositif sanitaire sollicite alors un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de placement en quarantaine. *Ces listes feront l’objet d’une actualisation rĂ©guliĂšre, au minimum tous les 15 les pays non citĂ©s ci-dessus au sein desquels la circulation du virus est toujours active Les voyageurs souhaitant entrer sur le territoire français, en provenance d’un pays au sein duquel le virus circule toujours de maniĂšre active, doivent se munir de plusieurs documents avant de voyager Une dĂ©claration sur l’honneur attestant qu’ils ne prĂ©sentent pas de symptĂŽme d’infection au Covid-19 et qu’ils n’ont pas connaissance d’avoir Ă©tĂ© en contact avec un cas confirmĂ© de Covid-19 dans les quatorze jours prĂ©cĂ©dant le vol* Une attestation de dĂ©placement dĂ©rogatoire vers la France mĂ©tropolitaine depuis les pays tiers* Un ou plusieurs documents permettant de justifier le motif du dĂ©placement Le rĂ©sultat d’un examen biologique de dĂ©pistage virologique rĂ©alisĂ© dans les trois jours avant l’embarquement. Si les rĂ©sultats du test prĂ©sentĂ© aux autoritĂ©s est nĂ©gatif, les voyageurs peuvent alors circuler librement sur le territoire français. Si les voyageurs n’ont pas rĂ©alisĂ© de test de dĂ©pistage du Covid-19, il leur est conseillĂ© de respecter une quatorzaine volontaire et de respecter les mesures de prĂ©cautions figurant sur le flyer qui leur sera remis Ă  l’arrivĂ©e. Si les voyageurs souhaitent rĂ©aliser immĂ©diatement un test Ă  leur arrivĂ©e, ils pourront alors utiliser les points organisĂ©s par les ARS dans les aĂ©roports. *Ces documents sont disponibles sur le site du ministĂšre de l’IntĂ©rieur .
Fournir une attestation sur l’honneur justifiant de disposer d’un diagnostic de conformitĂ© des installations Ă©lectriques. d) Les agents ayant des restrictions mĂ©dicales ou des amĂ©nagements de travail Le tĂ©lĂ©travail peut permettre de favoriser le
ï»ż403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID kYbwUqrJ8JA4-grj2lH7f4vRUgLJbFP8S_e0jqJbB7bk5rzkpQ0EhQ==

LetĂ©lĂ©travailleur fournit un certificat de conformitĂ© Ă©lectrique ou, Ă  dĂ©faut, une attestation sur l'honneur justifiant de la conformitĂ© de l'installation Ă©lectrique de son espace de travail Ă  la norme NF C 15-100 [] A dĂ©faut de produire de tels documents, l'agent ne pourra ĂȘtre autorisĂ© Ă  exercer ses activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail.

Version initiale Le ministre des outre-mer et le ministre dĂ©lĂ©guĂ© auprĂšs du ministre de l'Ă©conomie, des finances et de la relance, chargĂ© des comptes publics,Vu le code des transports, notamment son article L. 1803-10 ;Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiĂ©e portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiĂ©e portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat ;Vu la loi n° 2012-347 du 12 mars 2012 modifiĂ©e relative Ă  l'accĂšs Ă  l'emploi titulaire et Ă  l'amĂ©lioration des conditions d'emploi des agents contractuels dans la fonction publique, Ă  la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives Ă  la fonction publique, notamment son article 133 ;Vu le dĂ©cret n° 82-453 du 28 mai 1982 modifiĂ© relatif Ă  l'hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ© du travail ainsi qu'Ă  la prĂ©vention mĂ©dicale dans la fonction publique ;Vu le dĂ©cret n° 2015-1925 du 30 dĂ©cembre 2015 portant statut de l'Ă©tablissement public administratif dĂ©nommĂ© l'Agence de l'outre-mer pour la mobilitĂ© LADOM ;Vu le dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 modifiĂ© relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature ;Vu l'avis du comitĂ© technique de l'Agence de l'outre-mer pour la mobilitĂ© en date du 22 juillet 2020,ArrĂȘtent Le prĂ©sent arrĂȘtĂ© est applicable aux agents publics affectĂ©s au sein de l'Agence de l'outre-mer pour la mobilitĂ© LADOM.Le tĂ©lĂ©travail se dĂ©finit comme toute forme d'organisation du travail dans laquelle les fonctions qui auraient pu ĂȘtre exercĂ©es par un agent dans les locaux oĂč il est affectĂ© sont rĂ©alisĂ©es hors de ces locaux en utilisant les technologies de l'information et de la communication ».L'ensemble des activitĂ©s exercĂ©es par les agents mentionnĂ©s Ă  l'article 1er sont Ă©ligibles au tĂ©lĂ©travail, Ă  l'exclusion des activitĂ©s qui nĂ©cessitent d'assurer un accueil physique du public et de celles listĂ©es par l'autoritĂ© des fonctions en tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre suspendu Ă  l'occasion d'une rĂ©organisation du service nĂ©cessitant la prĂ©sence des agents sur site, de façon temporaire, par dĂ©cision, prise aprĂšs avis du comitĂ© technique, du directeur gĂ©nĂ©ral de agents peuvent demander le regroupement de leurs activitĂ©s tĂ©lĂ©travaillables afin de permettre la mise en Ɠuvre des dispositions du prĂ©sent matiĂšre d'hygiĂšne et de sĂ©curitĂ©, les agents en tĂ©lĂ©travail sont soumis Ă  la rĂ©glementation en vigueur dans le service oĂč ils exercent leurs prĂ©vention des risques professionnels liĂ©s au tĂ©lĂ©travail est transcrite dans le document unique d'Ă©valuation des risques professionnels de chaque dĂ©lĂ©gation du comitĂ© d'hygiĂšne, de sĂ©curitĂ© et des conditions de travail peut rĂ©aliser la visite prĂ©vue Ă  l'article 52 du dĂ©cret du 28 mai 1982 susvisĂ© sur le lieu d'exercice des fonctions en comitĂ© d'hygiĂšne, de sĂ©curitĂ© et des conditions de travail dĂ©finit les modalitĂ©s de la visite et notamment le dĂ©lai de prĂ©venance qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă  une - Les agents exerçant leurs fonctions en tĂ©lĂ©travail bĂ©nĂ©ficient des mĂȘmes droits et obligations que les agents exerçant sur leur lieu d' - Les agents en tĂ©lĂ©travail sont soumis Ă  la rĂ©glementation en vigueur dans le service oĂč ils exercent leurs durĂ©e quotidienne de travail est dĂ©comptĂ©e forfaitairement. Elle correspond au temps de travail habituel de l'agent concernĂ©, pour ĂȘtre en adĂ©quation avec son cycle de travail - Le tĂ©lĂ©travail s'organise sur une pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence qui est hebdomadaire ou mensuelle. Les jours de tĂ©lĂ©travail dans la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence peuvent ĂȘtre - fixĂ©s de façon permanente ;- un volume de jours flottants dĂ©fini d'un commun accord entre l'agent et le directeur gĂ©nĂ©ral de LADOM, aprĂšs avis favorable du supĂ©rieur hiĂ©rarchique quotitĂ© des fonctions pouvant ĂȘtre exercĂ©es sous la forme du tĂ©lĂ©travail et la rĂ©partition des jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s sont dĂ©terminĂ©es respectivement par les articles 3 et 2-1 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s ne sont pas reportables, sauf dans le cadre d'attribution de jours flottants, ou Ă  titre exceptionnel, en cas d'attribution de jours fixes, si le report est demandĂ© par son responsable de service en raison d'une nĂ©cessitĂ© du service dĂ»ment matĂ©riel mis Ă  disposition pour l'accomplissement des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail doit respecter les spĂ©cificitĂ©s techniques dĂ©finies par le responsable du service informatique de du matĂ©riel informatique personnel de l'agent est limitĂ© au cas de recours dĂ©terminĂ© par l'alinĂ©a 4 de l'article 6 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 susvisĂ© et Ă  la condition expresse qu'aucun matĂ©riel informatique professionnel ne lui ait Ă©tĂ© tĂ©lĂ©travail revĂȘt un caractĂšre volontaire. Il ne peut ĂȘtre imposĂ© Ă  l'agent par l' formule sa demande Ă©crite auprĂšs du directeur gĂ©nĂ©ral de LADOM aprĂšs avis de son supĂ©rieur hiĂ©rarchique direct portant notamment sur la compatibilitĂ© de la demande avec l'intĂ©rĂȘt du demande comporte le nombre de jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s et prĂ©cise les modalitĂ©s d'organisation souhaitĂ©es du tĂ©lĂ©travail ainsi que le ou les lieux d'exercice du le tĂ©lĂ©travail s'organise au domicile, l'agent accompagne sa demande de tĂ©lĂ©travail des documents suivants 1° Un certificat de conformitĂ© justifiant que l'installation Ă©lectrique de son espace de travail est conforme aux normes en vigueur ;2° Une attestation sur l'honneur prĂ©cisant qu'il dispose d'un espace adaptĂ© et qu'il travaille dans de bonnes conditions d'ergonomie ;3° Une attestation sur l'honneur prĂ©cisant qu'il dispose d'une connexion internet permettant l'exercice du dĂ©faut de produire ces documents, l'agent ne peut ĂȘtre autorisĂ© Ă  exercer ses fonctions en individuelle d'exercer ses fonctions en tĂ©lĂ©travail est accordĂ©e par le directeur gĂ©nĂ©ral de individuelle d'exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail comporte les mentions prĂ©vues Ă  l'article 8 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 susvisĂ© ainsi que celles prĂ©cisĂ©es Ă  l'article 6 du prĂ©sent individuelle d'exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail mentionne le matĂ©riel mis Ă  disposition de l' charte d'utilisation par les agents de LADOM des moyens et outils technologiques de l'information et de la communication est annexĂ©e Ă  l'autorisation individuelle d'exercice des fonctions en formation Ă  l'utilisation des Ă©quipements et outils nĂ©cessaires Ă  l'exercice du tĂ©lĂ©travail est proposĂ©e Ă  l'agent autorisĂ© Ă  peut ĂȘtre mis fin Ă  l'autorisation individuelle d'exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article 5 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 individuelle d'exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre suspendue, avec un prĂ©avis minimal qui pourra ĂȘtre infĂ©rieur Ă  un mois, en cas de dysfonctionnement persistant du matĂ©riel mis Ă  disposition ou en cas de prend Ă  sa charge le coĂ»t de l'Ă©tablissement du certificat de conformitĂ© mentionnĂ© au 1° de l'article directeur gĂ©nĂ©ral de LADOM peut prĂ©ciser les modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail par dĂ©cision aprĂšs avis du comitĂ© prĂ©sent arrĂȘtĂ© sera publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique le 29 dĂ©cembre ministre des outre-mer,Pour le ministre et par dĂ©lĂ©gation La directrice gĂ©nĂ©rale des outre-mer,S. BrocasLe ministre dĂ©lĂ©guĂ© auprĂšs du ministre de l'Ă©conomie, des finances et de la relance, chargĂ© des comptes publics,Pour le ministre et par dĂ©lĂ©gation Le sous-directeur de la 8e sous-direction de la direction du budget, OleronExtrait du Journal officiel Ă©lectronique authentifiĂ© PDF - 192,6 KoRetourner en haut de la page

niveaudu tableau Ă©lectrique pour ĂȘtre raccordĂ©s Ă  une borne de terre de l’immeuble. Je fournis une attestation de conformitĂ© dĂ©livrĂ©e par un organisme professionnel pour chacun des lieux de tĂ©lĂ©travail Ou Ă  dĂ©faut J'atteste sur l'honneur que les

Le tĂ©lĂ©travail attire de plus en plus les salariĂ©s. De nombreuses entreprises et administrations n’hĂ©sitent plus Ă  franchir le pas. Des rĂšgles sont toutefois Ă  respecter, notamment au niveau des conditions de travail. La conformitĂ© de l’installation Ă©lectrique est un point essentiel Ă  vĂ©rifier. Le recours Ă  un diagnostiqueur immobilier peut aider Ă  prĂ©venir les accidents et les litiges. Le tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique Les modalitĂ©s de mise en place du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique ont fait l’objet de plusieurs arrĂȘtĂ©s. Le dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 imposait Ă  chaque ministĂšre de publier un arrĂȘtĂ© sur le tĂ©lĂ©travail d’ici la fin de la mĂȘme annĂ©e. Ce rĂ©sultat est le fruit d’un processus engagĂ© en mars 2012 par la loi Sauvadet qui avait entre autres objectifs de dĂ©velopper fortement le tĂ©lĂ©travail dans l’administration. En 2017, les conditions de mise en oeuvre sont donc clairement dĂ©finies. MĂȘme si chaque ministĂšre est libre de fixer des rĂšgles particuliĂšres, certains points ont Ă©tĂ© traitĂ©s de façon trĂšs homogĂšne, notamment en ce qui concerne L’énoncĂ© des activitĂ©s inĂ©ligibles au tĂ©lĂ©travail Les conditions d’accĂšs au tĂ©lĂ©travail Le dĂ©bit minimal de la connexion internet L’existence d’un espace de travail adaptĂ© En ce qui concerne les conditions d’accĂšs au tĂ©lĂ©travail, l’agent doit fournir un certificat de conformitĂ© de l’installation Ă©lectrique de son domicile. A dĂ©faut, il doit signer une attestation sur l’honneur, sans plus de prĂ©cisions sur son contenu. Le domicile n’est pas le seul lieu oĂč peut s’exercer le tĂ©lĂ©travail. Certaines administrations prĂ©fĂšrent que leurs agents tĂ©lĂ©travaillent Ă  partir de tiers lieux bĂątiments publics ou associatifs, locaux professionnels distincts, tĂ©lĂ©centres publics agréés. Le tĂ©lĂ©travail dans le secteur privĂ© Si prĂšs de 75 % des salariĂ©s souhaiteraient pratiquer le tĂ©lĂ©travail, de nombreux employeurs restent rĂ©ticents Ă  mettre ce systĂšme en place. DĂšs 2005, certains principes avaient Ă©tĂ© dĂ©finis, notamment concernant la conformitĂ© des installations Ă©lectriques du domicile du salariĂ©. Un nouveau cadre juridique a Ă©tĂ© dressĂ© en 2012 pour Ă©tablir des rĂšgles claires, satisfaisantes pour les deux parties. La notion de tĂ©lĂ©travail est dĂ©finie dans l’article L 1222-9 du code du Travail. Il s’agit de rĂ©aliser de maniĂšre rĂ©guliĂšre et volontaire des tĂąches qui auraient pu ĂȘtre exĂ©cutĂ©es dans les locaux de l’entreprise, hors de ces locaux, au moyen de technologies de l’information et de la communication. Cette modalitĂ© doit ĂȘtre Ă©noncĂ©e dans le contrat de travail ou faire l’objet d’un avenant. S’il existe un comitĂ© d’entreprise, celui-ci doit ĂȘtre consultĂ© au prĂ©alable. Un accord peut Ă©ventuellement ĂȘtre signĂ©. Le tĂ©lĂ©travail n’est en aucun cas un droit. Tout employeur peut refuser sa mise en place ou en limiter l’accĂšs. L’avenant au contrat de travail, une obligation Si le tĂ©lĂ©travail n’est pas prĂ©vu dĂšs la signature du contrat de travail, la rĂ©daction d’un avenant est indispensable. Celui-ci doit fixer les modalitĂ©s de mise en place et de fin Ă©ventuelle du dispositif. L’objectif est de pouvoir contrĂŽler le temps de travail et d’assurer une couverture en cas d’accident du travail. Le point concernant l’état de l’installation Ă©lectrique est essentiel puisque tĂ©lĂ©travailler signifie utiliser du matĂ©riel Ă©lectrique et Ă©lectronique. Il s’agit de prĂ©venir les accidents et les dĂ©tĂ©riorations sur le matĂ©riel qui doit ĂȘtre, dans le cas gĂ©nĂ©ral, fourni par l’employeur. La conformitĂ© de l’installation Ă©lectrique au cƓur du dispositif de tĂ©lĂ©travail DĂšs 2005, l’état de l’installation Ă©lectrique utilisĂ©e pour le tĂ©lĂ©travail Ă©tait mentionnĂ© dans les articles 7 et 8 de l’Accord national interprofessionnel ANI relatif au tĂ©lĂ©travail. L’activitĂ© peut s’exercer au domicile du salariĂ© sous rĂ©serve de la conformitĂ© des installations Ă©lectriques. Dans le cadre du respect de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s, l’employeur, le CHSCT ou les reprĂ©sentants du personnel compĂ©tents ainsi que les autoritĂ©s administratives concernĂ©es ont le droit d’accĂ©der aux locaux utilisĂ©s pour le tĂ©lĂ©travail. S’il s’agit du domicile du salariĂ©, celui-ci doit en ĂȘtre informĂ© au prĂ©alable. Toute visite est subordonnĂ©e Ă  son accord. A l’inverse, le tĂ©lĂ©travailleur est en droit de demander une inspection. La lĂ©gislation demeure nĂ©anmoins assez floue sur la notion de conformitĂ© de l’installation Ă©lectrique. S’agit-il simplement d’une installation ayant fait un jour l’objet d’un certificat de conformitĂ© ou son Ă©quivalent ? Qu’en est-il alors des installations anciennes ? Quelle valeur peut avoir une simple attestation sur l’honneur ? Un salariĂ© n’est pas supposĂ© ĂȘtre compĂ©tent pour Ă©valuer ce qu’est une installation Ă©lectrique conforme ou non. Pour prĂ©venir tout risque et tout problĂšme juridique, certaines entreprises font appel, Ă  leurs frais, aux diagnostiqueurs immobiliers pour dresser un Ă©tat de l’installation Ă©lectrique du domicile du tĂ©lĂ©travailleur. Cette dĂ©marche n’est bien sĂ»r possible qu’avec l’accord de celui-ci. Il est Ă©galement lĂ©gal d’insĂ©rer une clause dans l’avenant au contrat de travail prĂ©cisant que le salariĂ© doit fournir un certificat de conformitĂ© de son installation Ă©lectrique Ă©tabli par un organisme agréé. Les frais seront bien sĂ»r pris en charge par l’employeur. La rĂ©alisation d’un Ă©tat de l’installation intĂ©rieure d’électricitĂ© par un diagnostiqueur agréé reprĂ©sente donc une rĂ©elle garantie, Ă  la fois pour le tĂ©lĂ©travailleur et son employeur. Cadre juridique du tĂ©lĂ©travail – Accord national interprofessionnel Anact – 19 juillet 2005 – article 133 de la loi du 12 mars 2012 dite loi Sauvadet – DĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 – TĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature
fournit un certificat ou, Ă  dĂ©faut, une attestation sur l’honneur justifiant de la conformitĂ© des installations et des locaux aux rĂšgles de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique ; – fournit une attestation de l’assurance auprĂšs de laquelle il a Le tĂ©lĂ©travail concerne les salariĂ©s qui exerce au moins une partie de leur activitĂ© hors des locaux de l’entreprise. Cette forme d’organisation offre une souplesse d’amĂ©nagement aussi bien pour le salariĂ© que l’employeur. C’est une solution qui sĂ©duit de plus en plus, notamment dans les emplois du secteur tertiaire. Elle constitue en outre un rĂ©el bĂ©nĂ©fice Ă©cologique en Ă©vitant de nombreux dĂ©placements en transport individuel ou collectif. Mais le tĂ©lĂ©travail ne doit pas ĂȘtre organisĂ© au hasard !Si vous souhaitez vous aussi passer en tĂ©lĂ©travail » ou proposer le tĂ©lĂ©travail Ă  vos salariĂ©s, dĂ©couvrez tout ce qu’il faut savoir pour une sĂ©curitĂ© en place le tĂ©lĂ©travailEn effet, le tĂ©lĂ©travail ne doit pas ĂȘtre organisĂ© au hasard. L’employeur reste soumis aux mĂȘmes obligations en matiĂšre de prĂ©vention des risques professionnels Ă  l’égard de tous ses salariĂ©s. À ce titre, il doit prendre les mesures nĂ©cessaires pour assurer la sĂ©curitĂ©, ainsi que la santĂ© physique et mentale de ses salariĂ©s. Comment remplir cette obligation dans le cadre du tĂ©lĂ©travail ?Tout d’abord, le Code du travail, selon l’article L-1222-9 dĂ©finit le tĂ©lĂ©travail comme une forme d’organisation du travail >>. Dans cette derniĂšre, un travail qui aurait Ă©galement pu ĂȘtre exĂ©cutĂ© dans les locaux de l’employeur, est effectuĂ© par un salariĂ© hors des locaux. Le tĂ©lĂ©travail implique alors d’utiliser les technologies de l’information et de la vous pourrez employer le terme tĂ©lĂ©travail » aussi bien pour le salariĂ© travaillant Ă  domicile que pour le salariĂ© nomade » qui peut exercer dans des espaces collectifs en dehors de l’ que le tĂ©lĂ©travail doit ĂȘtre en principe formalisĂ© par un accord. Il peut s’agir d’un accord collectif, une charte Ă©laborĂ©e par l’employeur aprĂšs avis du comitĂ© social Ă©conomique, ou, Ă  dĂ©faut, un accord entre le salariĂ© et l’employeur formalisĂ© par tout moyen. Dans certains cas, la mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail est rendue nĂ©cessaire pour permettre la continuitĂ© de l’activitĂ© de l’entreprise et garantir la protection des salariĂ©s. Cela concerne par exemple le cas d’une menace d’épidĂ©mie comme le COVID-19. L’article L. 1222-11 du code du travail permet alors de recourir au tĂ©lĂ©travail sans aucun formalisme et prĂ©venir les risques pour le tĂ©lĂ©travailleurLorsque l’employeur procĂšde Ă  l’évaluation des risques dans son entreprise afin de garantir la sĂ©curitĂ© et la santĂ© de ses employĂ©s, il doit Ă©galement prendre en compte les risques liĂ©s Ă  l’exĂ©cution de certaines tĂąches en tĂ©lĂ©travail. Cela implique de garantir la conformitĂ© de l’espace de travail sur le plan matĂ©riel. D’autre part, il convient d’éviter les situations d’isolement social d’un point de vue psychologique. Et pour finir, le tĂ©lĂ©travail demande d’organiser le secours du salariĂ© en cas d’ la conformitĂ© du lieu de tĂ©lĂ©travailCompte tenu du caractĂšre privĂ© du domicile du salariĂ©, il est parfois dĂ©licat pour l’employeur de s’assurer de la mise en Ɠuvre de certaines dispositions liĂ©es Ă  la sĂ©curitĂ© de son travailleur. C’est le cas par exemple de l’interdiction de fumer sur le lieu de travail ou en encore de l’amĂ©nagement de son poste avec un matĂ©riel adaptĂ©. Comment en effet ĂȘtre vigilant sur l’amĂ©nagement ergonomique de cet espace ? Qu’en est-il de l’aĂ©ration, de la surface minimale, ou encore de la sĂ©curitĂ© du mobilier de bureau ? Les risques de pathologie auditive, de troubles visuels et musculo-squelettiques sont principe, l’accĂšs au domicile du salariĂ© peut ĂȘtre demandĂ© par l’employeur, les reprĂ©sentants du personnel, le mĂ©decin du travail ou bien l’agent de contrĂŽle de l’inspection du travail. Mais il nĂ©cessite l’accord du salariĂ©. En pratique, l’employeur peut rappeler les dispositions concernant la conformitĂ© du lieu de travail dans le cadre de l’accord qui le lie au salariĂ©. Il peut Ă©galement demander au salariĂ© de fournir une attestation sur l’honneur ou une attestation de conformitĂ© aprĂšs intervention d’une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e mandatĂ©e sur place pour contre l’isolement socialLe tĂ©lĂ©travail comporte des risques professionnels amplifiĂ©s par l’éloignement et l’isolement. D’une part, il expose Ă  des risques psychosociaux. Ces derniers ne sont pas Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre. Vous n’ĂȘtes pas Ă  l’abri en tĂ©lĂ©travail d’une perte des limites entre vie professionnelle et privĂ©e. Les consĂ©quences associĂ©es sont alors un stress liĂ© Ă  des contrĂŽles ou objectifs excessifs, un affaiblissement des relations interpersonnelles
 De plus, les horaires de travail plus souples peuvent facilement venir empiĂ©ter sur la vie privĂ©e. Tout comme le souci de contrĂŽle du manager peut devenir excessif. Des rĂšgles, connues et partagĂ©es, doivent permettre de dĂ©finir un cadre de travail clair afin d’éviter toute ailleurs, pour prĂ©venir le risque d’isolement social, l’employeur doit veiller Ă  prĂ©server des modalitĂ©s de contact rĂ©gulier avec le salariĂ© et entre ses salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail. A cet effet, il peut par exemple organiser des points rĂ©guliers par tĂ©lĂ©phone et des rĂ©unions collectives en le secours du salariĂ© en tĂ©lĂ©travail en cas d’urgenceLes diffĂ©rents risquesComme vous vous en doutez, le tĂ©lĂ©travail rĂ©pond rarement aux normes de santĂ© et de sĂ©curitĂ© appliquĂ©es en entreprise. En effet, un bureau Ă  domicile peut constituer un espace de travail inadaptĂ©. Sans oublier que la sĂ©curitĂ© des installations Ă©lectriques peut prĂ©senter un risque majeur. Cela engendre des situations dangereuses proches de celles conduisant Ă  l’accident domestique. Comme le fait par exemple de monter sur une chaise instable pour ranger un dossier sur une Ă©tagĂšre en hauteur. De fait, le risque d’accidents et de traumatismes est consĂ©quence, l’isolement du tĂ©lĂ©travailleur amplifie en frĂ©quence et en gravitĂ© les risques inhĂ©rents Ă  un travail de bureau. Puis, il faut ajouter Ă  cela le risque de malaise ou celui d’agression. Le salariĂ© en tĂ©lĂ©travail doit pourtant pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la protection de son employeur comme s’il Ă©tait en PTI et DATI Les derniĂšres technologies pour la sĂ©curitĂ© en tĂ©lĂ©travailVous l’aurez compris, la mise en Ɠuvre du secours portĂ© Ă  l’employĂ© en tĂ©lĂ©travail ne s’improvise pas. Elle induit la mise en place d’une procĂ©dure d’urgence validĂ©e en amont. L’organisation peut alors trĂšs simplement reposer sur un dispositif tĂ©lĂ©phonique. Parmi les solutions adaptĂ©es aux employĂ©s en tĂ©lĂ©travail ou itinĂ©rants, vous trouverez des portatifs radios professionnels fonctionnant sur les rĂ©seaux LTE 4G / 3G >> notamment. Ces derniers associent une couverture fiable Ă  des fonctions de sĂ©curitĂ© facilement accessibles bouton d’alarme, PTI, 
 permettant un dĂ©clenchement d’alerte part, votre organisation peut aussi faire appel aux technologies Ă©mergentes sur le marchĂ© de la sĂ©curitĂ©. Les applications PTI, les dispositifs DATI et les services associĂ©s proposent dĂ©sormais des solutions complĂštes et fiables. Ils permettent Ă  l’employeur d’organiser les secours en cas d’agression, d’accident ou de malaise de l’employĂ© en tĂ©lĂ©travail. Le dispositif d’alarme du travailleur isolĂ© >> permet Ă  la personne de dĂ©clencher des alertes trĂšs simplement. Ces alarmes sont transmises via l’application PTI >> ou le boitier DATI Ă  un PC de sĂ©curitĂ©. Le message d’alarme peut contenir des informations relatives au lanceur d’alerte, comme ses coordonnĂ©es GPS. Ainsi, vous facilitez l’intervention des conclusion, vous trouverez sur le marchĂ© des dispositifs PTI fonctionnant sans engagement. Ce sont des solutions flexibles qui vous permettent de rĂ©pondre rapidement et ponctuellement Ă  des situations exceptionnelles comme un contexte imposĂ© par la COVID-19. localĂ  usage de tĂ©lĂ©travail, atteste sur l’honneur que : Mon domicile dispose d'un espace de travail adaptĂ© permettant de travailler dans de bonnes conditions notamment d'ergonomie, Cet espace dĂ©diĂ© au tĂ©lĂ©travail au sein de mon domicile respecte les rĂšgles de sĂ©curitĂ© notamment l’installation Ă©lectrique, de vos locaux professionnels Visite de vĂ©rification et dĂ©livrance de certificats Q18 & Q19ConformitĂ© Ă©lectrique de votre Ă©tablissementVOTRE DEVIS EN 24HUn service dĂ©diĂ© aux professionnels Artisans, Commerçants, PME, TPE, Professions libĂ©ralesEn cliquant sur le bouton "demander un devis", j'autorise le GROUPE QUALICONSULT Ă  me contacter pour prĂ©ciser ma demande. Les donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel qui vous sont demandĂ©es sont nĂ©cessaires pour le traitement de votre demande de devis. Elles sont destinĂ©es au Groupe Qualiconsult, responsable du traitement et sont basĂ©es sur son intĂ©rĂȘt lĂ©gitime. Elles sont conservĂ©es pendant la durĂ©e nĂ©cessaire au traitement de la demande augmentĂ© le cas Ă©chĂ©ant des durĂ©es de prescription lĂ©gale. En savoir plusUNE OBLIGATION RĂšglementaire
Uneattestation d’assurance multirisque habitation couvrant la prĂ©sence du collaborateur pour les journĂ©es de tĂ©lĂ©travail (article 8.3 du prĂ©sent accord.) Une attestation sur l’honneur du collaborateur de la conformitĂ©, notamment Ă©lectrique, des lieux Ă  l’exercice du tĂ©lĂ©travail (articles 8.4 et 8.5 du prĂ©sent accord.)
En quoi consiste le contrĂŽle de votre installations Ă©lectriques en tĂ©lĂ©travail ? Le salariĂ© volontaire pour le tĂ©lĂ©travail doit prĂ©senter un certificat de conformitĂ© de son espace de travail aux normes Ă©lectriques Ă©tabli par un organisme tel qu’INGERIS INSPECTION. RĂ©alisĂ© Ă  la demande de l’employeur au domicile du salariĂ©, le diagnostic permet d’établir un constat objectif du niveau de la sĂ©curitĂ© de ses installations Ă©lectriques. Il rĂ©pertorie les points Ă©ventuellement dangereux dans la partie affectĂ©e Ă  l’activitĂ© professionnelle du tĂ©lĂ©travailleur. Contexte rĂ©glementaire Dans le cadre du tĂ©lĂ©travail, encadrĂ© par loi 2012-387 du 22 mars 2012, l’employeur est tenu d’assurer la sĂ©curitĂ© de son employĂ©. L’installation Ă©lectrique liĂ©e au poste de travail du tĂ©lĂ©travailleur doit rĂ©pondre Ă  une rĂ©glementation* prĂ©cise et sa conformitĂ© validĂ©e par un organisme compĂ©tent. Avec la vĂ©rification de la conformitĂ© des postes de tĂ©lĂ©travail, l’employeur rĂ©pond Ă  son obligation de sĂ©curitĂ© de rĂ©sultat vis-Ă -vis de son employĂ© et peut en apporter la preuve. PĂ©riodicitĂ© Annuelle. Comment procĂ©der ? La dĂ©marche pour obtenir ce certificat est simple Le salariĂ© sollicite un organisme d’inspection comme INGERIS INSPECTION pour contrĂŽler la conformitĂ© des installations Ă©lectriques de son poste de tĂ©lĂ©travail. INGERIS INSPECTION propose un devis et des modalitĂ©s d’intervention jour, heure en fonction des contraintes du salariĂ©. Le salariĂ© accepte l’intervention aprĂšs validation par son employeur. INGERIS INSPECTION rĂ©alise l’intervention et transmet sous 48 heures le rapport au salariĂ© RĂ©glementation en vigueur TĂ©lĂ©travail Ă  domicile Ă©valuer les risques pour mieux les prĂ©venir Introduit par la loi 2012-387 du 22 mars 2012, le tĂ©lĂ©travail est dĂ©fini par le code du travail comme toute forme d’organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait Ă©galement pu ĂȘtre exĂ©cutĂ© dans les locaux de l’employeur est effectuĂ© par un salariĂ© hors de ces locaux de façon rĂ©guliĂšre et volontaire en utilisant les technologies de l’information et de la communication dans le cadre d’un contrat de travail ou d’un avenant Ă  celui-ci » art. L 1222-9. Les obligations de l’employeur et la responsabilitĂ© des salariĂ©s en matiĂšre de prĂ©vention des risques professionnels continuent de s’appliquer. La loi ANI du 19 juillet 2005, article 8, prĂ©cise ainsi que les dispositions lĂ©gales et conventionnelles relatives Ă  la santĂ© et la sĂ©curitĂ© au travail sont applicables aux tĂ©lĂ©travailleurs » et que l’employeur doit veiller Ă  leur strict respect ». AccrĂ©ditation n°3-0901 PortĂ©e disponible sur se dĂ©roule une inspection ? Vos Ă©quipements Ă©lectriques nĂ©cessitent d’ĂȘtre contrĂŽlĂ©s pour garantir leurs performances. Les inspecteurs d’INGERIS INSPECTION dĂ©crivent, analysent et Ă©valuent la conformitĂ© de vos matĂ©riels Ă©lectriques professionnels. Notre vocation, est d’assurer la conformitĂ© de vos dispositifs Ă©lectriques pour atteindre le niveau de qualitĂ© souhaitĂ©e, projetĂ©e et perçue. Nous protĂ©geons ainsi vos biens Ă©lectriques en Ă©vitant les risques d’accidents et de dĂ©gĂąts Ă©ventuels. Ainsi, nous centralisons l’humain au cƓur de notre activitĂ© face aux risques Ă©lectriques. Qui est concernĂ© ? Le salariĂ© volontaire pour le tĂ©lĂ©travail. ContrĂŽle PĂ©riodique Votre dernier contrĂŽle date de moins d’un an Ă  partir de 179€ HTContrĂŽle PĂ©riodique Votre dernier contrĂŽle date de plus d’un an Ă  partir de 259€ HTContrĂŽle Initial A rĂ©aliser Ă  la mise en service de votre installation Ă  partir de 259€ HTContrĂŽle Consuel pour professionnels A rĂ©aliser avant la mise en service de votre installation Ă  partir de 239€ HT Remplissez le formulaire ci-dessous. Nous vous ferons parvenir un devis personnalisĂ© dans les plus brefs dĂ©lais.

Denombreux accords d’entreprises sur le tĂ©lĂ©travail optent pour l’attestation sur l’honneur, et prĂ©voient que le salariĂ© qui sollicite le tĂ©lĂ©travail doit attester sur l’honneur d’ĂȘtre dotĂ© d’une installation Ă©lectrique conforme pour le tĂ©lĂ©travail.

Le tĂ©lĂ©travail a Ă©tĂ© dĂ©ployĂ© prĂ©cipitamment pendant la crise. Or, sa mise en oeuvre nĂ©cessite un certain formalisme. Alexis Ducos, prĂ©sident de Izibizness, un cabinet conseil spĂ©cialisĂ© en RH, fait le point, dans cette chronique, sur les obligations des employeurs pour poursuivre ce mode de travail. L’épisode du Covid-19 a fait la part belle au tĂ©lĂ©travail. Il est vrai qu’il s’agit, d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, de la meilleure rĂ©ponse Ă  un dysfonctionnement ponctuel grĂšve des transports, Ă©pisode de neige, garde d’enfant imprĂ©vu,
 Il se prĂȘtait donc parfaitement Ă  la pĂ©riode d’épidĂ©mie. Gestion du personnel La gestion des ressources humaines ou gestion du personnel recouvre plusieurs domaines intĂ©ressant les RH - Le recrutement et la gestion de carriĂšre dont la formation professionnelle est un pan important ; - La gestion administrative du personnel ; - La paie et la politique de rĂ©munĂ©ration et des avantages sociaux ; - Les relations sociales. DĂ©couvrir tous les contenus liĂ©s Les messages officiels ont laissĂ© une impression de simplicitĂ© de mise en Ɠuvre de la mesure "dĂšs demain, vous pourrez travailler de chez vous". Il est d’ailleurs normal que le caractĂšre d’urgence de la situation ait dĂ» ĂȘtre traitĂ©e avec pragmatisme. Mais si, Ă  la suite du Covid-19, et c’est certainement le cas, certaines entreprises et leurs salariĂ©s souhaitent maintenir le tĂ©lĂ©travail et l’instaurer comme un mode de fonctionnement normal, l’urgence ne sera plus un rempart Ă  l’importance et l’importance ici, c’est de ne jamais omettre que le tĂ©lĂ©travail obĂ©it Ă  un formalisme. Or, dans la prĂ©cipitation, les entreprises ont laissĂ© de cĂŽtĂ© ce formalisme et bon nombre d’obligations. Parmi celles-ci, le tĂ©lĂ©travail nĂ©cessite notamment de faire une analyse des risques du lieu de travail au domicile du salariĂ© pour l’inclure dans le document unique d’évaluation des risques ; de vĂ©rifier la conformitĂ© des installations Ă©lectriques et techniques par la visite d’un technicien ou l’obtention d’un certificat de conformitĂ© ; de mettre en place un systĂšme de contrĂŽle des horaires ; de prendre financiĂšrement en charge le surcoĂ»t pour le salariĂ© imprimante, tĂ©lĂ©phone, 
 soit au rĂ©el soit sur la base d’un forfait de 10, 20 ou 30 euros selon les cas ; de s’assurer que le tĂ©lĂ©travailleur est couvert par une assurance qui couvre l’espace au domicile dĂ©diĂ© Ă  l’activitĂ© professionnelle ; un entretien de tĂ©lĂ©travail sera Ă©galement Ă  prĂ©voir. On voit bien ici que ces obligations dĂ©coulent directement de deux principes fondamentaux le tĂ©lĂ©travailleur est un salariĂ© comme les autres avec les mĂȘmes droits et l’employeur Ă  une obligation de rĂ©sultat en matiĂšre de moyens de sĂ©curitĂ©, en tout temps et en tout lieu. Rappelons qu’un accident survenu chez un salariĂ© en tĂ©lĂ©travail Ă  l’occasion de son activitĂ© professionnelle est considĂ©rĂ©e comme un accident du travail. Assurance du tĂ©lĂ©travailleur S’agissant de l’assurance qui doit couvrir l’activitĂ© professionnelle Ă  domicile en tĂ©lĂ©travail, elle se distingue de celle nĂ©cessaire Ă  l’indĂ©pendant qui exerce Ă  domicile par une lourdeur moindre mais la nĂ©cessitĂ© de s’assurer que les risques sont couverts demeure. Il revient donc au salariĂ© de transmettre son attestation d'assurance tĂ©lĂ©travail, correspondant Ă  l'attestation d'assurance multirisque habitation du lieu de travail Ă  l’employeur. Mais sur ce point, la prise en charge par les assurances des dommages causĂ©s par le tĂ©lĂ©travailleur Ă  son domicile n'est pas claire l'assurance du tĂ©lĂ©travailleur explicite rarement les conditions de couverture dans les cas limites. Le matĂ©riel informatique peut ĂȘtre pris en charge par l'assurance de l'employeur, l'assurance du salariĂ© peut prendre en charge les dĂ©gĂąts Ă  domicile mais si ce dernier utilise ses biens personnels dans le cadre de son activitĂ© professionnelle, Ă  son domicile, il peut alors ĂȘtre nĂ©cessaire d’opter pour une couverture spĂ©cifique de ces biens. En effet, ceux-ci ne sont pas couverts par votre employeur. On pourrait opposer Ă  cela que les moyens nĂ©cessaires au tĂ©lĂ©travail doivent ĂȘtre fournis par l’employeur puisqu’il s’agit de l’une de ses obligations contractuelles et que, dans l’absolu, l’employeur prend en charge l’extension de garantie afin de couvrir les risques liĂ©s au tĂ©lĂ©travail, mais en pĂ©riode de crise et de prĂ©cipitation, beaucoup de salariĂ©s se sont "improvisĂ©s" tĂ©lĂ©travailleurs. Et les entreprises n’ont pas eu le temps de faire le nĂ©cessaire. Le salariĂ© doit, dans la situation d’urgence actuelle, vĂ©rifier auprĂšs de son assurance que celle-ci couvre l’activitĂ© Ă  domicile. LĂ -encore, chaque assurance est diffĂ©rente et, interrogĂ© sur le sujet, Allianz prĂ©cise qu’il convient que chacun se rapproche de son assurance pour Ă©viter les problĂšmes en cas de sinistre. Respect du RGDP D’autre part, la notion de sĂ©curitĂ©, non plus des personnes, mais des donnĂ©es, ne doit pas ĂȘtre oubliĂ©e ! Le RGPD, depuis le 25 mai 2018, impose Ă  toutes les entreprises ses rĂšgles de confidentialitĂ© et de sĂ©curisation des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel. LĂ  aussi, dans la prĂ©cipitation, les entreprises ont-elles vĂ©rifiĂ© que le domicile du tĂ©lĂ©travailleur rĂ©pondait aux exigences du rĂšglement europĂ©en ? La Cnil, sur son site, recommande aux collaborateurs qui doivent emporter des dossiers papiers chez eux de porter une attention particuliĂšre Ă  la sĂ©curitĂ© de ces dossiers et de le signaler. Lorsque cela est possible, il faudrait Ă©viter d'emporter des dossiers papiers. Les entreprises n’ont pas eu le temps de mettre le domicile du salariĂ© en conformitĂ© avec les exigences du RGPD. Or, rappelons que les sanctions prĂ©vues sont incroyablement lourdes 4 % du CA mondial ou 20 millions d’euros. La Cnil prĂ©cise ce qui devrait ĂȘtre mis en Ɠuvre pour satisfaire aux exigences de sĂ©curitĂ© en tĂ©lĂ©travail rĂ©diger une charte informatique et lui donner une force contraignante ; adopter une politique de mot de passe conforme aux recommandations de la Cnil ; prĂ©voir une procĂ©dure de verrouillage automatique de session ; utiliser des antivirus rĂ©guliĂšrement mis Ă  jour ; installer un "pare-feu" firewall logiciel ; limiter les flux rĂ©seau au strict nĂ©cessaire ; sĂ©curiser les accĂšs distants des appareils informatiques nomades par VPN ; mettre en Ɠuvre le protocole WPA2 ou WPA2-PSK pour les rĂ©seaux Wi-Fi ; interdire les accĂšs aux sites non sĂ©curisĂ©s. Une fois encore, l’urgence de la situation a créé implicitement une "souplesse" dans la mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail, mais il serait dangereux d’imaginer que les entreprises pourront s’affranchir de leurs obligations sur la durĂ©e. Uneattestation sur l’honneur suffit dĂ©sormais pour justifier de la conformitĂ© Ă©lectrique de l’espace de tĂ©lĂ©travail. Un diagnostic pourra ĂȘtre effectuĂ© Ă  l’initiative du postier, remboursĂ© par la Poste jusqu’à 120 €. Un siĂšge ergonomique sera, soit mis Ă  disposition, soit remboursĂ© Ă  hauteur de 50 % du coĂ»t total avec un plafonnement Ă  150 €. DĂ©sormais, la Poste

Vous trouverez ci-joint la note “La mise en place du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique – Guide pratique Ă  destination des collectivitĂ©s territoriales” au format PDF puis son contenu en plein-texte. Les conditions et les enjeux de lexercice en tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique Un agent public peut-il exercer en tĂ©lĂ©travail ? Oui, Les fonctionnaires et les contractuels de droit public peuvent ĂȘtre autorisĂ©s Ă  exercer leurs missions en tĂ©lĂ©travail, mais une procĂ©dure spĂ©cifique doit impĂ©rativement ĂȘtre respectĂ©e Ă  cette fin cf. infra pp. 2 et s.. Exception – Les agents qui ne sont pas soumis Ă  la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires sont soumis Ă  des rĂšgles diffĂ©rentes. C’est notamment le cas des agents des chambres d’agriculture, des chambres de commerce et d’industrie ainsi que des chambres de mĂ©tiers et de l’artisanat[1]. Quelle est la procĂ©dure Ă  suivre pour placer un ou plusieurs agents en tĂ©lĂ©travail ? La procĂ©dure Ă  suivre comporte trois Ă©tapes essentielles, Ă  savoir L’adoption d’une dĂ©cision fixant les modalitĂ©s d’organisation du tĂ©lĂ©travail ; La prĂ©sentation, par l’agent, d’une demande Ă©crite d’exercice en tĂ©lĂ©travail ; L’autorisation ou le refus de la demande. 1Ăšre ÉTAPE Fixer les modalitĂ©s d’organisation du tĂ©lĂ©travail[2]. S’agissant des agents communaux ou communautaires, cette dĂ©cision prend la forme d’une dĂ©libĂ©ration du conseil municipal ou du conseil communautaire. Le projet de dĂ©libĂ©ration doit ĂȘtre soumis pour avis au comitĂ© technique de la collectivitĂ© ou au comitĂ© technique placĂ© auprĂšs du centre de gestion. Contenu – Une attention soutenue doit ĂȘtre portĂ©e Ă  cette dĂ©libĂ©ration dont le contenu est prĂ©cisĂ©ment dĂ©fini. Elle doit ainsi obligatoirement dĂ©finir Les activitĂ©s Ă©ligibles au tĂ©lĂ©travail ; Le cas Ă©chĂ©ant, la liste des locaux mis Ă  disposition des agents par l’administration pour exercer en tĂ©lĂ©travail ; Les mesures prescrites aux agents afin d’assurer la sĂ©curitĂ© des systĂšmes informatiques et la protection des donnĂ©es qu’ils traitent infra, p. 8 ; Les rĂšgles Ă  respecter en matiĂšre de temps de travail, de sĂ©curitĂ© et de protection de la santĂ© ; Les modalitĂ©s selon lesquelles les institutions compĂ©tentes peuvent se rendre sur le lieu de tĂ©lĂ©travail afin de vĂ©rifier la bonne application des rĂšgles en matiĂšre d’hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© ; Les modalitĂ©s de comptabilisation et de contrĂŽle du temps de travail ; Les modalitĂ©s de prise en charge par l’employeur des frais exposĂ©s par l’agent pour l’exercice de son activitĂ© en tĂ©lĂ©travail infra, p. 8 ; Les modalitĂ©s de formation de l’agent aux Ă©quipements et outils utilisĂ©s pour exercer en tĂ©lĂ©travail ; Les modalitĂ©s de dĂ©livrance de l’attestation de conformitĂ© des installations de l’agent aux spĂ©cifications techniques dĂ©finies par la collectivitĂ©, cette attestation devant ĂȘtre jointe Ă  la demande de l’agent infra 2Ăšme Ă©tape », p. 4. Conseil – Afin d’assurer la bonne information du maire ou du prĂ©sident de l’EPCI, la dĂ©libĂ©ration peut prĂ©ciser que l’autorisation d’exercice d’activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail est prise aprĂšs avis du responsable hiĂ©rarchique direct de l’agent. Il conviendra alors de prĂ©ciser que cet avis est rĂ©putĂ© favorable s’il n’est pas intervenu dans un dĂ©lai de quinze jours Ă  compter de la saisine du responsable hiĂ©rarchique. Illustrations – Plusieurs ministres ont adoptĂ© des arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels fixant les conditions de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans leurs propres services. Ces arrĂȘtĂ©s peuvent ĂȘtre consultĂ©s en cliquant sur les liens suivants attention ces arrĂȘtĂ©s n’ont pas Ă©tĂ© mis Ă  jour suite Ă  l’adoption du dĂ©cret n° 2020-524 du 5 mai 2020, qui a assoupli le recours au tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique 2Ăšme ÉTAPE DĂ©pĂŽt d’une demande Ă©crite par l’agent[3]. Contenu – Cette demande doit prĂ©ciser – Les raisons pour lesquelles l’agent souhaite tĂ©lĂ©travailler ; – Le lieu d’exercice du tĂ©lĂ©travail le domicile de l’agent, un autre lieu privĂ© ou un lieu Ă  usage professionnel ; – Le nombre de jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s ; – Les modalitĂ©s d’attribution de ces journĂ©es, c’est-Ă -dire des journĂ©es fixes au cours de la semaine ou du mois et / ou attribution d’un volume de jours de tĂ©lĂ©travail par semaine, par mois ou par an que l’agent pourra demander de poser au fur et Ă  mesure. Cette demande doit en outre ĂȘtre accompagnĂ©e d’un document attestant de la conformitĂ© des installations aux spĂ©cifications techniques dĂ©finies par la collectivitĂ©. À titre d’illustration, on peut noter que l’article 9 de l’arrĂȘtĂ© du 8 juin 2018 relatif au recours au tĂ©lĂ©travail au sein de diverses directions ministĂ©riels NOR PRMG1812706A dispose Lorsqu’il exerce ses fonctions Ă  domicile, l’agent en tĂ©lĂ©travail – fournit un certificat ou, Ă  dĂ©faut, une attestation sur l’honneur justifiant de la conformitĂ© des installations et des locaux aux rĂšgles de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique ; – fournit une attestation de l’assurance auprĂšs de laquelle il a souscrit son contrat d’assurance multirisques habitation prĂ©cisant qu’elle couvre l’exercice du tĂ©lĂ©travail aux lieux dĂ©finis dans l’acte individuel ; – atteste qu’il dispose d’un espace de travail adaptĂ© et qu’il travaille dans de bonnes conditions d’ergonomie ; – justifie qu’il dispose d’une connexion internet si celle-ci est nĂ©cessaire Ă  l’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail. A dĂ©faut de produire l’un des Ă©lĂ©ments Ă©numĂ©rĂ©s ci-dessus, l’agent ne pourra ĂȘtre autorisĂ© Ă  exercer ses activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail ». Lorsque l’agent est autorisĂ© Ă  utiliser son Ă©quipement informatique personnel – soit parce qu’il dispose de jours de tĂ©lĂ©travail flottants soit parce que le recours au tĂ©lĂ©travail est justifiĂ© par des circonstances exceptionnelles cf. infra, p. 8 – il apparaĂźt nĂ©cessaire d’exiger la production d’un document, Ă©manant d’un professionnel qualifiĂ©, attestant de la conformitĂ© des Ă©quipements aux mesures prescrites par la collectivitĂ© afin d’assurer la sĂ©curitĂ© des systĂšmes informatiques et la protection des donnĂ©es traitĂ©es par les agents. Conseil – Afin de susciter la prĂ©sentation de ces demandes de tĂ©lĂ©travail, l’employeur public peut lancer une campagne de recensement des demandes d’exercice en tĂ©lĂ©travail. 3Ăšme ÉTAPE Dans un dĂ©lai d’un mois, l’employeur public – le maire ou le prĂ©sident de l’EPCI dans les collectivitĂ©s territoriales – doit rĂ©pondre Ă  la demande de l’agent PortĂ©e du contrĂŽle – L’autoritĂ© territoriale doit vĂ©rifier la compatibilitĂ© de la demande de l’agent avec la nature de ses activitĂ©s et l’intĂ©rĂȘt du service. En cas d’incompatibilitĂ©, la demande de l’agent pourra ĂȘtre rejetĂ©e cf. infra, p. 7. Contenu de l’autorisation – La dĂ©cision doit prĂ©ciser Les fonctions que l’agent exerce en tĂ©lĂ©travail ; Le lieu dans lequel l’agent est autorisĂ© Ă  tĂ©lĂ©travailler ; Les modalitĂ©s d’organisation temporelle du tĂ©lĂ©travail l’octroi de jours fixes ou flottants, le dĂ©lai de prĂ©venance Ă  respecter pour l’utilisation de ces jours flottants, etc. ; Les horaires de tĂ©lĂ©travail de l’agent ; La date Ă  laquelle l’agent pourra commencer Ă  exercer en tĂ©lĂ©travail ; Le cas Ă©chĂ©ant, la durĂ©e de l’autorisation de tĂ©lĂ©travail ; Le cas Ă©chĂ©ant, la pĂ©riode d’adaptation et sa durĂ©e trois mois maximum, cette pĂ©riode permet Ă  l’administration de mettre fin au tĂ©lĂ©travail de l’agent en respectant un dĂ©lai de prĂ©venance raccourci Ă  un mois. Conseil – Le guide du tĂ©lĂ©travail[4] p. 68 rĂ©alisĂ© par la DGAFP Direction GĂ©nĂ©rale de l’Administration et de la Fonction Publique recommande aux employeurs publics d’organiser un entretien entre le responsable hiĂ©rarchique et l’agent afin D’expliquer Ă  l’agent ce qu’est le tĂ©lĂ©travail et ses implications ; Que l’agent expose les motifs justifiant sa demande, les tĂąches qu’il pourra accomplir Ă  distance, afin que son supĂ©rieur hiĂ©rarchique puisse examiner le sĂ©rieux de son projet de tĂ©lĂ©travail ; Que l’agent et son supĂ©rieur puissent s’accorder sur les modalitĂ©s d’organisation du tĂ©lĂ©travail. J’ai placĂ© mes agents en tĂ©lĂ©travail au dĂ©but de la crise sanitaire mais je n’ai pas respectĂ© cette procĂ©dure, quelles sont les consĂ©quences et que dois-je faire ? La situation doit impĂ©rativement ĂȘtre rĂ©gularisĂ©e par la mise en Ɠuvre de la procĂ©dure prĂ©cĂ©demment dĂ©crite pp. 2 Ă  5 . En effet, si l’urgence ayant caractĂ©risĂ© le dĂ©but de la crise sanitaire pourrait ĂȘtre de nature Ă  justifier la mĂ©connaissance temporaire de cette procĂ©dure[5], elle ne saurait en justifier une mĂ©connaissance durable, dans la mesure oĂč les employeurs publics ont dĂ©sormais la possibilitĂ© matĂ©rielle de la mettre en Ɠuvre et de rĂ©gulariser la situation. À dĂ©faut, l’absence de dĂ©cision rĂ©glementant l’exercice en tĂ©lĂ©travail, l’absence de demande Ă©crite de l’agent et l’absence d’autorisation d’exercice en tĂ©lĂ©travail, pourrait avoir trois consĂ©quences majeures – premiĂšrement l’agent irrĂ©guliĂšrement placĂ© en tĂ©lĂ©travail pourrait solliciter qu’il y soit mis fin et demander la rĂ©paration du prĂ©judice Ă©ventuellement subi, notamment moral ; – deuxiĂšmement en cas d’accident subi par un agent Ă  son domicile, il sera plus facilement reconnu comme Ă©tant un accident de service, en l’absence d’encadrement clair du temps de travail de l’agent. Les juridictions administratives retiennent en effet que l’accident survenu sur le lieu et dans le temps du service, dans l’exercice ou Ă  l’occasion de l’exercice par un fonctionnaire de ses fonctions ou d’une activitĂ© qui en constitue le prolongement normal prĂ©sente 
 le caractĂšre d’un accident de service » CE, 15 juin 2012, Bouzigon, n° 348258 ; – troisiĂšmement l’absence de rĂ©glementation garantissant la sĂ©curitĂ© des systĂšmes informatiques pourrait traduire une violation de l’article 32 du rĂšglement du 27 avril 2016 dit rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es n° 2016/679[6], en particulier lorsque l’agent est autorisĂ© Ă  utiliser son Ă©quipement personnel. Or, la mĂ©connaissance de cette disposition est de nature Ă  engager la responsabilitĂ© administrative et pĂ©nale[7] des collectivitĂ©s territoriales et EPCI. Suis-je libre de fixer les modalitĂ©s d’exercice de mon agent ? Non, Le nombre de jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s est limitĂ©. En principe, deux limites sont fixĂ©es L’agent ne peut tĂ©lĂ©travailler plus de trois jours par semaine ; et L’agent, qu’il soit Ă  temps plein ou Ă  temps partiel, doit ĂȘtre prĂ©sent sur son lieu de travail au moins deux jours par semaine. Exception – Depuis le 7 mai 2020, des dĂ©rogations sont admises en raison Soit de l’état de santĂ©, du handicap ou de la grossesse de l’agent ; Soit d’une situation exceptionnelle perturbant l’accĂšs au service ou le travail sur site. Par consĂ©quent, depuis le 7 mai 2020 et pour une durĂ©e limitĂ©e Ă  celle rĂ©sultant de la crise sanitaire, les agents publics peuvent ĂȘtre autorisĂ©s Ă  exercer exclusivement en tĂ©lĂ©travail. La durĂ©e de ces autorisations doit ĂȘtre strictement limitĂ©e Ă  la durĂ©e de cette situation exceptionnelle. Puis-je refuser de placer un agent en tĂ©lĂ©travail ? Oui, Ce refus doit ĂȘtre justifiĂ© par l’incompatibilitĂ© de cette modalitĂ© d’organisation du service avec la nature des missions de l’agent et / ou l’intĂ©rĂȘt du service. Ce refus doit par ailleurs ĂȘtre motivĂ© et prĂ©cĂ©dĂ© d’un entretien avec l’autoritĂ© territoriale le maire ou le prĂ©sident de l’EPCI. Puis-je contraindre un agent Ă  exercer en tĂ©lĂ©travail ? Non, Bien que le protocole national de dĂ©confinement Ă©tabli le 9 mai 2020 rappelle que le tĂ©lĂ©travail 
 doit ĂȘtre la rĂšgle chaque fois qu’il peut ĂȘtre mis en Ɠuvre », les dispositions rĂšglementaires applicables aux agents publics ne prĂ©voient aucune dĂ©rogation au principe selon lequel l’exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail est accordĂ© sur demande Ă©crite de l’agent » article 5 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 prĂ©citĂ©. Le poste de travail de l’agent devra par consĂ©quent ĂȘtre adaptĂ© dans le respect des recommandations gouvernementales, notamment – le sĂ©quencement des activitĂ©s et la mise en place d’horaires dĂ©calĂ©s, afin de limiter les risques d’affluence du personnel et permettre le respect des gestes barriĂšres ; – la fixation d’un nombre maximal de personnes simultanĂ©ment admises dans un espace ouvert ; – La gestion des flux de circulation sur le lieu de travail ; – Le port du masque lorsque les gestes barriĂšres ne peuvent ĂȘtre respectĂ©s. Dois-je prendre en charge l’achat du matĂ©riel informatique mis Ă  la disposition de l’agent ? Oui, L’employeur public doit prendre en charge les coĂ»ts dĂ©coulant directement de l’exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail », conformĂ©ment Ă  l’article 6 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 prĂ©citĂ©. À ce titre, il doit notamment prendre en charge le coĂ»t du matĂ©riel nĂ©cessaire Ă  l’agent ordinateur, tĂ©lĂ©phone, imprimante etc., de la maintenance de ce matĂ©riel, des logiciels Word, antivirus etc. ainsi que des outils cartouches d’encre, clĂ© 3G etc.. Un doute existe sur la prise en charge d’une quote-part des frais fixes supportĂ©s par le salariĂ© quote-part de la surface du logement consacrĂ©e au tĂ©lĂ©travail sur le loyer, la fiscalitĂ© locale TF, TH, etc. les charges de copropriĂ©tĂ©, l’assurance, le chauffage, l’électricitĂ©, etc.. D’autres dĂ©penses peuvent ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ©es par la mise en place du tĂ©lĂ©travail et doivent alors ĂȘtre payĂ©es par l’administration en sa qualitĂ© d’employeur installation de prises supplĂ©mentaires, achat d’un bureau, d’un fauteuil, d’une lampe, d’une Ă©tagĂšre, etc. L’étendue et les modalitĂ©s de cette prise en charge par l’employeur doit ĂȘtre prĂ©cisĂ©e dans la dĂ©cision fixant les modalitĂ©s d’organisation du tĂ©lĂ©travail cf. supra 1Ăšre Ă©tape ». Cette prise en charge peut se traduire par une simple mise Ă  disposition du matĂ©riel appartenant Ă  l’administration. Exception – L’administration peut autoriser et non obliger l’agent Ă  utiliser son Ă©quipement informatique personnel lorsque – Soit l’agent a obtenu une autorisation d’exercice temporaire en tĂ©lĂ©travail en raison d’une situation exceptionnelle perturbant l’accĂšs au service ou le travail sur site ; – Soit l’agent utilise des jours dits flottants ». La mise en place accrue du tĂ©lĂ©travail a aiguisĂ© l’appĂ©tit des pirates informatiques et les administrations publiques sont une cible de choix dans ce cadre. Une vigilance renforcĂ©e doit ĂȘtre adoptĂ©e. Sans prĂ©tendre Ă  l’exhaustivitĂ©, voici un socle minimal de rĂšgles Ă  respecter qu’il est possible de prĂ©senter dans la perspective de la mise en place d’un tĂ©lĂ©travail sĂ©curisĂ©. Il convient en premier lieu de favoriser l’usage d’équipements fournis et contrĂŽlĂ©s par la collectivitĂ©. Il faut recommander la rĂ©daction d’une charte de sĂ©curitĂ© informatique dans le cadre du tĂ©lĂ©travail et la notifier Ă  l’agent avant de la joindre Ă  sa fiche de poste. Ces mesures de sĂ©curitĂ© doivent Ă©galement ĂȘtre consignĂ©es dans la dĂ©cision fixant les modalitĂ©s d’organisation du tĂ©lĂ©travail cf. supra 1Ăšre Ă©tape », p. 2. Lorsque l’agent traite ou conserve des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel sur son ordinateur personnel, des mesures de sĂ©curitĂ© doivent impĂ©rativement ĂȘtre adoptĂ©es afin de protĂ©ger ces donnĂ©es. La CNIL recommande en ce sens des pratiques minimales L’installation d’un antivirus et d’un pare-feu ; L’utilisation d’un compte personnel avec des droits limitĂ©s ; La mise Ă  jour rĂ©guliĂšre du systĂšme d’exploitation et des logiciels utilisĂ©s. Les systĂšmes d’exploitation dont le support et les mises Ă  jour abandonnĂ©es sont Ă  prohiber absolument Windows 7 et les versions antĂ©rieures ; L’utilisation de mots de passe forts doit ĂȘtre recommandĂ©e et gĂ©nĂ©ralisĂ©e. A noter, la CNIL propose un outil de gĂ©nĂ©ration de mot de passe fort particuliĂšrement utile. Il faut, dans tous les cas, recommander Ă  l’agent qui utilise le Wi-Fi de son domicile d’activer l’option de chiffrement WPA2 ou WPA3. Il convient en outre de dĂ©sactiver la fonction WPS[8] ainsi que le Wi-Fi invitĂ©. Il convient de favoriser l’échanges de donnĂ©es Ă  travers les stockages disponibles depuis un VPN[9] mis Ă  disposition par la collectivitĂ©. Mes agents peuvent-ils Ă©changer des donnĂ©es professionnelles par mail en toute sĂ©curitĂ© en tĂ©lĂ©travail ? Non, Il convient plus globalement de prohiber toute transmission de donnĂ©es confidentielles via La messagerie boĂźte mail ; Des services grand public de stockage type OneDrive, Dropbox, etc Des services grand public de partage de fichiers type WeTransfer, etc. À dĂ©faut, chiffrez les donnĂ©es avant de les transmettre et transmettez les clĂ©s de chiffrement via un canal de communication distinct par exemple, communication du mot de passe par tĂ©lĂ©phone ou SMS. Le chiffrement doit prĂ©senter alors des garanties suffisantes de fiabilitĂ©. La CNIL semble recommander pour ce faire des logiciels grand public comme 7-zip et Zed!. [1] ConsidĂ©rant qu’aux termes de l’article 1er de la loi du 10 dĂ©cembre 1952 relative Ă  l’établissement obligatoire d’un statut du personnel administratif des chambres d’agriculture, des chambres de commerce et des chambres de mĂ©tiers ” La situation du personnel administratif des chambres d’agriculture, des chambres de commerce et des chambres de mĂ©tiers est dĂ©terminĂ©e par un statut Ă©tabli par des commissions paritaires nommĂ©es, pour chacune de ces institutions, par le ministre de tutelle ” ; que les agents des chambres de commerce et d’industrie sont rĂ©gis par les seuls textes pris en application de la loi du 10 dĂ©cembre 1952 Ă  l’exclusion de la loi du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires » CE, 21 novembre 2014, CCI Nice-CĂŽte-d’Azur, n° 375121, mentionnĂ© aux Tables. [2] ConformĂ©ment Ă  l’article 7 du dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature [3] ConformĂ©ment Ă  l’article 7 du dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature [4] attention ce guide n’a pas Ă©tĂ© modifiĂ© suite Ă  l’adoption du dĂ©cret n° 2020-524 du 5 mai 2020, qui a assoupli le recours au tĂ©lĂ©travail [5] Pour un exemple de mise en Ɠuvre de la thĂ©orie des circonstances exceptionnelles en raison de l’épidĂ©mie de covid-19 Cons. Const. 23 mars 2020, n° 2020-799 DC [6] L’article 32 du rĂšglement du 27 avril 2016 dit RGPD dispose Compte tenu de l’état des connaissances, des coĂ»ts de mise en Ɠuvre et de la nature, de la portĂ©e, du contexte et des finalitĂ©s du traitement ainsi que des risques, dont le degrĂ© de probabilitĂ© et de gravitĂ© varie, pour les droits et libertĂ©s des personnes physiques, le responsable du traitement et le sous-traitant mettent en Ɠuvre les mesures techniques et organisationnelles appropriĂ©es afin de garantir un niveau de sĂ©curitĂ© adaptĂ© au risque, y compris entre autres, selon les besoins 
 b des moyens permettant de garantir la confidentialitĂ©, l’intĂ©gritĂ©, la disponibilitĂ© et la rĂ©silience constantes des systĂšmes et des services de traitement ; 
 d une procĂ©dure visant Ă  tester, Ă  analyser et Ă  Ă©valuer rĂ©guliĂšrement l’efficacitĂ© des mesures techniques et organisationnelles pour assurer la sĂ©curitĂ© du traitement ». [7] L’article 226-17 du Code pĂ©nal dispose Le fait de procĂ©der ou de faire procĂ©der Ă  un traitement de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel sans mettre en Ɠuvre les mesures prescrites aux articles 24, 25, 30 et 32 du rĂšglement UE 2016/679 du 27 avril 2016 prĂ©citĂ© ou au 6° de l’article 4 et aux articles 99 Ă  101 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 prĂ©citĂ©e est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende » [8] Bouton poussoir prĂ©sent sur de nombreux routeurs conçus pour faciliter le processus de connexion Ă  un rĂ©seau sans fil sĂ©curisĂ© depuis un ordinateur [9] Vitual Private Network

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SommaireNote de gestion du 1er juillet 2021 relative aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail Ă  la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile1. DĂ©finition du ElĂ©ments constitutifs du Situations ne relevant pas de la rĂ©glementation relative au Le travail sur site Le travail La mission ou le AmĂ©nagement de poste de travail2. CompatibilitĂ© des activitĂ©s avec le tĂ©lĂ©travail Principe la compatibilitĂ© des activitĂ©s avec le PrĂ©cisions relatives aux incompatibilitĂ©s des activitĂ©s avec le IncompatibilitĂ©s dĂ©finies par l’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 20163. ModalitĂ©s d’exercice du tĂ©lĂ©travail Lieux d’ Notion de domicile ou de lieu Notion de lieu Ă  usage Type de Un travail Un travail Mise en place d’une pĂ©riode d’ Agents exerçant leurs fonctions Ă  temps Agents Ă  temps TĂ©lĂ©travail en raison de l’état de santĂ©, de grossesse ou de handicap ou d’une situation exceptionnelle4. ProcĂ©dure et instruction des demandes de tĂ©lĂ©travail Formalisation de la demande de l’ Organisation de campagnes de recueil des Entretien prĂ©alable entre l’agent et son Contenu de l’ PrĂ©paration de l’ Avis du DĂ©cision du chef de Formalisme de la dĂ©cision d’ Documents remis lors de la DĂ©cision de Recours5. Mise en Ɠuvre et cessation du tĂ©lĂ©travail ConformitĂ© Ă©lectrique et assurance Fourniture, installation et entretien du matĂ©riel nĂ©cessaire Ă  l’exercice du Obligation de l’employeur et prĂ©vention des risques Mise en place d’une formation adaptĂ©e au tĂ©lĂ©travailleur et Ă  son Les modalitĂ©s de prise en compte des horaires effectifs de Agents Ă  horaires Agents Ă  horaires ContrĂŽle des horaires de Modification des conditions d’exercice et cessation du tĂ©lĂ©travail Modification ponctuelle des conditions d’exercice Ă  la demande du supĂ©rieur hiĂ©rarchique Modification durable des conditions d’exercice Ă  la demande de l’agent ou du supĂ©rieur hiĂ©rarchique jour fixe, quotitĂ© En cas de changement d’activitĂ© ou du lieu d’exercice du A la demande de l’agent ou de l’administration6. Dispositifs de suivi et de concertation concernant le tĂ©lĂ©travail Note de gestion du 1er juillet 2021 relative aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail Ă  la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile NOR TRAA2120477N Texte non paru au journal officiel La SecrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile, RĂ©sumĂ© Conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail Ă  la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile CatĂ©gorie Directive adressĂ©e par les ministres aux services chargĂ©s de leur application Domaine Administration Mots clĂ©s liste fermĂ©e Aviation civile Autres mots clĂ©s libres tĂ©lĂ©travail, organisation du travail, hygiĂšne et sĂ©curitĂ©, conditions de travail Textes de rĂ©fĂ©rence Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiĂ©e portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiĂ©e portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l’État Loi n° 2012-347 du 12 mars 2012 modifiĂ©e relative Ă  l’accĂšs Ă  l’emploi titulaire et Ă  l’amĂ©lioration des conditions d’emplois des agents contractuels dans la fonction publique, Ă  la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives Ă  la fonction publique, notamment son article 133 DĂ©cret n° 82-453 du 28 mai 1982 modifiĂ© relatif Ă  l’hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ© du travail ainsi qu’à la prĂ©vention mĂ©dicale dans la fonction publique DĂ©cret n° 2000-815 du 25 aoĂ»t 2000 modifiĂ© relatif Ă  l’amĂ©nagement et Ă  la rĂ©duction du temps de travail dans la fonction publique de l’État et dans la magistrature DĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 modifiĂ© relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature ArrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016 portant application du dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature aux ministĂšres chargĂ©s de l’environnement et du logement Guide TĂ©lĂ©travail et travail en prĂ©sentiel » Ă©ditĂ© par la DGAFP et la DITP le 26 octobre 2020 Annexes 7 annexes – Annexe 1 TĂ©lĂ©travail et amĂ©nagement de poste de travail – Annexe 2 TĂ©lĂ©travail et accidents de service ou de travail – Annexe 3 Formulaire de demande d’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail – Annexe 4 Attestation de conformitĂ© du domicile Ă  l’exercice du tĂ©lĂ©travail – Annexe 5 DĂ©cision d’autorisation d’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail – Annexe 6 DĂ©cision de refus d’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail – Annexe 7 Charte du tĂ©lĂ©travail Ă  la DGAC et ses annexes Publication au Bulletin officiel ministĂ©riel Le dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature modifiĂ© par le dĂ©cret n° 2020-524 du 5 mai 2020 et l’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016 portant application du dĂ©cret n° 2016-151 du 11 fĂ©vrier 2016 relatif aux conditions et modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique et la magistrature aux ministĂšres chargĂ©s de l’environnement et du logement sont venus prĂ©ciser les conditions dans lesquelles il peut ĂȘtre recouru au tĂ©lĂ©travail. La prĂ©sente note de gestion a pour objet d’expliciter et de prĂ©ciser les modalitĂ©s d’application des textes prĂ©citĂ©s au sein des services de la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile. Sa lecture pourra ĂȘtre utilement complĂ©tĂ©e par celle du guide TĂ©lĂ©travail et travail en prĂ©sentiel » Ă©ditĂ© par la DGAFP et la DITP le 26 octobre 2020. Public concernĂ© Le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre exercĂ© par les fonctionnaires titulaires, les agents publics non titulaires, les ouvriers de l’Etat et les magistrats. Les personnels Ă  statut militaire n’entrent pas dans le champ d’application de cette rĂ©glementation. 1. DĂ©finition du tĂ©lĂ©travail ElĂ©ments constitutifs du tĂ©lĂ©travail L’article 2 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 dispose que le tĂ©lĂ©travail dĂ©signe toute forme d’organisation du travail dans laquelle les fonctions qui auraient pu ĂȘtre exercĂ©es par un agent dans les locaux oĂč il est affectĂ© sont rĂ©alisĂ©es hors de ces locaux en utilisant les technologies de l’information et de la communication ». Situations ne relevant pas de la rĂ©glementation relative au tĂ©lĂ©travail Le travail sur site distant Le travail exercĂ© par les agents dans les locaux de la DGAC mais sur un site diffĂ©rent de celui d’une partie de leur hiĂ©rarchie et de leurs collĂšgues ne constitue pas du tĂ©lĂ©travail mais du travail en site distant. Ces agents sont en revanche Ă©ligibles au tĂ©lĂ©travail dans les mĂȘmes conditions et sous les mĂȘmes rĂ©serves que l’ensemble des autres agents de la DGAC. Le travail nomade Le travailleur nomade passe l’essentiel de son temps de travail hors des locaux de l’employeur sans ĂȘtre localisĂ© Ă  un poste fixe comme le tĂ©lĂ©travailleur. Certaines fonctions impliquent en effet que les agents se rendent Ă  l’extĂ©rieur de leur bureau pour rencontrer, contrĂŽler, conseiller des services, des Ă©tablissements publics, des particuliers ou des entreprises. Ces agents, dont les fonctions impliquent un travail en dehors des locaux de l’administration, ne peuvent pas ĂȘtre qualifiĂ©s de tĂ©lĂ©travailleurs de ce seul fait. Ils sont couverts par un ordre de mission. Ils sont en revanche Ă©ligibles au tĂ©lĂ©travail dans les mĂȘmes conditions et sous les mĂȘmes rĂ©serves que l’ensemble des autres agents de la DGAC. La mission ou le dĂ©placement Le tĂ©lĂ©travail est une modalitĂ© habituelle d’organisation du travail. Le tĂ©lĂ©travailleur exerce son activitĂ© de maniĂšre rĂ©guliĂšre ou ponctuelle Ă  son domicile, dans un local professionnel distinct ou un tiers lieu une partie de la semaine ou du mois. Lors de ces pĂ©riodes, l’agent n’est ni en mission ni en dĂ©placement professionnel. A l’inverse, compte tenu de la primautĂ© des nĂ©cessitĂ©s de service, un dĂ©placement professionnel ou la participation Ă  une rĂ©union ou Ă  une formation ne peut ĂȘtre refusĂ© par le tĂ©lĂ©travailleur au motif qu’il serait positionnĂ© un jour tĂ©lĂ©travaillĂ©. AmĂ©nagement de poste de travail La distinction entre le tĂ©lĂ©travail et l’amĂ©nagement de poste de travail prĂ©vu Ă  l’article 26 du dĂ©cret n° 82-453 du 28 mai 1982 modifiĂ© relatif Ă  l’hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ© du travail ainsi qu’à la prĂ©vention mĂ©dicale dans la fonction publique est prĂ©sentĂ©e en annexe 1. 2. CompatibilitĂ© des activitĂ©s avec le tĂ©lĂ©travail Principe la compatibilitĂ© des activitĂ©s avec le tĂ©lĂ©travail L’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016 pose comme principe la compatibilitĂ© avec le tĂ©lĂ©travail de l’ensemble des activitĂ©s exercĂ©es par les agents, sous rĂ©serve des exceptions prĂ©cisĂ©es au point ci-dessous. Lorsque certaines des activitĂ©s exercĂ©es par l’agent sont incompatibles avec le tĂ©lĂ©travail, il conviendra d’étudier si d’autres activitĂ©s tĂ©lĂ©travaillables peuvent ĂȘtre regroupĂ©es afin de permettre un ou plusieurs jours de tĂ©lĂ©travail par semaine. PrĂ©cisions relatives aux incompatibilitĂ©s des activitĂ©s avec le tĂ©lĂ©travail IncompatibilitĂ©s dĂ©finies par l’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016 Sont inĂ©ligibles au tĂ©lĂ©travail les activitĂ©s suivantes activitĂ©s nĂ©cessitant d’assurer un accueil physique des usagers ou des personnels Il s’agit essentiellement des activitĂ©s de guichet, dĂšs lors qu’un accueil physique des personnes est nĂ©cessaire. activitĂ©s comportant l’accomplissement de travaux portant sur des documents confidentiels ou donnĂ©es Ă  caractĂšre sensible, dĂšs lors que le respect de la confidentialitĂ© de ces documents ou donnĂ©es ne peut ĂȘtre assurĂ© en dehors des locaux de La notion de documents confidentiels » ne fait pas rĂ©fĂ©rence Ă  une catĂ©gorie prĂ©cisĂ©ment identifiĂ©e de documents. Elle ne se limite donc pas aux documents faisant l’objet d’une restriction de diffusion au titre du secret de la dĂ©fense nationale cf. instruction gĂ©nĂ©rale n° 1300 sur la protection du secret de la dĂ©fense nationale, mais peut s’étendre Ă  tout document dont les utilisateurs sont sensibilisĂ©s Ă  la nĂ©cessaire discrĂ©tion dont ils doivent faire preuve dans la manipulation des informations qu’ils contiennent par exemple, Confidentiel Personnel, Confidentiel MĂ©dical, 
, notamment lorsque ces informations ne doivent pas ĂȘtre rendues publiques et ne doivent ĂȘtre communiquĂ©es qu’aux personnes ayant besoin de les connaĂźtre dans l’exercice de leurs attributions. Il s’agit ici de garantir la sĂ©curitĂ© des documents concernĂ©s, aussi l’utilisation tant de piĂšces originales que de copies est visĂ©e. Sont visĂ©s les documents papier qui ne peuvent faire l’objet d’une numĂ©risation et d’un chiffrement et qui ne peuvent ĂȘtre transportĂ©s par les agents sans risquer de compromettre la confidentialitĂ© des informations qui y sont contenues. En ce qui concerne les donnĂ©es Ă  caractĂšre sensible », il s’agit de donnĂ©es numĂ©riques qui font l’objet de restrictions d’utilisation ou d’accĂšs en dehors des locaux de l’administration ou qui nĂ©cessitent des conditions de manipulation incompatibles avec un travail externalisĂ©. activitĂ©s comportant l’accomplissement de travaux nĂ©cessitant l’utilisation de logiciels ou applications faisant l’objet de restrictions d’utilisation Ă  distance ou l’utilisation de matĂ©riels spĂ©cifiques ; Pour exercer leur mission en tĂ©lĂ©travail, les agents concernĂ©s disposent des moyens matĂ©riels et logiciels allouĂ©s par la DGAC et accĂšdent aux systĂšmes d’information mĂ©tiers » via une connexion sĂ©curisĂ©e au rĂ©seau de la DGAC accĂšs dit VPN » les activitĂ©s se dĂ©roulant par nature sur le terrain, comme certaines activitĂ©s liĂ©es Ă  la navigation aĂ©rienne ou Ă  la maintenance des bĂątiments et des aĂ©ronefs ou Ă  l’exploitation des installations. 3. ModalitĂ©s d’exercice du tĂ©lĂ©travail Lieux d’exercice Selon l’article 2 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016, le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre organisĂ© au domicile de l’agent, dans un autre lieu privĂ© ou dans tout lieu Ă  usage professionnel ». Un agent peut bĂ©nĂ©ficier au titre d’une mĂȘme autorisation de ces diffĂ©rentes possibilitĂ©s. Ces notions de domicile, de lieu privĂ© et de lieu Ă  usage professionnel appellent les prĂ©cisions ci-dessous. Notion de domicile ou de lieu privĂ© La notion de domicile renvoie au lieu d’exercice du tĂ©lĂ©travail dĂ©clarĂ© par l’agent. Celui-ci pourra ainsi dĂ©clarer comme lieu d’exercice du tĂ©lĂ©travail un lieu unique ou une pluralitĂ© de lieux. La notion de domicile ne se confond pas nĂ©cessairement avec la rĂ©sidence familiale de l’agent. En cas de dĂ©claration par le tĂ©lĂ©travailleur d’une pluralitĂ© de domiciles, chacun d’entre eux devra rĂ©pondre aux exigences posĂ©es par l’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016 et dĂ©taillĂ©es au point de la prĂ©sente note de gestion. Le tĂ©lĂ©travail depuis un domicile privĂ© autre que la rĂ©sidence principale de l’agent est autorisĂ©. Notion de lieu Ă  usage professionnel En ce qui concerne les lieux Ă  usage professionnel, il peut s’agir de tout local professionnel mis Ă  disposition Ă  cet effet par d’autres administrations bĂątiment de l’État, d’un Ă©tablissement public ou d’une collectivitĂ© territoriale ou des structures privĂ©es dĂ©diĂ©es locaux d’une entreprise de cotravail ou d’une association par exemple. Lorsque l’administration dĂ©cide d’autoriser le tĂ©lĂ©travail dans des locaux professionnels distincts de ceux de l’employeur public et du lieu d’affectation de l’agent, ces locaux doivent ĂȘtre identifiĂ©s par une dĂ©cision du chef de service, qui prĂ©cisera en outre le nombre de postes de travail qui y sont disponibles ainsi que les Ă©quipements mis Ă  disposition. L’agent peut exercer le tĂ©lĂ©travail depuis des locaux professionnels appartenant Ă  son employeur public. L’employeur n’est pas tenu de prendre en charge le coĂ»t de la location d’un espace destinĂ© au tĂ©lĂ©travail. Type de tĂ©lĂ©travail Un travail rĂ©gulier Le tĂ©lĂ©travail peut revĂȘtir un caractĂšre rĂ©gulier ; ses caractĂ©ristiques sont fixĂ©es Ă  l’avance. Les jours tĂ©lĂ©travaillĂ©s sont dĂ©finis conjointement entre l’agent et son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, et prĂ©cisĂ©s au sein de l’acte individuel. Un travail ponctuel L’article 2-1 créé par le dĂ©cret n°2020-524 du 5 mai 2020 permet le recours au tĂ©lĂ©travail ponctuel grĂące Ă  la dĂ©livrance d’une autorisation de tĂ©lĂ©travail. Dans ce cadre, l’autorisation peut prĂ©voir l’attribution d’un volume de jours flottants de tĂ©lĂ©travail par semaine, par mois ou par an dont l’agent peut demander l’utilisation Ă  l’autoritĂ© responsable de la gestion de ses congĂ©s, en respectant un dĂ©lai prĂ©visionnel d’au moins 48 heures exception faite d’une demande motivĂ©e par une situation qui n’a pu ĂȘtre anticipĂ©e, par exemple en raison d’un problĂšme de transport imprĂ©vu. Un agent peut, au titre d’une mĂȘme autorisation, recourir au tĂ©lĂ©travail rĂ©gulier et aux jours de tĂ©lĂ©travail flottants. Il est Ă©galement possible de recourir au tĂ©lĂ©travail lorsqu’une situation exceptionnelle perturbe temporairement l’accĂšs au site de travail ou le travail sur site. Il peut s’agir notamment d’évĂšnements phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©oro- logiques, mouvements sociaux
 gĂ©nĂ©rant d’importantes difficultĂ©s de dĂ©placement. Mise en place d’une pĂ©riode d’adaptation L’article 5 du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 prĂ©voit qu’une pĂ©riode d’adaptation d’une durĂ©e de trois mois maximum peut ĂȘtre mise en place. DurĂ©e Le dĂ©cret du 5 mai 2020 a supprimĂ© la durĂ©e maximale d’un an pour laquelle l’autorisation de tĂ©lĂ©travail pouvait ĂȘtre dĂ©livrĂ©e. Le caractĂšre rĂ©versible de l’autorisation n’est quant Ă  lui pas remis en question. Ainsi, il peut ĂȘtre mis fin au tĂ©lĂ©travail Ă  tout moment et par Ă©crit, Ă  l’initiative de l’administration, motivĂ©e au regard de l’intĂ©rĂȘt du service, ou de l’agent, sans justification particuliĂšre Ă  fournir, moyennant un dĂ©lai de prĂ©venance de deux mois. Dans le cas oĂč il est mis fin Ă  l’autorisation de tĂ©lĂ©travail Ă  l’initiative de l’administration, le dĂ©lai de prĂ©venance peut ĂȘtre rĂ©duit en cas de nĂ©cessitĂ© du service, dĂ»ment motivĂ©e. Pendant la pĂ©riode d’adaptation prĂ©vue au point le dĂ©lai de prĂ©venance est ramenĂ© Ă  un mois. Ce dĂ©lai peut ĂȘtre rĂ©duit lorsque l’administration met fin Ă  la pĂ©riode d’adaptation pour nĂ©cessitĂ© de service dĂ»ment motivĂ©e. QuotitĂ© Agents exerçant leurs fonctions Ă  temps plein ConformĂ©ment Ă  l’article 3 du dĂ©cret 2016-151, la quotitĂ© des fonctions pouvant ĂȘtre exercĂ©es sous la forme du tĂ©lĂ©travail ne peut ĂȘtre supĂ©rieure Ă  trois jours par semaine. Ce seuil peut Ă©galement s’apprĂ©cier sur une base mensuelle, qu’il s’agisse de jours fixes ou flottants, attribuĂ©s sur une base mensuelle ou annuelle. La quotitĂ© tĂ©lĂ©travaillable est donc, pour un agent exerçant ses fonctions Ă  temps plein, de 3 jours par semaine ou 12 jours par mois. Le temps de prĂ©sence sur le lieu d’affectation ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă  2 jours par semaine ou 8 jours par mois. La rĂšgle de prĂ©sence minimale sur site doit s’apprĂ©cier au regard de la prĂ©sence sur site d’un agent hors la prise en compte de jours de congĂ©s, de jours ARTT ou de jours d’arrĂȘts maladie Ă  dĂ©faut, le nombre de jours de tĂ©lĂ©travail d’un agent par semaine ou par mois pourrait varier selon le nombre de jours de congĂ©s, de jours ARTT ou de jours d’arrĂȘt maladie posĂ©s selon la pĂ©riode, ce qui pourrait venir compliquer l’organisation personnelle de l’agent ou encore de dĂ©placements et vient rĂ©duire la quotitĂ© maximale de tĂ©lĂ©travail qui peut ĂȘtre autorisĂ©e pour un agent dont le temps de prĂ©sence sur site est rĂ©duit de maniĂšre rĂ©guliĂšre Ă  raison notamment d’un temps partiel, d’un temps incomplet, d’un temps compactĂ© ou dĂ©rogatoire temps de travail hebdomadaire complet effectuĂ© sur 4 ou 4,5 jours en raison de son cycle de travail. Agents Ă  temps partiel En cas de temps partiel, la quotitĂ© de tĂ©lĂ©travail est proportionnelle au temps partiel. Lorsque le tĂ©lĂ©travail est organisĂ© sur une base hebdomadaire, le temps de prĂ©sence sur le lieu d’affectation ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă  2 jours par semaine. Lorsqu’il est organisĂ© sur une base mensuelle, ces seuils doivent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s sur la durĂ©e correspondante. Le tableau ci-dessous synthĂ©tise les diffĂ©rents cas de figure, pour un agent travaillant sur un cycle de 35 heures QuotitĂ© de temps par- tiel Jours travaillĂ©s par se- maine Nb de jours de tĂ©lĂ©tra- vail maximum pos- sibles base hebdoma- daire Nb de jours de tĂ©lĂ©tra- vail maximum pos- sibles base men- suelle 50% 2,5 0,5 2 60% 3 1 4 70% 3,5 1,5 6 80% 4 2 8 90% 4,5 2,5 10 TĂ©lĂ©travail en raison de l’état de santĂ©, de grossesse ou de handicap ou d’une situation exceptionnelle L’article 4 modifiĂ© du dĂ©cret du 11 fĂ©vrier 2016 sur le tĂ©lĂ©travail permet de dĂ©roger sous conditions Ă  la limite maximale de 3 jours de tĂ©lĂ©travail. La demande de dĂ©passement de ces trois jours doit ĂȘtre justifiĂ©e par l’état de santĂ© du demandeur, le handicap ou la grossesse et est soumise Ă  l’avis du service de mĂ©decine de prĂ©vention. Cette dĂ©rogation est limitĂ©e Ă  6 mois maximum et peut ĂȘtre renouvelĂ©e dans les mĂȘmes conditions. Il peut Ă©galement ĂȘtre dĂ©rogĂ© Ă  la limite maximale de 3 jours de tĂ©lĂ©travail lorsqu’une autorisation temporaire de tĂ©lĂ©travail a Ă©tĂ© demandĂ©e et accordĂ©e en raison d’une situation exceptionnelle perturbant l’accĂšs au service ou le travail sur site 4. ProcĂ©dure et instruction des demandes de tĂ©lĂ©travail Formalisation de la demande de l’agent L’agent dĂ©pose une demande d’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail Ă  l’aide du formulaire figurant en annexe 3 et l’adresse Ă  son supĂ©rieur hiĂ©rarchique N+1 avec un certificat de conformitĂ© ou Ă  dĂ©faut une attestation sur l’honneur justifiant de la conformitĂ© de l’installation Ă©lectrique de son espace de travail Ă  la norme NF C 15-100 relative aux installations Ă©lectriques basse tension en France. La demande de l’agent prĂ©cise les activitĂ©s qu’il propose d’effectuer en tĂ©lĂ©travail l’organisation de la pĂ©riode de tĂ©lĂ©travail souhaitĂ©e tĂ©lĂ©travail rĂ©gulier jours fixes pĂ©riodicitĂ© hebdomadaire ou mensuelle tĂ©lĂ©travail ponctuel jours flottants pĂ©riodicitĂ© hebdomadaire, mensuelle ou annuelle tĂ©lĂ©travail mĂȘlant des jours fixes et des jours quotitĂ© ou volume de tĂ©lĂ©travail, lieux d’exercice. Si les tĂąches identifiĂ©es par l’agent ne sont pas Ă©ligibles au tĂ©lĂ©travail conformĂ©ment Ă  l’article 2 de l’arrĂȘtĂ© du 21 juillet 2016, le chef de service le reçoit en entretien pour lui expliquer sa dĂ©cision refus et le service RH de proximitĂ© notifie le refus Ă  l’agent par lettre motivĂ©e. Si les tĂąches sont Ă©ligibles, le N+1 convoque l’agent pour un entretien prĂ©alable en s’appuyant sur la grille d’entretien de demande d’autorisation d’exercer en tĂ©lĂ©travail disponible sur Bravo Victor. Une rĂ©ponse Ă©crite est donnĂ©e Ă  la demande de tĂ©lĂ©travail, dĂšs lors que le dossier est complet, dans un dĂ©lai d’un mois maximum Ă  compter de la date de sa rĂ©ception ou de la date limite de dĂ©pĂŽt lorsqu’une campagne de recensement des demandes est organisĂ©e. Organisation de campagnes de recueil des demandes Afin de permettre aux services de disposer d’une vision complĂšte des demandes de tĂ©lĂ©travail qui pourraient ĂȘtre formulĂ©es, l’organisation de la remontĂ©e et de l’instruction de ces demandes font l’objet d’un calendrier d’instruction annuel dĂ©fini au niveau du service. Ces campagnes de demandes de tĂ©lĂ©travail peuvent permettre d’anticiper les Ă©volutions nĂ©cessaires de l’organisation collective du travail, les Ă©ventuels besoins de modulation du nombre de jours de tĂ©lĂ©travail accordĂ©s, les besoins en moyens matĂ©riels ou encore l’articulation de ces demandes avec le calendrier des formations qu’il conviendra de mettre en place. Elles permettent de consulter le collectif de travail en connaissant l’ensemble des demandes de tĂ©lĂ©travail l’impactant. Ces campagnes interviennent en prioritĂ© Ă  l’issue de la campagne d’entretien professionnel qui sera l’occasion d’évoquer la question du tĂ©lĂ©travail. En effet, l’entretien professionnel comprendra une partie relative au tĂ©lĂ©travail. Il s’agit pour l’agent de se prononcer sur son souhait ou non de tĂ©lĂ©travailler, ou, s’il est dĂ©jĂ  tĂ©lĂ©travailleur, de faire le point sur cette organisation du travail. Entretien prĂ©alable entre l’agent et son encadrement Contenu de l’entretien Plusieurs aspects de la demande de l’agent sont abordĂ©s au cours de cet entretien comme L’apprĂ©ciation de la demande de tĂ©lĂ©travail au regard des activitĂ©s de l’agent Le nombre de jours de tĂ©lĂ©travail et l’organisation du tĂ©lĂ©travail rĂ©gulier ou ponctuel demandĂ©s par l’agent doivent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s en fonction de sa situation et Ă©galement des nĂ©cessitĂ©s du service. La possibilitĂ© pour l’agent de demander l’utilisation de ses jours flottants doit Ă©galement ĂȘtre prise en compte par le supĂ©rieur hiĂ©rarchique au regard de l’organisation collective de travail. C’est pourquoi ces Ă©lĂ©ments devront ĂȘtre dĂ©finis conjointement entre l’agent et son encadrement, qui pourra tenir compte d’élĂ©ments extĂ©rieurs pour rendre son avis prĂ©sence ou non d’un ou de plusieurs tĂ©lĂ©travailleurs au sein du collectif de travail par exemple. Le ou les lieux d’exercice du tĂ©lĂ©travail et les conditions dans lesquelles le tĂ©lĂ©travailleur peut ou non rejoindre son service dans des dĂ©lais raisonnables appropriĂ©s Ă  la nature de ses missions en cas de nĂ©cessitĂ© de les conditions dans lesquelles l’agent pourra ĂȘtre joint, l’articulation entre les pĂ©riodes de travail accomplies au lieu de tĂ©lĂ©travail et sur son lieu d’affectation. La modularitĂ© des horaires doit notamment ĂȘtre Ă©voquĂ©e et prĂ©cisĂ©ment convenue, afin de prĂ©server la capacitĂ© du service Ă  s’organiser et maintenir une dynamique collective participations aux rĂ©unions, Ă  la vie du service. les risques professionnels associĂ©s au tĂ©lĂ©travail risques psycho-sociaux en raison notamment de l’isolement social et professionnel ou des difficultĂ©s de gestion du temps et d’articulation entre vie professionnelle et vie personnelle et troubles musculo-squelettiques liĂ©s Ă  l’amĂ©nagement du poste de travail et Ă  la posture,. Outre les Ă©lĂ©ments Ă©voquĂ©s au cours de l’entretien, le supĂ©rieur hiĂ©rarchique peut notamment prendre en considĂ©ration les donnĂ©es suivantes pour rendre son avis L’anciennetĂ© de l’agent sur son poste ou son expĂ©rience professionnelle. Un agent qui est encore en phase d’acquisition des connaissances nĂ©cessaires, notamment en matiĂšre d’outils, peut devoir dispo- ser d’un accompagnement de la part de ses collĂšgues et de son manager. La capacitĂ© Ă  s’organiser, Ă  gĂ©rer son temps ; L’autonomie, la rigueur et la capacitĂ© Ă  rendre des Cet entretien pourra ainsi ĂȘtre l’occasion d’orienter le demandeur potentiel vers des dispositifs d’accompagnement dans le cadre de la dĂ©tection d’un risque liĂ© Ă  la posture de travail, la dĂ©tection d’un risque d’isolement ou des difficultĂ©s que pourrait masquer une demande de tĂ©lĂ©travail, ou qu’une telle situation de travail pourrait accroĂźtre. Dans ce cadre, les interlocuteurs sont les rĂ©seaux mĂ©dicaux, sociaux et de prĂ©vention. PrĂ©paration de l’entretien Un diagnostic prĂ©alable pourra ĂȘtre rĂ©alisĂ© prĂ©alablement Ă  l’entretien avec le supĂ©rieur hiĂ©rarchique. Il pourra utilement ĂȘtre recouru, tant par l’agent qui sollicite le tĂ©lĂ©travail que par son encadrant, Ă  la fiche d’auto- Ă©valuation agent disponible sur Bravo Victor. La demande, revĂȘtue de l’avis hiĂ©rarchique, est soumise au responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information RSSI ou par dĂ©lĂ©gation1 du RSSI Ă  l’agent de la SĂ©curitĂ© des SystĂšmes d’Information ASSI, qui s’assurera de la compatibilitĂ© du tĂ©lĂ©travail avec l’emploi de logiciels spĂ©cifiques ou de traitement de donnĂ©es particuliĂšres. Une liste des autorisations doit ĂȘtre tenue Ă  jour par chaque responsable les ayant accordĂ©es. 1 Ceci suppose donc au prĂ©alable que le RSSI ait prĂ©cisĂ© formellement les conditions de dĂ©lĂ©gation de sa signature. Celui-ci dispose de 15 jours Ă  compter de la date de rĂ©ception de la saisine pour Ă©mettre un avis. Plusieurs situations peuvent alors se prĂ©senter le RSSI Ă©met un avis favorable sur la demande la dĂ©cision d’autorisation peut alors ĂȘtre prise par le chef de service ; le RSSI n’émet aucune observation dans un dĂ©lai de 15 jours cette absence d’avis vaut avis favorable, et la dĂ©cision d’autorisation peut alors ĂȘtre prise par le chef de service ; le RSSI Ă©met un avis dĂ©favorable mais formule des conditions qui permettraient un avis favorable le chef de service peut alors prendre la dĂ©cision de placement en tĂ©lĂ©travail en tenant compte des remarques formulĂ©es par le RSSI, ou dĂ©livrer une dĂ©cision de refus si les conditions ne peuvent ĂȘtre mises en Ɠuvre ; le RSSI Ă©met un avis dĂ©favorable, le chef de service dĂ©livre alors une dĂ©cision de refus ; le RSSI suspend le dĂ©lai d’avis de 15 jours en raison de difficultĂ©s de toute nature ; il indique par Ă©crit les raisons de cette suspension, en prĂ©cise le dĂ©lai, et en informe l’agent ainsi que le service RH. L’avis du RSSI porte sur la conformitĂ© des installations de l’agent en tĂ©lĂ©travail. L’accĂšs aux ressources et applications reste rĂ©gi par la charte d’usage des systĂšmes d’information disponible sur Bravo Victor. DĂ©cision du chef de service La dĂ©cision de placement en tĂ©lĂ©travail ou de refus est prise par le chef de service, au vu de la demande de l’agent, de l’apprĂ©ciation de son supĂ©rieur hiĂ©rarchique et de l’avis du responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information. La dĂ©cision de placement en tĂ©lĂ©travail comporte un certain nombre de mentions obligatoires, et sa notification s’accompagne de la remise de divers documents. Formalisme de la dĂ©cision d’autorisation La dĂ©cision autorisant le tĂ©lĂ©travail doit obligatoirement prĂ©ciser plusieurs Ă©lĂ©ments Les activitĂ©s de l’agent exercĂ©es en tĂ©lĂ©travail ; Le lieu ou les lieux d’exercice en tĂ©lĂ©travail. En cas de jours fixes au cours de la semaine ou du mois Les jours de rĂ©fĂ©rence travaillĂ©s sous forme de tĂ©lĂ©travail Le volume de jours flottants au cours de la semaine, du mois ou de l’annĂ©e, avec rappel du dĂ©lai de prĂ©venance d’au moins 48 heures prĂ©vu au point La durĂ©e de l’autorisation ou de son renouvellement lorsqu’elle est accordĂ©e en raison de l’état de santĂ©, du handicap ou de la grossesse Les plages horaires durant lesquelles l’agent exerçant ses activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail est Ă  la disposition de son employeur et peut ĂȘtre joint, par rĂ©fĂ©rence au cycle de travail de l’agent ou aux amplitudes horaires de travail habituelles ; Le cas Ă©chĂ©ant, la pĂ©riode d’adaptation ; La date de prise d’effet de l’exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail. Des modĂšles de dĂ©cisions qui sont issus du SIRH portant autorisation d’exercice du tĂ©lĂ©travail sont fournis en annexe 5. Documents remis lors de la notification Par ailleurs, sont annexĂ©s Ă  cette dĂ©cision les documents suivants la charte du tĂ©lĂ©travail, et ses annexes, signĂ©e par l’agent et son supĂ©rieur hiĂ©rarchique direct, intĂ©grant notamment les rĂšgles Ă  respecter en matiĂšre de sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information et de protection des donnĂ©es » ces rĂšgles sont dĂ©finies dans la directive d’utilisation des systĂšmes d’information, qui formalise les rĂšgles que tout utilisateur de systĂšmes d’information doit connaĂźtre et qui lui sont directement applicables ainsi qu’un rappel des rĂšgles Ă  respecter en matiĂšre de temps de travail, de sĂ©curitĂ© et de protection de la santĂ© la liste des Ă©quipements mis Ă  la disposition du tĂ©lĂ©travailleur et les rĂšgles d’utilisation, Ă  signer par l’agent. DĂ©cision de refus Le refus opposĂ© Ă  une demande de tĂ©lĂ©travail est motivĂ© et signifiĂ© par Ă©crit, dans un dĂ©lai d’un mois maximum Ă  compter de la date de rĂ©ception de la demande ou Ă  compter de la date de dĂ©pĂŽt prĂ©vue pour la campagne. Il est prĂ©cĂ©dĂ© d’un entretien. La compatibilitĂ© de la demande de tĂ©lĂ©travail est apprĂ©ciĂ©e au regard de la nature des activitĂ©s exercĂ©es et de l’intĂ©rĂȘt du service, en s’appuyant notamment sur les Ă©lĂ©ments tels qu’ils ressortent de l’entretien rĂ©alisĂ© par le supĂ©rieur hiĂ©rarchique de l’agent. Des modĂšles de dĂ©cisions produites par le SIRH portant refus d’exercice du tĂ©lĂ©travail sont fournis en annexe 6. Recours En cas de refus opposĂ© Ă  la demande de l’agent, ce dernier peut saisir la commission administrative ou consultative paritaire ou la commission d’avancement ouvrier compĂ©tente. 5. Mise en Ɠuvre et cessation du tĂ©lĂ©travail ConformitĂ© Ă©lectrique et assurance habitation Lorsque les lieux de tĂ©lĂ©travail est le domicile de l’agent ou un autre lieu privĂ©, ilsdoitvent rĂ©pondre aux exigences prĂ©vues Ă  l’article 5 du dĂ©cret n°2016-151 modifiĂ© qui requiert la fourniture d’une attestation de conformitĂ© des installations aux spĂ©cifications techniques. ConformitĂ© Ă©lectrique L’installation Ă©lectrique du poste de travail doit respecter la norme Ă©lectrique NF C 15-100. Il n’est pas exigĂ© que l’intĂ©gralitĂ© du logement soit certifiĂ© conforme Ă  la norme NF C 15-100 ; il est seulement exigĂ© que l’espace dĂ©diĂ© au tĂ©lĂ©travail le soit. La conformitĂ© Ă©lectrique de l’installation peut ĂȘtre attestĂ©e par un certificat de conformitĂ© rĂ©alisĂ© par un organisme professionnel type Consuel. Le coĂ»t du certificat de conformitĂ© rĂ©alisĂ© par un organisme professionnel est pris en charge par l’agent, de mĂȘme que les Ă©ventuels travaux de mise aux normes. La conformitĂ© Ă©lectrique de l’installation peut Ă©galement ĂȘtre certifiĂ©e au moyen d’une attestation signĂ©e de l’agent. Cette attestation permet de s’assurer que la prise Ă  laquelle l’ordinateur sera branchĂ© est protĂ©gĂ©e par un interrupteur diffĂ©rentiel calibrĂ© Ă  30mA qui permet la protection des personnes en coupant instantanĂ©ment le courant et par un disjoncteur qui vise Ă  protĂ©ger le circuit Ă©lectrique en cas de surcharge et de court-circuit. Il s’agit de sensibiliser l’agent au risque Ă©lectrique et Ă©galement Ă  la nĂ©cessitĂ© de limiter au maximum les risques incendie. En cas de non-conformitĂ© des installations ou d’absence d’attestation, le tĂ©lĂ©travail peut ĂȘtre refusĂ©. Assurance habitation Le recours Ă  une assurance par l’agent qui demande le tĂ©lĂ©travail, sous rĂ©serve des obligations d’assurance obligatoire prescrites par loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant Ă  amĂ©liorer les rapports locatifs, relĂšve de sa libertĂ© contractuelle et ne constitue donc pas une obligation lĂ©gale ou rĂ©glementaire. Il est en revanche recommandĂ© aux agents souhaitant tĂ©lĂ©travailler de vĂ©rifier qu’ils sont couverts par une assurance contre les dommages qu’ils pourraient causer dans le cadre de leur activitĂ© en tĂ©lĂ©travail. Fourniture, installation et entretien du matĂ©riel nĂ©cessaire Ă  l’exercice du tĂ©lĂ©travail Un ordinateur portable et un tĂ©lĂ©phone portable, conformes aux standards DGAC, sont fournis par l’administration, Ă  l’exclusion de tout autre Ă©quipement. Lorsque le lieu d’exercice du tĂ©lĂ©travail n’est pas couvert par un opĂ©rateur de tĂ©lĂ©phonie mobile, d’autres solutions techniques pourront ĂȘtre proposĂ©es, dĂšs lors qu’elles sont conformes Ă  la politique d’équipement des services. En revanche, l’utilisation de la ligne de tĂ©lĂ©phonie privĂ©e de l’agent est proscrite, cette solution ne permettant pas le respect de la vie privĂ©e de l’agent. En cas de multiplicitĂ© de lieux de tĂ©lĂ©travail, un seul Ă©quipement informatique est fourni ; il appartient Ă  l’agent de transporter son matĂ©riel sur un autre lieu de travail, le cas Ă©chĂ©ant. Le matĂ©riel remis Ă  l’agent fait l’objet d’un descriptif qui lui est remis lors de la notification de la dĂ©cision de placement en tĂ©lĂ©travail. L’installation de l’équipement informatique Ă  son domicile est rĂ©alisĂ©e, sauf impossibilitĂ© avĂ©rĂ©e, par l’agent ; ce dernier peut nĂ©anmoins contacter le service informatique en cas de difficultĂ©. En revanche, comme tous les matĂ©riels mis Ă  disposition des agents, qu’ils soient tĂ©lĂ©travailleurs ou pas, l’entretien de l’équipement est assurĂ© par les services informatiques, dans les locaux de l’administration. En cas de problĂšme technique nĂ©cessitant une intervention physique sur l’équipement, le tĂ©lĂ©travailleur devra amener ce dernier dans les locaux du service informatique ou de son lieu de travail habituel oĂč son service prendra en charge l’expĂ©dition au service informatique distant afin que ce dernier procĂšde Ă  l’analyse des problĂšmes et rĂ©alise les interventions nĂ©cessaires. Le tĂ©lĂ©travailleur ne doit pas rĂ©aliser les rĂ©parations lui- mĂȘme ou en confiant son ordinateur Ă  un rĂ©parateur privĂ©. Pour les difficultĂ©s qui peuvent ĂȘtre rĂ©glĂ©es Ă  distance, l’agent a la possibilitĂ© de contacter son service informatique. Lorsqu’un agent demande l’utilisation des jours flottants de tĂ©lĂ©travail ou l’autorisation temporaire de tĂ©lĂ©tra- vail en cas de situation exceptionnelle perturbant l’accĂšs au site de travail ou le travail sur site, l’administration peut autoriser l’utilisation de l’équipement informatique personnel de l’agent, dans des conditions expressĂ©- ment prĂ©cisĂ©es par le RSSI ou la DSI. En cas d’utilisation de l’équipement informatique personnel de l’agent, l’administration se rĂ©serve le droit de limiter les accĂšs aux ressources de la DGAC. Obligation de l’employeur et prĂ©vention des risques professionnels En application des dispositions du dĂ©cret n°82-453 du 28 mai 1982 relatif Ă  l’hygiĂšne et Ă  la sĂ©curitĂ© du travail ainsi qu’à la prĂ©vention mĂ©dicale dans la fonction publique, notamment son article 2-1, les chefs de service sont chargĂ©s, dans la limite de leurs attributions et dans le cadre des dĂ©lĂ©gations qui leur sont consenties, de veiller Ă  la sĂ©curitĂ© et Ă  la protection de la santĂ© des agents placĂ©s sous leur autoritĂ© ». Ils veillent, en particulier, au respect des dispositions suivantes. L’assistant ou le conseiller de prĂ©vention ainsi que le mĂ©decin du travail ou l’infirmier restent les interlocuteurs privilĂ©giĂ©s des agents pour rĂ©pondre aux questions de santĂ© et de sĂ©curitĂ© au travail au cours de l’exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail. Le tĂ©lĂ©travailleur peut solliciter une visite de son lieu de tĂ©lĂ©travail afin d’évaluer exclusivement l’adĂ©quation du poste de travail et son environnement immĂ©diat accessibilitĂ©. Selon les dispositions du mĂȘme dĂ©cret, une dĂ©lĂ©gation du CHSCT peut rĂ©aliser une visite de site sur le lieu d’exercice des fonctions en tĂ©lĂ©travail. Si ce lieu est le domicile de l’agent, son accĂšs est subordonnĂ© Ă  l’accord de l’intĂ©ressĂ©, dĂ»ment recueilli par Ă©crit. Il est recommandĂ© de prĂ©venir l’agent au moins 10 jours avant la date envisagĂ©e de la visite. Dans le cas oĂč l’agent refuse l’accĂšs Ă  son logement, l’administration peut mettre fin Ă  l’autorisation de tĂ©lĂ©travail. Les agents exerçant leurs fonctions en tĂ©lĂ©travail bĂ©nĂ©ficient des mĂȘmes droits et obligations que les agents exerçant sur leur lieu d’affectation. Les accidents et maladies professionnelles survenus en situation de tĂ©lĂ©travail relĂšvent des accidents de service sous rĂ©serve qu’ils aient eu lieu dans le temps de tĂ©lĂ©travail, pendant les heures de tĂ©lĂ©travail et dans le cadre des fonctions exercĂ©es par l’agent en tĂ©lĂ©travail. La procĂ©dure de dĂ©claration et de reconnaissance d’accident ou de maladie professionnelle s’exerce selon les mĂȘmes modalitĂ©s qu’en cas d’accident ou de maladie survenus au sein du service. La fiche Ă©lĂ©ments de langage relative aux accidents de service ou de travail survenu en tĂ©lĂ©travail est disponible en annexe 2. Les situations de tĂ©lĂ©travail seront prises en compte dans l’évaluation des risques professionnels et transcrites dans le document unique d’évaluation des risques professionnels du service ainsi que l’ensemble des mesures de prĂ©vention mises en place pour supprimer ou rĂ©duire les risques liĂ©s Ă  ces situations de travail. Les Ă©lĂ©ments relatifs Ă  la santĂ©-sĂ©curitĂ© au travail intĂ©grĂ©s Ă  la charte ont pour objectif de porter Ă  la connaissance des agents, amenĂ©s Ă  exercer une partie de leurs fonctions en tĂ©lĂ©travail, les mesures pouvant ĂȘtre mises en place afin de prĂ©server leur bonne santĂ© et leur sĂ©curitĂ© au travail. Mise en place d’une formation adaptĂ©e au tĂ©lĂ©travailleur et Ă  son encadrement Des formations sous un format adaptĂ© devront ĂȘtre suivies par l’ensemble des collaborateurs de la DGAC ainsi que par les personnels d’encadrement pour se familiariser aux modalitĂ©s du tĂ©lĂ©travail Ă  la DGAC. Le suivi effectif de ces formations sera vĂ©rifiĂ© lors des entretiens professionnels. Ces formations prennent en compte, conformĂ©ment au rĂ©fĂ©rentiel proposĂ© par la DGAFP dans son guide d’accompagnement de la mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail dans la fonction publique, les risques professionnels inhĂ©rents au tĂ©lĂ©travail, les mesures de prĂ©vention collectives et individuelles mises en place par l’administration, les Ă©volutions nĂ©cessaires de l’organisation collective et individuelle du travail, les opportunitĂ©s et les adaptations du management Ă  une gestion par objectifs et Ă  distance. Les modalitĂ©s de prise en compte des horaires effectifs de travail Le dĂ©compte du temps de travail doit ĂȘtre distinguĂ© des pĂ©riodes pendant lesquelles l’agent est disponible ou peut ĂȘtre joint. Agents Ă  horaires fixes S’agissant des agents Ă  horaires fixes, leurs horaires sont identiques Ă  ceux qu’ils doivent effectuer lorsqu’ils sont dans les locaux de leur employeur. Agents Ă  horaires variables S’agissant des agents travaillant selon un horaire variable, la durĂ©e thĂ©orique de la modalitĂ© horaire de l’agent est dĂ©comptĂ©e. ContrĂŽle des horaires de travail Le mode de dĂ©compte des horaires de travail retenu est le mode dĂ©claratif. Modification des conditions d’exercice et cessation du tĂ©lĂ©travail Modification ponctuelle des conditions d’exercice Ă  la demande du supĂ©rieur hiĂ©rarchique Le supĂ©rieur hiĂ©rarchique peut, en cas de nĂ©cessitĂ© de service, demander Ă  l’agent d’annuler une journĂ©e programmĂ©e de tĂ©lĂ©travail. Modification durable des conditions d’exercice Ă  la demande de l’agent ou du supĂ©rieur hiĂ©rarchique jour fixe, quotitĂ© Lorsque la demande Ă©mane de l’agent, il prĂ©sente une demande Ă©crite qui est suivie d’un entretien avec son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, sans que cela ne donne lieu Ă  une nouvelle procĂ©dure d’autorisation. Lorsque la demande Ă©mane du supĂ©rieur hiĂ©rarchique, ce dernier en informe par Ă©crit l’agent et Ă©voque avec lui les modalitĂ©s nouvelles d’exercice lors d’un entretien. En cas d’accord, la dĂ©cision autorisant le tĂ©lĂ©travail est modifiĂ©e et notifiĂ©e Ă  l’agent. En cas de dĂ©saccord de l’agent, il est mis fin Ă  l’autorisation de tĂ©lĂ©travail voir Des Ă©lĂ©ments externes, liĂ©s notamment Ă  la politique de sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information par exemple, restrictions d’accĂšs Ă  des applications Ă  la demande d’organismes extĂ©rieurs peuvent impacter les autorisations individuelles de tĂ©lĂ©travail. En cas de changement d’activitĂ© ou du lieu d’exercice du tĂ©lĂ©travail L’acte autorisant le tĂ©lĂ©travail est liĂ© Ă  son lieu d’exercice. En cas de changement de celui-ci, l’autorisation devient caduque. Il appartient alors Ă  l’agent d’effectuer une nouvelle demande d’autorisation. En effet, il convient de vĂ©rifier que le ou les nouveaux lieux souhaitĂ©s pour l’exercice des activitĂ©s en tĂ©lĂ©travail rĂ©pond ent aux exigences prĂ©vues par l’arrĂȘtĂ© sĂ©curitĂ© Ă©lectrique, local adaptĂ©, etc. L’acte autorisant le tĂ©lĂ©travail est Ă©galement liĂ© aux activitĂ©s exercĂ©es sur un poste dĂ©terminĂ©. Un changement de poste entraĂźne automatiquement la cessation du tĂ©lĂ©travail et le retour au lieu de travail associĂ© au nouveau poste. Si dans son nouveau poste, les activitĂ©s sont tĂ©lĂ©travaillables, l’agent pourra prĂ©senter une nouvelle demande s’il satisfait aux conditions prĂ©vues au de la prĂ©sente note. A la demande de l’agent ou de l’administration Le tĂ©lĂ©travailleur a la possibilitĂ© de demander qu’il soit mis fin au tĂ©lĂ©travail. Pour ce faire, il doit en faire la demande par Ă©crit Ă  son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, sous rĂ©serve d’un dĂ©lai de prĂ©venance de 2 mois. La modification devient effective au terme du prĂ©avis. Le tĂ©lĂ©travailleur et son supĂ©rieur hiĂ©rarchique peuvent nĂ©anmoins dĂ©cider, d’un commun accord, de rĂ©duire ce dĂ©lai. De mĂȘme, l’administration peut dĂ©cider de mettre fin au tĂ©lĂ©travail. Cette dĂ©cision, qu’il convient de faire prĂ©cĂ©der d’un entretien prĂ©alable avec l’agent, doit ĂȘtre formulĂ©e par Ă©crit, motivĂ©e et respecter un dĂ©lai de prĂ©venance de 2 mois. La cessation devient effective au terme du prĂ©avis. Ce dĂ©lai peut toutefois ĂȘtre rĂ©duit en cas de nĂ©cessitĂ© de service dĂ»ment motivĂ©e. L’agent peut saisir la commission administrative ou consultative paritaire, ou la commission d’avancement ouvrier compĂ©tente de la dĂ©cision d’interruption du tĂ©lĂ©travail prise par l’administration. 6. Dispositifs de suivi et de concertation concernant le tĂ©lĂ©travail Le bureau SG/SDCRH/RDSP est identifiĂ© comme rĂ©fĂ©rent DGAC pour la mise en Ɠuvre du tĂ©lĂ©travail. Un bilan annuel du tĂ©lĂ©travail est rĂ©alisĂ© dans les conditions prĂ©vues par le dĂ©cret n°2020-1493 du 30 novembre 2020 relatif Ă  la base de donnĂ©es sociales et au rapport social unique dans la fonction publique La pratique du tĂ©lĂ©travail fait Ă©galement l’objet d’un examen par le CHSCT au travers du rapport et du programme de prĂ©vention des risques professionnels annuels Ă©tabli Ă  partir du document unique d’évaluation des risques professionnels DUERP. Le bureau SG/SDCRH/RDSP reste Ă  votre disposition pour toute difficultĂ© Ă©ventuelle d’application de la prĂ©sente note de gestion. Fait le 1er juillet 2021. La secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile, Dissler TĂ©lĂ©charger le document

Anoter que gouvernemental pour informer et promouvoir le tĂ©lĂ©travail sur l'ensemble du territoire ") fournit dans sa « boite Ă  outils » une attestation-type de dĂ©claration sur l’honneur de conformitĂ© Ă©lectrique (logotĂ©e Areva, ce qui est un clin d’Ɠil, je suppose 😊).
Vous faĂźtes construire un nouveau bĂątiment ou effectuez une rĂ©novation Ă©lectrique dans votre habitat ? Sachez que pour toute nouvelle construction ou toute rĂ©novation de grande ampleur, vous aurez une obligation de mise en conformitĂ© Ă©lectrique. Pour ce faire, vous devrez faire vĂ©rifier votre installation Ă©lectrique par un professionnel avant que le Consuel vous remette un certificat de conformitĂ© Ă©lectrique. Sans ce certificat, votre logement ou bĂątiment ne pourra pas ĂȘtre raccordĂ© au rĂ©seau ni mis sous tension. Vous avez donc compris, le passage par la case Consuel » est obligatoire et non une formalitĂ© administrative. Le passage du Consuel concerne chaque personne particulier ou professionnel et tous types de locaux habitations, locaux commerciaux, professionnels, industriels
. Qu'est ce que le Consuel ? Le Consuel ComitĂ© National pour la SĂ©curitĂ© des Usagers et de l’ElectricitĂ© est l'organisme officiel qui a pour charge de rĂ©aliser les contrĂŽles de conformitĂ© des installations Ă©lectriques en France. C'est une association reconnue d'utilitĂ© publique crĂ©e en 1964 qui est composĂ©e de professionnels agrĂ©es ayants pour but de contrĂŽler les installations Ă©lectriques afin de confirmer si ces derniĂšres sont conformes aux normes de sĂ©curitĂ© ou pas. On donne aussi le nom Consuel » aux certificats de conformitĂ© Ă©lectrique dĂ©livrĂ©s par cette association. Le certificat de conformitĂ© Ă©lectrique est d'ailleurs obligatoire comme mentionnĂ© plus haut depuis DĂ©cembre 1972. ERDF, ou tout autre fournisseur d'Ă©lectricitĂ©, n'oubliera pas de vous la demander avant tout raccordement Ă©lectrique. DĂ©cembre 1972 Obligation de l’attestation de conformitĂ© des installations Ă©lectriques pour tout type de construction nouve. Mars 2001 Obligation de l’attestation de conformitĂ© des installations Ă©lectriques pour les rĂ©novations ayant nĂ©cessitĂ© une mise hors tension. Mars 2010 Obligation de l’attestation de conformitĂ© des installations Ă©lectriques pour les installations ayant pour but de produire de l'Ă©nergie panneaux solaires, photovoltaĂŻque
. A quoi sert le Consuel ? Le Consuel a pour mission d'origine de mettre en oeuvre des actions en vue d'assurer la sĂ©curitĂ© des personnes et la conservation des biens ». GrĂące Ă  son expĂ©rience et Ă  sa fiabilitĂ©, le Consuel va vous garantir la sĂ©curitĂ© de votre installation Ă©lectrique. Donc, votre sĂ©curitĂ© ! Sa devise "Faisons avancer la sĂ©curitĂ© Ă©lectrique" est plutĂŽt rassurante. Comme mentionnĂ© plus haut, son rĂŽle est d'effectuer un contrĂŽle des nouvelles installations maisons ou bĂątiments neufs..., des installations Ă©lectriques qui ont subi une modification cĂąblage, compteur
 ainsi que les installations Ă©lectriques qui ont Ă©tĂ© complĂ©tĂ©es nouvelle piĂšce
. En effet, suite Ă  une succession d'importants sinistres dans les annĂ©es 1970, et afin de pallier Ă  d'Ă©ventuels incidents Ă©lectriques, la dĂ©cision a Ă©tĂ© prise d'imposer une attestation de conformitĂ© pour toutes les installations Ă©lectriques qu'elles soient nouvelles, modifiĂ©es, complĂ©tĂ©es ou rĂ©novĂ©es. Attestation dĂ©livrĂ©e par le ComitĂ© National pour la SĂ©curitĂ© des Usagers de l'ElectricitĂ© Consuel bien sur ! Toute installation doit ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, qu'elle ait Ă©tĂ© installĂ©e par un particulier ou par un professionnel ! Nous vous rappelons par ailleurs que monter une installation Ă©lectrique complĂšte du dĂ©but Ă  la fin n'est pas chose aisĂ©e et que sans les compĂ©tences nĂ©cessaires, cela peut s'avĂ©rer particuliĂšrement dangereux. En France, encore beaucoup trop de logements prĂ©sentent des anomalies en terme de sĂ©curitĂ© Ă©lectrique avec un risque d'accident Ă©lectrique environ 4000/an ou d'incendie environ 50000/an. On comprend mieux pourquoi l'existence du Consuel est plus que nĂ©cessaire ! En bref, le Consuel a pour but d’éviter les risques d’une installation Ă©lectrique non conforme. Tout le monde trouve un intĂ©rĂȘt au passage du Consuel et Ă  la dĂ©livrance d'une attestation de conformitĂ©. Le client Ă  la garantie que son installation Ă©lectrique est conforme et sans danger ; le professionnel qui a mis en place l'installation Ă©lectrique Ă  la garantie d'un travail bien fait ; les pouvoirs publics ont la satisfaction d'oeuvrer pour la sĂ©curitĂ© Ă©lectrique des concitoyens. Certains pays Ă©trangers n'ont pas encore mis en place de solutions pour s'assurer de la conformitĂ© de leurs installations Ă©lectriques. L'attestation de conformitĂ© Ă©tant trĂšs efficace, certains de ces pays se montrent trĂšs intĂ©ressĂ©s par le systĂšme mis en place par le Consuel en France. Cocorico !!! Quand faire venir le consuel ? Vous le savez, aprĂšs avoir effectuĂ© des travaux de rĂ©novation Ă©lectrique ou avoir terminĂ© une nouvelle construction, vous devrez obtenir une Attestation de conformitĂ© Ă©lectrique Consuel afin de pouvoir raccorder votre logement au rĂ©seau Ă©lectrique ou bien mettre ce dernier sous tension. Comme vous le verrez plus tard dans ce guide, il existe 4 types de formulaires un jaune pour les installations Ă©lectriques Ă  usage domestique , un vert pour les installations Ă©lectriques Ă  usage non domestiques. , un bleu pour les installations domestiques de production d'Ă©lectricitĂ© et un violet pour les installations domestiques de production d'Ă©lectricitĂ© avec stockage. Ces attestations, qui ont rĂ©cemment pris un coup de jeune pour plus de simplicitĂ©, sont Ă  commander sur le site internet du Consuel » Lorsque vous passez votre commande, vous choisissez de recevoir vos formulaire soit par courrier postal soit par courrier Ă©lectronique. Que vĂ©rifie le consuel ? Si vous avez confiĂ© vos travaux Ă  un professionnel agrĂ©e, alors, dans la plupart des cas, aucun souci Ă  vous faire. Ces derniers sont habituĂ©s aux exigences du Consuel concernant la sĂ©curitĂ© des installations Ă©lectriques. Par contre, si vous avez effectuĂ© vous mĂȘme vos travaux, et ce mĂȘme si vous pensez ĂȘtre calĂ© en Ă©lectricitĂ©, il est fortement conseillĂ© de contrĂŽler toute votre installation Ă©lectrique avant le passage de l'expert. Alors pour vous aider Ă  vĂ©rifier la conformitĂ© de votre installation, il existe une fiche d'auto-contrĂŽle de l'installation Ă©lectrique. Cette fiche va vous permettre de faire un contrĂŽle de tous les points imposĂ©s par la norme NF C 15-100. Votre installation doit respecter dans chaque piĂšce de votre maison toutes les rĂšgles de sĂ©curitĂ© citĂ©es dans cette norme afin que le Consuel vous dĂ©livre votre attestation de conformitĂ©. Vous retrouverez sur la fiche d'auto-contrĂŽle, 9 parties bien distinctes avec des points particuliers Ă  vĂ©rifier Protection contre les contacts indirects prise et conducteur de terre, liaison Ă©quipotentielle,DDR... Circuits terminaux Ă©clairage, appareils de chauffage... Commande socle de prise de courant commandĂ©s par interrupteur... Appareillage Locaux contenant une baignoire ou une douche Espace technique Ă©lectrique du logement Alimentation Ă©lectrique du logement Constitution du tableau Ă©lectrique identification des circuits Canalisations En bref, le professionnel va, entre autre, ouvrir le tableaux de rĂ©partition et vĂ©rifier les fusibles, compter les interrupteurs diffĂ©rentiels, les disjoncteurs divisionnaires, mesurer la prise de terre, vĂ©rifier que la terre est bien connectĂ©e sur toutes les prises et points lumineux, ouvrir les interrupteurs et les boites de dĂ©rivation pour contrĂŽle... Selon la norme NF C 15-100, l'installation Ă©lectrique d'un bĂątiment doit garantir la protection des personnes contre les dangers de contacts directs et indirects masses protĂ©ger les personnes contre les dommages de tempĂ©ratures trop Ă©levĂ©es ou de surintensitĂ©s ĂȘtre Ă©quipĂ©e de circuits terminaux qui garantissent son bon fonctionnement et la sĂ©curitĂ© des personnes bĂ©nĂ©ficier d'une distribution Ă©lectrique sĂ©curisĂ©e limiter les risques d'incendie, de propagation du feu et de la fumĂ©e Qui fait la demande du formulaire Consuel ? C'est la personne qui a rĂ©alisĂ© les travaux Ă©lectriques du logement qui doit effectuer la demande d'attestation de conformitĂ©. GĂ©nĂ©ralement, c'est l'Ă©lectricien professionnel qui s'en occupe mais, dans le cas oĂč vous avez effectuĂ© vous-mĂȘme vos travaux, ce sera Ă  vous de faire la c'est d'ailleurs cette mĂȘme personne qui sera en charge de remplir et signer l'attestation de conformitĂ©. Un guide d'aide pour remplir votre Attestation de ConformitĂ© est disponible en ligne sur le site du Consuel. Quelles dĂ©marches pour l'obtention du Consuel ? Le professionnel ou le particulier va donc commander sur le site du Consuel le formulaire adaptĂ© Ă  ses travaux Ă©lectrique. Il faudra par la suite envoyer l'Attestation de conformitĂ© complĂ©tĂ©e et signĂ©e au siĂšge rĂ©gional de l'association Consuel. Le Consuel va ensuite examiner votre dossier. Le traitement du dossier prends gĂ©nĂ©ralement 3 semaines environ 20 jours. Une visite de contrĂŽle peut ĂȘtre prĂ©vue par le Consuel, surtout si ce n'est pas un professionnel qui a rĂ©alisĂ© les travaux allez recevoir un courrier vous indiquant Ă  quelle date et Ă  quelle heure l'inspecteur Consuel viendra faire sa visite de contrĂŽle. En cas d'absence le jour du contrĂŽle, la reprogrammation d'une nouvelle date peut vous ĂȘtre facturĂ©. Si votre logement est difficile d'accĂ©s ou que votre adresse n'est pas trĂšs prĂ©cise, vous devrez fournir un plan d'accĂšs ou un plan de quartier en plus de votre Attestation de conformitĂ© consuel. Puis le Consuel va apposer, ou pas, son visa officiel sur l'attestation de conformitĂ© - Lors de l'inspection, si votre installation est non conforme aux rĂšgles de sĂ©curitĂ© ou qu'elle prĂ©sente des dysfonctionnements, vous devrez effectuer les travaux nĂ©cessaires Ă  la bonne conformitĂ©. Puis demander une contre-visite. Payante ! Si vous constatez une mauvaise installation ou une malfaçon alors que les travaux ont Ă©tĂ© effectuĂ©s par un professionnel agrĂ©e, signalez le au Consuel qui viendra faire une contre-visite gratuite pour vous mais Ă  rĂ©gler par le professionnel qui a effectuĂ© l'installation. - Si votre installation est conforme aux rĂšgles de sĂ©curitĂ©, le Consuel appose son visa sur l'Attestation de ConformitĂ©. Une fois votre attestation de conformitĂ© en poche, il ne vous reste plus qu'Ă  demander votre raccordement au rĂ©seau Ă©lectrique. Voici une vidĂ©o qui explique comment procĂ©der Si les dĂ©marches vous paraissent trop compliquĂ©es, n'hĂ©sitez pas Ă  passer par un Ă©lectricien. Et si vous ne savez pas Ă  quelle porte taper, utilisez notre service gratuit de devis travaux qui vous permet de trouver et comparer des Ă©lectriciens prĂšs de chez vous, sans engagement. C'est plus simple. Cliquez ici pour essayer.

atteste sur l’honneur que les locaux dĂ©diĂ©s au tĂ©lĂ©travail disposent d’une connexion haut dĂ©bit ( atteste sur l’honneur et certifie la conformitĂ© Ă©lectrique des locaux dĂ©diĂ©s Ă  l’exercice du tĂ©lĂ©travail. A (lieu) Le (date) (Signature du tĂ©lĂ©travailleur) Title: IMPOTS Author: Division du personnel Last modified by: enardize Created Date: 7/16/2021 1:41:00 PM Company: utc

21,289 Views Vous ĂȘtes employeur et vous souhaitez autoriser vos employĂ©s Ă  effectuer du tĂ©lĂ©travail Ă  leur domicile. VoilĂ  une action louable au service du collaborateur, qui est de plus en plus pratiquĂ©e. Au delĂ  des obligations RH qui vous incombent, vous devez vous assurer que l’espace de travail de votre employĂ© prĂ©sente toute la sĂ©curitĂ© nĂ©cessaire Ă  l’exercice de son activitĂ© professionnelle. C’est pourquoi il vous appartient de faire rĂ©aliser un diagnostic Ă©lectricitĂ© tĂ©lĂ©travail appelĂ© aussi Etat de l’installation intĂ©rieure d’électricitĂ© ». Mise Ă  jour COVID-19 cette obligation de sĂ©curitĂ© vous incombe toujours, mĂȘme si pendant les divers confinements une certaine tolĂ©rance a Ă©tĂ© de mise. GrĂące Ă  une collaboration Ă©troite avec plusieurs DRH importantes de la rĂ©gion des Hauts de France Nord Pas de Calais Picardie pour plus les nostalgiques, le Cabinet Lucarre a bĂąti un processus unique et concret de mise en place de cette obligation de contrĂŽle de conformitĂ© dans une entreprise. Ce processus s’appuie sur la collaboration avec plusieurs DRH pour des entreprises de toutes tailles, tant au niveau rĂ©gional qu’au niveau national plus d’un millier d’états de l’installation intĂ©rieure d’électricitĂ© rĂ©alisĂ©s depuis sa mise en place en 2009. Vous avez besoin de faire rĂ©aliser ponctuellement ou de maniĂšre plus rĂ©guliĂšre des Ă©tats de l’installation intĂ©rieure d’électricitĂ© ? Vous souhaitez mettre en place cette obligation de contrĂŽle de conformitĂ© dans votre entreprise ? Contactez nous, exposez nous votre situation, nous vous recontacterons rapidement. Lecture utile CARSAT TÉLÉTRAVAIL À DOMICILE – Guide d’aide Ă  l’évaluation des risques et Ă  la recherche de mesures de prĂ©vention associĂ©es. A destination des entreprises et des salariĂ©s. Vous pouvez chercher aussi Qu’est-ce qu’un contrĂŽle aprĂšs dĂ©samiantage ? Dans le cadre de nos activitĂ©s dans le domaine de l’amiante, nous sommes amenĂ©s Ă  

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