La libertĂ© d'expression est un droit, le droit d'exprimer librement ce que l'on pense. Ce droit est une libertĂ© fondamentale, proclamĂ©e dans La DĂ©claration des droits de l'homme et du citoyen. Ainsi, chacun a le droit d'exprimer ses idĂ©es dans le respect de l'autre, mĂȘme si ces idĂ©es dĂ©plaisent. Pourquoi la libertĂ© d'expression est-elle si importante ?Sans libertĂ© d'expression, il n'y a pas de libertĂ© de pensĂ©e, et pas de dĂ©mocratie, c'est-Ă -dire que le peuple ne peut pas s'exprimer. Par exemple, dans certains pays, il est interdit d'exprimer toute idĂ©e qui n'est pas en accord avec celles des dirigeants. Dans ces pays, il n'y a pas non plus de libertĂ© de la presse les journaux ne peuvent pas parler de certains Ă©vĂ©nements ou de critiquer le pouvoir. Or, la libertĂ© de la presse garantit aux citoyens d'avoir toutes les informations nĂ©cessaires pour se forger une opinion librement. Pour cela, les journalistes obĂ©issent Ă des rĂšgles. Ils peuvent parler de tous les sujets, mais en faisant attention Ă vĂ©rifier l'information pour en garantir la qualitĂ©. C'est pourquoi, dans une dĂ©mocratie, les journaux ont pour rĂŽle d'Ă©clairer les lecteurs et de susciter des dĂ©bats d'idĂ©es entre les citoyens. Charlie Hebdo est un cĂ©lĂšbre journal satirique qui existe depuis des dĂ©cennies et qui rĂ©agit Ă l'actualitĂ© en publiant des dessins humoristiques. Le 7 janvier 2015, ce cĂ©lĂšbre journal, nĂ©cessaire Ă la dĂ©mocratie, a Ă©tĂ© victime d'une attaque terroriste qui a fait 12 morts et des blessĂ©s. Cet attentat est un choc. Car en tuant les journalistes de Charlie Hebdo, les terroristes se sont attaquĂ©s au symbole de la libertĂ© d'expression en France. RĂ©alisateur Jacques AzamProducteur Milan Presse, France TĂ©lĂ©visionsAnnĂ©e de production 2014PubliĂ© le 09/01/15ModifiĂ© le 02/03/22Ce contenu est proposĂ© par
lalibertĂ© d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun, dans les domaines La libertĂ© d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun, dans les domaines de la politique, de la philosophie, de la religion, de la morale... Câest un droit acquis au terme de la rĂ©volution des LumiĂšres sous lâAncien RĂ©gime, qui fut consacrĂ© par la DĂ©claration des droits de lâhomme et du citoyen de 1789. Aujourd'hui, la libertĂ© d'expression des opinions est une des premiĂšres libertĂ©s politiques et plus gĂ©nĂ©ralement des libertĂ©s fondamentales, entĂ©rinĂ©e par diverses lĂ©gislations et adaptĂ©e par chaque pays selon son rĂ©gime politique et culturel. Au-delĂ de lâadage ma libertĂ© sâarrĂȘte lĂ oĂč commence celle des autres », la Cour EuropĂ©enne des Droits de lâHomme a fixĂ© plusieurs limites ces restrictions doivent cependant ĂȘtre prĂ©vues par la loi. Il sâagit de trouver un Ă©quilibre permettant la coexistence de diffĂ©rentes libertĂ©s fondamentales. 1. Ne pas porter atteinte Ă la vie privĂ©e et au droit Ă lâimage dâautrui 2. Ne pas tenir certains propos interdits par la loi lâincitation Ă la haine raciale, ethnique ou religieuse, lâapologie des crimes de guerre, les propos discriminatoires Ă raison dâorientations sexuelles ou dâun handicap, le nĂ©gationnisme 3. Ne pas tenir de propos diffamatoire ou injurieux, quâil sâagisse de personnes physiques, morales ou de courant dâidĂ©e ou dâopinion 4. Il existe Ă©galement des limites spĂ©cifiques telles que le secret professionnel, le secret des affaires et le secret dĂ©fense. 5. Certaines personnes, en raison de la fonction quâelles occupent, sont tenues Ă un devoir de rĂ©serve », de maniĂšre Ă ce que lâextĂ©riorisation de leurs opinions, notamment politiques, soit conforme aux intĂ©rĂȘts du service public et Ă la dignitĂ© des fonctions occupĂ©es. La Constitution belge fait rĂ©fĂ©rence Ă la libertĂ© dâexpression en ses articles 19 et 25. Lâarticle 19 Ă©nonce que la libertĂ© des cultes, celle de leur exercice public, ainsi que la libertĂ© de manifester ses opinions en toute matiĂšre, sont garanties ». Lâarticle 25 prĂ©cise que la presse est libre ; la censure ne pourra jamais ĂȘtre Ă©tablie ». Lâarticle 19 de la DĂ©claration Universelle des Droits de lâHomme stipule que Tout individu a droit Ă la libertĂ© dâexpression ». NĂ©anmoins, cette rĂ©solution nâa pas de valeur juridique contraignante. La Convention europĂ©enne des Droits de lâHomme prĂ©cise dans son article 10 1. Toute personne a droit Ă la libertĂ© dâexpression. Ce droit comprend la libertĂ© dâopinion et la libertĂ© de recevoir ou de communiquer des informations ou des idĂ©es sans quâil puisse y avoir ingĂ©rence dâautoritĂ©s publiques et sans considĂ©ration de frontiĂšre. Le prĂ©sent article nâempĂȘche pas les Etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinĂ©ma ou de tĂ©lĂ©vision Ă un rĂ©gime dâautorisations. 2. Lâexercice de ces libertĂ©s comportant des devoirs et des responsabilitĂ©s peut ĂȘtre soumis Ă certaines formalitĂ©s, conditions, restrictions ou sanctions prĂ©vues par la loi, qui constituent des mesures nĂ©cessaires, dans une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique, Ă la sĂ©curitĂ© nationale, Ă lâintĂ©gritĂ© territoriale ou Ă la sĂ»retĂ© publique, Ă la dĂ©fense de lâordre et Ă la prĂ©vention du crime, Ă la protection de la santĂ© ou de la morale, Ă la protection de la rĂ©putation ou des droits dâautrui, pour empĂȘcher la divulgation dâinformations confidentielles ou pour garantir lâautoritĂ© et lâimpartialitĂ© du pouvoir judiciaire. La jurisprudence belge et europĂ©enne prĂ©cise La libertĂ© dâexpression concerne aussi bien le choix du support que le contenu du message Elle sâapplique Ă©galement aux idĂ©es qui heurtent, choquent ou inquiĂštent Le message peut ĂȘtre exprimĂ© sous nâimporte quelle forme artistique ou symbolique Câest le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, signĂ© en 1966 et dont 167 Etats sont parties, qui fixe les limites de la libertĂ© dâexpression dans son article 19. 1. Nul ne peut ĂȘtre inquiĂ©tĂ© pour ses opinions. 2. Toute personne a droit Ă la libertĂ© dâexpression; ce droit comprend la libertĂ© de rechercher, de recevoir et de rĂ©pandre des informations et des idĂ©es de toute espĂšce, sans considĂ©ration de frontiĂšres, sous une forme orale, Ă©crite, imprimĂ©e ou artistique, ou par tout autre moyen de son choix. 3. Lâexercice des libertĂ©s prĂ©vues au paragraphe 2 du prĂ©sent article comporte des devoirs spĂ©ciaux et des responsabilitĂ©s spĂ©ciales. Il peut en consĂ©quence ĂȘtre soumis Ă certaines restrictions qui doivent toutefois ĂȘtre expressĂ©ment fixĂ©es par la loi et qui sont nĂ©cessaires a Au respect des droits ou de la rĂ©putation dâautrui ; b Ă la sauvegarde de la sĂ©curitĂ© nationale, de lâordre public, de la santĂ© ou de la moralitĂ© publique. Non ! La libertĂ© dâexpression permet dâexprimer beaucoup de pensĂ©es mais pas toutes. Lâincitation Ă la haine fait partie des limites Ă cette libertĂ©. En Belgique, trois lois fixent les limites La loi anti-racisme dite Loi Moureaux. Texte complet ici. La loi anti-discrimination Texte complet ici La loi anti-nĂ©gationnisme Texte complet ici Ces lois rĂ©priment donc Ă titre de dĂ©lit et donc passible de poursuites et de peines judiciaires allant jusquâĂ la prison ferme les propos Qui incitent Ă la haine, Ă la violence, motivĂ©s par la xĂ©nophobie ou le racisme, envers une personne ou un groupe de personnes. Qui incitent Ă la discrimination en raison de lâĂąge, de lâorientation sexuelle, lâĂ©tat civil, la naissance, la fortune, la conviction religieuse ou philosophique, la conviction politique, la langue, lâĂ©tat de santĂ© actuel ou futur, un handicap, une caractĂ©ristique physique ou gĂ©nĂ©tique, lâorigine sociale. Qui nient, minimisent, justifient ou approuvent le gĂ©nocide commis par le rĂ©gime nazi durant la DeuxiĂšme Guerre Mondiale. En Belgique, les propos racistes, nĂ©gationnistes ou discriminants ne sont donc pas considĂ©rĂ©s comme une opinion mais comme un dĂ©lit. La diffamation est dĂ©finie comme lâimputation mĂ©chante, Ă une personne, dâun fait prĂ©cis qui est de nature Ă porter atteinte Ă lâhonneur de cette personne ou Ă lâexposer au mĂ©pris public ». La calomnie diffĂšre lĂ©gĂšrement, la nuance portant sur la possibilitĂ© de prouver lĂ©galement le bien-fondĂ© des dires de lâaccusĂ©. Lâinjure porte sur le fait de divulguer une information imprĂ©cise portant atteinte Ă lâhonneur dâun tiers. Le Code PĂ©nal belge les prohibe en ce quâils constituent une atteinte du droit au respect de la vie privĂ©e, en ce quâils peuvent ternir la rĂ©putation ou attenter Ă lâhonneur de la victime. Ils sont passibles de peines allant jusquâĂ lâemprisonnement et lâamende. Le blasphĂšme est une parole outrageant le sacrĂ©, la divinitĂ© ; une parole impie considĂ©rĂ©e comme une injure et dĂ©clarĂ©e comme telle par les autoritĂ©s religieuses. Le blasphĂšme ne peut donc ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un dĂ©lit quâau sein dâune communautĂ© partageant les mĂȘmes croyances. Mais par dĂ©finition, pour blasphĂ©mer, il faut croire, il faut appartenir Ă la religion que l'on blasphĂšme. Le blasphĂšme nâest pas illĂ©gal en Belgique, ni dans la majoritĂ© des pays dĂ©mocratiques europĂ©ens, bien que certaines exceptions existent. Par contre, dans de nombreuses thĂ©ocraties, le blasphĂšme est souvent durement rĂ©primĂ©. La libertĂ© de pensĂ©e est le droit que possĂšde chacun dâemployer comme il lâentend ses facultĂ©s rĂ©flexives, Ă lâaide de sa raison critique, mais aussi de ses Ă©motions ou ses potentialitĂ©s crĂ©atrices. Câest le droit dâavoir sur tous sujets, des idĂ©es, des avis, des opinions personnelles, des convictions, des croyances. La libertĂ© de pensĂ©e est constitutive de la libertĂ© de conscience. La libertĂ© de conscience est souvent mal comprise en Ă©tant rĂ©duite au fort intĂ©rieur », simple fait de penser ce que lâon veut sans lâexprimer publiquement. Câest Ă©videmment insuffisant car personne ne peut savoir ce qui se passe dans la tĂȘte » dâune autre personne. Lâimportant est bien la libertĂ© publique de conscience. Ces dĂ©finitions mettent en lumiĂšre lâexistence de deux sphĂšres distinctes celles du privĂ© » qui relĂšve de lâintime ; et celle du public » qui relĂšve du social et du dĂ©mocratique. Dans lâespace public, la libertĂ© dâexpression se voit imposer des limites voir supra. La libertĂ© religieuse » dĂ©coule de la libertĂ© de conscience. Mais mĂȘme si la formule est dâusage courant, il est impropre de parler de libertĂ© religieuse », qui serait en quelque sorte plus importante que les autres libertĂ©s. Ce sont les libertĂ©s de religion qui font partie des libertĂ©s publiques garanties par lâEtat comme la libertĂ© de conscience, Ă©manation de la souverainetĂ© du peuple, et non lâinverse. Il est nĂ©cessaire de rappeler que Charlie Hebdo sâest retrouvĂ© de nombreuses fois devant les tribunaux, et a dâailleurs Ă©tĂ© condamnĂ© et censurĂ© Ă plusieurs reprises environ 50 procĂšs entre 1992 et 2014, dont certains perdus. Une analyse complĂšte est disponible ici. Les rĂ©ponses Ă cette question se trouvent en partie dans les limites Ă la libertĂ© dâexpression fixĂ©es par la loi voir supra. La libertĂ© dâexpression ne permet pas dâappeler publiquement Ă la mort dâautrui, ni de faire lâapologie des crimes de guerre, des crimes contre lâhumanitĂ©, ni dâappeler Ă la haine contre un groupe ethnique ou nationale. On ne peut pas non plus user de la libertĂ© dâexpression pour appeler Ă la haine ou Ă la violence envers un sexe, une orientation sexuelle ou un handicap. Mais dans le cas de DieudonnĂ© ou de Charlie Hebdo, la situation a trait Ă un cas complexe celui de lâhumour, et de ses limites. Il appartient souvent aux juges de dĂ©cider de ce qui relĂšve de la libertĂ© de caricature et du droit Ă la satire dans le cadre de la libertĂ© dâexpression. En 2007, Charlie Hebdo devaient rĂ©pondre devant la justice des caricatures de Mahomet quâil avait publiĂ©es dans ses Ă©ditions. Le tribunal avait rendu le jugement suivant Attendu que le genre littĂ©raire de la caricature, bien que dĂ©libĂ©rĂ©ment provocant, participe Ă ce titre Ă la libertĂ© d'expression et de communication des pensĂ©es et des opinions ⊠; attendu qu'ainsi, en dĂ©pit du caractĂšre choquant, voire blessant, de cette caricature pour la sensibilitĂ© des musulmans, le contexte et les circonstances de sa publication dans le journal âCharlie Hebdoâ, apparaissent exclusifs de toute volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e d'offenser directement et gratuitement l'ensemble des musulmans ; que les limites admissibles de la libertĂ© d'expression n'ont donc pas Ă©tĂ© dĂ©passĂ©es ⊠» On peut donc user du registre de la satire et de la caricature, dans certaines limites. Dont l'une est de ne pas s'en prendre spĂ©cifiquement Ă un groupe donnĂ© de maniĂšre gratuite et rĂ©pĂ©titive. Dans le cas de DieudonnĂ©, la justice a Ă©tĂ© appelĂ©e Ă plusieurs reprises Ă trancher. Et elle n'a pas systĂ©matiquement donnĂ© tort Ă l'humoriste. Ainsi a-t-il Ă©tĂ© condamnĂ© Ă plusieurs reprises pour diffamation, injure et provocation Ă la haine raciale » novembre 2007, novembre 2012, ou pour contestation de crimes contre l'humanitĂ©, diffamation raciale, provocation Ă la haine raciale et injure publique » fĂ©vrier 2014. Mais dans d'autres cas, il a Ă©tĂ© relaxĂ© en 2004 d'une accusation d'apologie de terrorisme, en 2007 pour un sketch intitulĂ© Isra-Heil ». En 2012, la justice a refusĂ© d'interdire un film du comique, malgrĂ© une plainte de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisĂ©mitisme Licra. En plaidant pour l'interdiction de ses spectacles fin 2013, le gouvernement Ayrault avait cependant franchi une barriĂšre symbolique, en interdisant a priori une expression publique. NĂ©anmoins, le Conseil d'Etat lui avait finalement donnĂ© raison, considĂ©rant que la mise en place de forces de police ne [pouvait] suffire Ă prĂ©venir des atteintes Ă l'ordre public de la nature de celles, en cause en l'espĂšce, qui consistent Ă provoquer Ă la haine et la discrimination raciales ». On se trompe en pensant qu'on va rĂ©gler la question Ă partir d'interdictions strictement juridiques », estimait alors la Ligue des droits de l'homme. La presse qui est le symbole mĂȘme de la libertĂ© fondamentale du droit dâexpression, use de ce moyen pour informer, dĂ©noncer, mettre en avant des Ă©vĂšnements, des personnages ou des courants de pensĂ©e. La caricature ou le dessin de presse dĂ©nonce alors lâinjustice, les abus, lâincohĂ©rence de maniĂšre satyrique moqueuse avec humour, des sujets dĂ©licats, dangereux lĂ oĂč les autres types de mĂ©dia TV, radio, Presse Ă©crite ne peuvent pas toujours lâaborder. Les images utilisent un langage universel, elles transmettent des messages par le biais de symboles que tous peuvent comprendre. Le dessin de presse ou caricature a souvent pour obstacle la censure, certains gouvernements, organes politiques, culturels ou religieux cherchent Ă faire retirer, Ă annuler ces images ou dessins qui annoncent une vĂ©ritĂ©, ou des informations qui pourraient les entĂącher, les salir ou les desservir. Souvent, ces journaux se retrouvent devant les tribunaux pour dĂ©fendre leur libertĂ© dâexpression. De nos jours, il existe aussi des mouvements violents comme les diffĂ©rents terrorismes qui cherchent Ă tout prix Ă menacer et Ă dĂ©truire cette libertĂ© de la presse et de lâexpression parce que les journalistes dĂ©noncent leur barbarie et leur absurditĂ©. Analyse de la carte Tour du monde de la libertĂ© de la presse 180 pays, classĂ©s du vert au rouge La carte ci-dessus nous montre lâĂ©tat de la libertĂ© de la presse, pays par pays. Tous ont Ă©tĂ© coloriĂ©s selon que la situation dans le pays est bonne en vert, plutĂŽt bonne bleu, moyenne mauve, difficile orange et trĂšs grave rouge. Zoom sur 3 mauvais Ă©lĂšves La Syrie la situation de la libertĂ© de la presse est trĂšs grave, essentiellement Ă cause de la guerre. Dans pareil cas, les journalistes sont en difficultĂ© et ne peuvent plus faire correctement leur boulot. Lâexplication ? Les dirigeants veulent contrĂŽler les informations et empĂȘcher que certaines dâentre elles soient diffusĂ©es. La CorĂ©e du Nord lĂ -bas aussi, la situation de la presse est dramatique, mais pour dâautres raisons. Ce pays est une dictature son prĂ©sident interdit Ă sa population, et aussi Ă ses journalistes, de penser diffĂ©remment de lui, notamment en pratiquant la censure. Les Ătats-Unis bien que la libertĂ© de la presse soit plutĂŽt bonne » dans ce pays, elle sâest dĂ©gradĂ©e ces derniĂšres annĂ©es. La raison ? Pour protĂ©ger le pays contre le terrorisme, des mesures ont Ă©tĂ© prises pour surveiller davantage les journalistes et la façon dont ils travaillent. La mĂ©thode Cette carte a Ă©tĂ© Ă©tablie par lâassociation Reporters sans frontiĂšres. Elle tient compte du nombre de journalistes tuĂ©s ou emprisonnĂ©s en 2014, mais aussi des conditions dans lesquelles ils travaillent, notamment au fait quâils soient ou non soumis Ă la censure par les dirigeants.Taper sur tout le monde avec pour seuls objectifs : dĂ©noncer la bĂȘtise, lâintolĂ©rance, et faire rire » Charlie Hebdo dĂ©nonce les absurditĂ©s de notre sociĂ©tĂ© . Et se moque de tous les sujets . Title: La LibertĂ© d'Expression dans la Presse L'exemple de Charlie Hebdo Author : NICOLLE Alexandra Created Date: 3/28/2017 10:46:24 AM
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