Sur cette page, vous pouvez trouver une carte de localisation, ainsi qu'une liste des lieux et des services disponibles sur ou Ă proximitĂ© Boulevard de la Duchesse Anne HĂŽtels, restaurants, installations sportives, centres Ă©ducatifs, distributeurs automatiques de billets, supermarchĂ©s, stations d'essence et nommĂ©s Ă proximitĂ©Maupertuis - 607 mOrangerie du Thabor - 403 mHĂŽtel LĂ©geard de la Dyriais - 462 mHĂŽtel de la Bigne Villeneuve - 504 mVoliĂšre - 660 mRestaurant universitaire La Duchesse Anne - 651 mBoulevard de la Duchesse Anne 110Services Ă proximitĂ© Boulevard de la Duchesse AnneS'il vous plaĂźt cliquer sur la case situĂ©e Ă gauche du nom du service pour afficher sur la carte l'emplacement des services sĂ©lectionnĂ©s. Filtrer par catĂ©gorie HĂ©bergementHĂŽtel - 732mLeCoq-Gadby ****156 Rue d'Antrain 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 38 05 55AutomobileParking - 217m-Rue Jean GuĂ©hennopartage de voiture - 315mJules Ferry - Citiz - CitĂ©dia83 Rue Jean GuĂ©henno 35700 Rennesplace de parking - 725m-11 Rue du ThaborEntrĂ©e du parking - 455m-8 Square Lucien RoseRĂ©paration de voitures - 1036mCarglass118 Boulevard de Metz Heures d'ouverture Mo-Sa 0800-1230; Mo-Fr 1345-1800; Sa 1345-1700Banques et FinancesATM - 244mCaisse d'Ăpargne107 Rue de FougĂšresBanque - 253mCaisse d'Ăpargne107 Rue de FougĂšres 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 57 42 09 54 Heures d'ouverture Tu-Fr 0930-1215,1400-1830; Sa 0900-1215ReligieuxLieu de culte - 791mChapelle Sainte-Anne christian - catholic3 Rue de BrizeuxĂducationUniversitĂ© - 283mUniversitĂ© de Rennes 1 - FacultĂ© de Droit et de Science PolitiqueRue Jean MacĂ©College - 403mMJM Graphic Design29 Rue de la Palestineauto-Ă©cole - 722mPermisPasCher35 Rue Jean GuĂ©henno TĂ©lĂ©phone +33 2 23 24 60 03 Email rennes-hoche Heures d'ouverture Mo 1400-1900; Tu-Fr 1000-1300,1400-1900ShoppingMagasin de Ordinateurs - 236mIB informatique99 Rue Jean GuĂ©henno 35700 RennesBoulangerie - 341m-113 Rue de FougĂšresblanchisserie - 788mLaverie Chateaudun21bis Rue de ChĂąteaudun Heures d'ouverture 0700-2200Marchand de journaux - 830mJournaux Papeterie Tabac2 Boulevard de SĂ©vignĂ©VĂ©los - 1104mCyclable - Jean-Marc Lesimple65 Avenue Aristide Briand 35000 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 38 46 08 Email rennes-spad Heures d'ouverture Tu-Sa 1000-1230,1400-1900SupermarchĂ© - 274mCarrefour City107 Rue de FougĂšres 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 63 27 23 Heures d'ouverture Mo-Sa 0700-2200; Su,PH 0900-1300Fleuriste - 1001mNaturellement Fleurs163 Rue de FougĂšres Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 36 24 03 Fax +33 2 99 38 46 72 Email Heures d'ouverture Mo-Sa 1430-1930; Tu-Sa 0915-1930; Su,PH 1000-1230Ăpicerie - 647mEpicerie de Paris chez Zizou41 Rue de Paris Heures d'ouverture Mo-Su 0900-2300shop-vacant - 184m-66 Rue Jean GuĂ©hennoshop-vacant - 205m-59 Boulevard de la Duchesse AnneLibrairie - 835mLa Commune17 Rue de ChĂąteaudun 35000 Rennes Heures d'ouverture We,Sa 1400-1800Coiffeur - 706mVirgule Coiffure35 Rue Jean GuĂ©henno TĂ©lĂ©phone +33 2 99 36 36 81 Heures d'ouverture Tu,Th,Fr 0900-1900; We 0900-1200,1400-1800; Sa 0800-1600tatouage - 990mAtelier Noir26 Rue Paul Bert 35000 Rennes TĂ©lĂ©phone +33627392880 Heures d'ouverture Mo-Su 1000-1800salon de beautĂ© - 1317mSalon santĂ© bien ĂȘtre75 Avenue Aristide BriandMagasin de vĂȘtements - 1525mTroc Mod1 Place Pasteur Heures d'ouverture Tu-Sa 1000-1900; Mo 1300-1900Alcool - 710mCave des Tuileries35 Rue Jean GuĂ©henno TĂ©lĂ©phone +33 2 99 36 07 24boutique de reprographie - 717mPC Tronic35 Rue Jean GuĂ©henno TĂ©lĂ©phone +33 2 99 38 52 43 Heures d'ouverture 0800-1900; Sa 0900-1200,1400-1800boutique d'artisanat - 1569mMartine MinĂ©raux - Martine Izambard29 Quai Chateaubriand 35000 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 27 76 43 Email martinemineraux Heures d'ouverture Tu-Sa 1000-1230; 1400-1800Boucherie - 706mCharcuterie de Vincennes23 Rue de Vincennes Heures d'ouverture Tu-Fr 0900-1315,1530-1930; Sa 0900-1315,1530-1930magasin de musique - 1217mTĂȘte de Chou15 Rue KlĂ©ber TĂ©lĂ©phone +33 9 53 88 72 02 Heures d'ouverture We-Fr 1130-1400,1800-0100; Mo,Tu 1130-1400prothĂšses auditives - 796mAudition santĂ©149 Rue de FougĂšresTĂ©lĂ©phones Mobiles - 1046mBreizh Phone Service165 Rue de FougĂšresSports et LoisirsBasketball - 679m-Tennis - 664m-Boulevard de SĂ©vignĂ©AthlĂ©tisme - 875m-Piscine - 1338mPiscine Saint-Georges - Mairie de Rennes4 Rue Gambetta 35000 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 23 62 15 40fitness - 345mStation Jules FerryAvenue Doyen Roger HouinThéùtre - 588mThéùtre du Cercle28 Rue de ParisCentre des Arts - 1472mHĂŽtel Ă Projets Pasteur2 Place PasteurTennis de table - 661m-AllĂ©e des ChĂȘnesAliments et BoissonsCafĂ© - 559mLa Terrasse du Thabor2 Rue de la PalestinePub - 184mLe Sablier72 Rue Jean GuĂ©henno TĂ©lĂ©phone +33 299363238 Heures d'ouverture Mo-Fr 1200-1400,1700-0100Bar - 629mLe Marquis de Sade39 Rue de Paris RennesFast Food - 242mSubway - Celtic Sub99 Rue Jean GuĂ©henno 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 9 53 07 78 35Restaurant - 373mChanya117 Rue de FougĂšresSoins de SantĂ©Pharmacie - 304mPharmacie de la Croix CarrĂ©e109 Rue de FougĂšres 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 299360923 Heures d'ouverture Mo-Fr 0900-1300,1430-1930Dentiste - 981mHervĂ© Guillou163 Rue de FougĂšresDocteur - 363mDr Claude Courgeon78 Rue de FougĂšres 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 99 36 74 65Services Publics et SociauxBibliothĂšque - 571mBibliothĂšque Thabor-Lucien Rose11 Square Lucien Rose TĂ©lĂ©phone +33 2 23 62 26 41 Email Heures d'ouverture Tu,Fr 1430-1830; We 1000-1230,1430-1830; Sa 1000-1230,1430-1800Case postale - 212m- - La Poste3 Rue George Sandcentre communautaire - 601mCercle Paul Bert Centre30bis Rue de ParisPolice - 1406mPolice municipale2 Rue Gambetta 35000 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 23 62 25 20 Email dpmdp Heures d'ouverture Mo-Sa 0900-1700Poste - 593mRennes Croix CarrĂ©e - La Poste129 Rue de FougĂšres 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone 3631 Heures d'ouverture Tu-Fr 0930-1245,1400-1800; Sa 0930-1245TransportParking VĂ©lo - 133m-12 Rue George SandParking VĂ©lo - 308m-Rue Jean MacĂ©Parking VĂ©lo - 304m-Rue Jean MacĂ©Parking VĂ©lo - 389m- - accĂšs public - pas de frais60 Rue Jean GuĂ©hennoParking VĂ©lo - 361m- - accĂšs public - pas de frais60 Rue Jean GuĂ©hennoParking VĂ©lo - 283m-107 Rue de FougĂšresParking VĂ©lo - 154m- - accĂšs public - pas de frais51bis Boulevard de SĂ©vignĂ©Parking VĂ©lo - 359m- - pas de fraisAvenue Doyen Roger HouinParking VĂ©lo - 347m- - pas de fraisAvenue Doyen Roger HouinLocation de vĂ©lo - 410mFac de Droit - IDEcycle - Cykleo46 Rue Jean GuĂ©hennoVoyagezoo - 610mEnclos aux canardsActivitĂ© touristique - 1345mPalais Saint-Georges2 Rue Gambetta 35000 RennesArtisanat - 289mFemme en pied23 Rue de la PalestineArtisanat - 320mLa Chasse de DianeAllĂ©e des TilleulsArtisanat - 316mL'Enfant Ă l'OieAllĂ©e des TilleulsInformation touristique - 290m-Boulevard de la Duchesse AnneInformations quartierInformation touristique - 318m-Rue de la PalestineGrand prix de la roseAutresRecyclage - 147m-51bis Boulevard de SĂ©vignĂ©Recyclage - 292m- - Rennes MĂ©tropole83 Rue Jean GuĂ©hennoRecyclage - 273m- - Le RelaisRue Anatole Le BrazRecyclage - 273m- - Rennes MĂ©tropole76 Rue de FougĂšresRecyclage - 305m-6 Rue Pointeau du Ronceraysport-handball - 901m-Toilettes - 545mThabor Duchesse Anne - accĂšs public - pas de frais13 Square Lucien RoseFontaine - 381m-Banc - 304m-Rue de la PalestineBanc - 384m-Banc - 366m-AllĂ©e des TilleulsBanc - 320m-AllĂ©e des TilleulsBanc - 320m-Rue de la PalestineVĂ©tĂ©rinaire - 547m-129 Rue de FougĂšresStation de Charge - 956m- - accĂšs privĂ©Distributeur automatique - 505m-Rue Jean MacĂ©green zoneCorbeille - 303m-Rue Jean MacĂ©Fonds social - 505mFoyer Saint-BenoĂźt Labre5 Rue du Bois Rondeltraitement des dĂ©chets - 273m-Rue Anatole Le BrazBac Ă sel - 714m-91 Boulevard de SĂ©vignĂ©coworking_space - 515mThabor Coworking14 Rue Waldeck-Rousseau Rennessport-table_soccer - 653m-AllĂ©e des ChĂȘneslounger - 1280m-shop-frozen_food - 993mPicard84 Boulevard de Metz 35700 Rennes TĂ©lĂ©phone +33 2 23 20 19 97 Heures d'ouverture Mo-Sa 0900-2000; Su 0900-1245bicycle_repair_station - 928m- - Ville de Rennes - pas de fraisAllĂ©e Suzanne LenglenEau potable - 1381m-Rue Henri Monnerais
Institutd'Etudes Politiques (I.E.P.) - 104 boulevard de la Duchesse Anne, 35000 Rennes - Enseignement supérieur public - 0299843939 - adresse - numéro de téléphone - avis - plan -
ï»żItinĂ©raires104 Boulevard de la Duchesse Anne35700 RennesEnregistrerA cette adresseClub de sports nautiquesPlus d'infosAuberge de jeunessePlus d'infosEntrepreneur et producteur de spectaclesPlus d'infosAssociation culturellePlus d'infosAssociation culturellePlus d'infosAssociation culturellePlus d'infosEnseignement supĂ©rieur publicPlus d'infosEnseignement supĂ©rieur publicPlus d'infosTous les hĂŽtels prĂšs d'iciVoir les hĂŽtelsMappy est rĂ©alisĂ© en France
Rennes Autre établissement du supérieur, Enseignement Public, adresse : 104 Boulevard Duchesse Anne Cedex 35700 Téléphone Enseignement Public, adresse : 106 boulevard de la Duchesse Anne 35700 Téléphone : 02 23 23 78 93 Liste des Formations; IMN Institut des métiers du notariat. Rennes, Autre établissement du supérieur, Enseignement Privé,
ItinérairesEnseignement supérieur public 104 bd Duchesse Anne, 35000 RennesItinérairesSite webTéléphoneEnregistrerParkings à proximitéSource Pages JaunesAutres propositions à proximitéAvenue du Professeur Léon Bernard, 35000 RennesOuvert jusqu'à 18hPlus d'infos7 pl Hoche, 35000 RennesFermé actuellementPlus d'infos74 r Paris, 35000 RennesPlus d'infos153 r St Malo, 35000 RennesPlus d'infos20 r Puits Mauger, 35000 RennesPlus d'infos2 r Thabor, 35000 RennesPlus d'infos9 r Jean Macé, 35000 RennesPlus d'infosBoulevard de la Duchesse Anne, 35700 RennesPlus d'infos28 av Jules Ferry, 35000 RennesPlus d'infosMappy est réalisé en FranceSite webTéléphoneEnregistrer
ParallĂšlementĂ la thĂ©matique principale « Transitions, gouvernance territoriale et solidaritĂ©s », qui se dĂ©cline en sept sessions spĂ©cifiques, les propositions de communications peuvent aussi sâinscrire dans lâune des sessions rĂ©currentes ou des sessions spĂ©ciales proposĂ©es, qui couvrent trĂšs largement les problĂ©matiques de recherche en science rĂ©gionale.
Services proposés AccÚs PMR Imprimantes Prises électriques Wifi Ordinateurs Salles de travail LocalisationIEP Rennes 104 Boulevard de la Duchesse Anne, 35700 Rennes, France +33299843928Conditions d'accÚsOuvert à tousPossibilité d'emprunt des livresOuiNombre de places assises200
Destravaux sont prĂ©vus, du lundi 22 au vendredi 26 aoĂ»t 2022, Ă Rennes (Ille-et-Vilaine).. Rue de lâAlma. Du lundi 22 au vendredi 26 aoĂ»t, la circulation sera interdite dans les deux sens entre le boulevard Jacques-Cartier et la rue Marcel-Sambat, en raison de travaux dâassainissement pour un programme immobilier en construction.
ItinérairesEnseignement supérieur public 104 bd Duchesse Anne, 35000 RennesItinérairesSite webTéléphoneEnregistrerParkings à proximitéSource Pages JaunesAutres propositions à proximitéAvenue du Professeur Léon Bernard, 35000 RennesFermé actuellementPlus d'infos7 pl Hoche, 35000 RennesFermé actuellementPlus d'infos74 r Paris, 35000 RennesPlus d'infos153 r St Malo, 35000 RennesPlus d'infos20 r Puits Mauger, 35000 RennesPlus d'infos2 r Thabor, 35000 RennesPlus d'infos9 r Jean Macé, 35000 RennesPlus d'infosBoulevard de la Duchesse Anne, 35700 RennesPlus d'infos28 av Jules Ferry, 35000 RennesPlus d'infosMappy est réalisé en FranceSite webTéléphoneEnregistrer
104boulevard Duchesse Anne, Rennes, 35000 ArrĂȘts et stations de transports en commun proches 220 m ChĂąteaudun . 240 m Saint-Vincent . 310 m George Sand . CatĂ©gories : Formation & Enseignement. TĂ©lĂ©charger l'image QR TĂ©lĂ©charger la vCard. Carte. Vue de la rue. Activer la carte. Ajouter un avis Ajouter une photo Enregistrer dans les contacts Signaler une erreur. Afficher le
86 mClasses PrĂ©paratoires Saint Vincent Providence 3 AllĂ©e Sainte-Sophie, Rennes86 mVocational High School Le Roscoat 3 AllĂ©e Sainte-Sophie, Rennes332 mEcoles Publiques Maternelles 104 Boulevard de la Duchesse Anne, Rennes442 mIpag Institute Preparation Ă L'administration GĂ©nĂ©rale UniversitĂ© Rennes 1 106 Boulevard de la Duchesse Anne, Rennes449 mĂcole Maternelle Publique Jean Zay 3 Place Saint-MĂ©laine, Rennes497 mElementary School Jean Zay 3e Place Saint-MĂ©laine, Rennes656 mEcole maternelle Saint Vincent Providence 83 Rue de Paris, Rennes656 mSchool Oriane Rue de Paris, Rennes738 mLe Pont SupĂ©rieur 74 E Rue de Paris, Rennes750 mAnne de Bretagne College 6 Rue Martenot, Rennes752 mAcademie De Rennes 12 Rue de Robien, Rennes757 m762 mCentres de Loisirs Municipaux 3 Rue de Tregain, Rennes812 mAgespar Assomption 18 Boulevard Paul PainlevĂ©, Rennes833 mPole Sup De La Salle 5 Rue de la Motte BrĂ»lon, Rennes855 mInstitute Ulpien 49 Avenue Aristide Briand, Rennes874 mCollĂšge Clotilde Vautier 8 Bis Rue de la Motte BrĂ»lon, Rennes977 mElementary School Du Contour Saint-Aubin 10 Contour Saint-Aubin, Rennes977 mĂ©cole Ă©lĂ©mentaire du Contour Saint-Aubin 10 Contour Saint-Aubin, Rennes980 mLycĂ©e Charles Tillon 1 Boulevard RenĂ© Laennec, kmCouleur Yoga - l'Atelier 8 Quai de Richemont, kmAcadomia - Rennes 7 Rue Toullier, kmCoursGuitareRennes 21 Boulevard de Metz, kmECS Rennes 4 Rue Beaumanoir, kmCrĂšche'n'do 8 Rue du Sous-Lieutenant Lay, Rennes
EcolesPubliques Maternelles in Rennes open now. 104 Boulevard de la Duchesse Anne, 35700 Rennes, France, phone:+33 2 99 63 07 63, opening hours, photo. Ecoles Publiques Maternelles
Services offered Accessibility Printers Power Sockets Wifi Computers Study rooms LocationIEP Rennes 104 Boulevard de la Duchesse Anne, 35700 Rennes, France +33299843928Access conditionsOuvert Ă tousBook lendingOuiAvailable seats200
104boulevard Duchesse Anne, 35700 RENNES - France; 124; 0299843911 Commentaires. Description de Ecole supérieur C.P.E.N.A. (Centre de Préparation à l'E.N.A.) 35700 Rennes. Enseignement, formation, emploi. Prestation de Ecole supérieur (Centre Préparation l'E.N.A.) de à C.P.E.N.A. étudier apprendre cours éducation . Quels sont les avis des internautes à propos de
104 boulevard de la Duchesse Anne, 35000 Rennes Appartement Prix m2 moyen 6 571 ⏠de 3 626 ⏠à 9 231 ⏠Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 9 566 ⏠de 5 298 ⏠à 13 485 ⏠Indice de confiance 104 boulevard de la Duchesse Anne, 35000 Rennes Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 10,4 ⏠de 7,4 ⏠à 18,8 ⏠Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 10,7 ⏠de 8,7 ⏠à 13,0 ⏠Indice de confiance Le 104 boulevard de la Duchesse Anne est situĂ© dans le quartier Thabor / Saint Helier et bĂąti sur une parcelle de 12760 mÂČ. Section cadastrale N° de parcelle Superficie 000BC01 0470 12 760 mÂČ Ă proximitĂ© Rue du Bois Rondel, Rennes 35700 AllĂ©e Ste-Sophie, Rennes 35000 Bd. de SĂ©vignĂ©, Rennes 35000 Rue d'Antrain, Rennes 35000 Rue de FougĂšres, Rennes 35000 Rue de la Croix CarrĂ©e, Rennes 35000 Rue Duboys des Sauzais, Rennes 35000 Rue Isidore Louveau, Rennes 35000 Rue Maupertuis, Rennes 35000 Rue Pointeau du Ronceray, Rennes 35000 Consulter le prix de vente, les photos et les caractĂ©ristiques des biens vendus Ă proximitĂ© du 104 boulevard de la Duchesse Anne, 35000 Rennes depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En aoĂ»t 2022 Ă Rennes, le nombre d'acheteurs est supĂ©rieur de 8% au nombre de biens Ă vendre. Le marchĂ© est dynamique. ConsĂ©quences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension ImmobiliĂšre ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens Ă vendre. Lâinfluence de lâITI sur les prix peut ĂȘtre modĂ©rĂ©e ou accentuĂ©e par lâĂ©volution des taux dâemprunt immobilier. Quand les taux sont trĂšs bas, les prix peuvent monter malgrĂ© un ITI faible. Quand les taux sont trĂšs Ă©levĂ©s, les prix peuvent baisser malgrĂ© un ITI Ă©levĂ©. 39m2 Pouvoir dâachat immobilier dâun mĂ©nage moyen rĂ©sident 67j DĂ©lai de vente moyen en nombre de jours Le prix du m2 au N°104 est globalement Ă©quivalent que le prix des autres addresses Boulevard de la Duchesse Anne +0,0 %, oĂč il est en moyenne de 8 274 âŹ. Tout comme par rapport au prix / mÂČ moyen Ă Rennes 6 253 âŹ, il est nettement plus cher +32,3 %. Le prix du m2 au 104 boulevard de la Duchesse Anne est nettement plus cher que le prix des autres addresses Ă Rennes +28,2 %, oĂč il est en moyenne de 7 459 âŹ. Lieu Prix mÂČ moyen 0,0 % moins cher que la rue Boulevard de la Duchesse Anne 8 274 ⏠/ mÂČ 32,3 % plus cher que le quartier Thabor / Saint Helier 6 253 ⏠/ mÂČ 32,3 % plus cher que Rennes 6 253 ⏠/ mÂČ Cette carte ne peut pas sâafficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, nâhĂ©sitez pas Ă tĂ©lĂ©charger un navigateur plus rĂ©cent. Chrome et Firefox vous garantiront une expĂ©rience optimale sur notre site.
104boulevard Duchesse Anne, Rennes, 35700 ArrĂȘts et stations de transports en commun proches 200 m Jules Ferry . 210 m Rennes/GuĂ©henno . 210 m GuĂ©henno . CatĂ©gories : Formation & Enseignement. TĂ©lĂ©charger l'image QR TĂ©lĂ©charger la vCard. Carte. Vue de la rue. Activer la carte. Ajouter un avis Ajouter une photo Enregistrer dans les contacts Signaler une erreur.
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104bd de la duchesse Anne 35700 - Rennes Contact administratif : N° de téléphone : N° de Fax : Email : Andre NGUYEN Charge de mission .57 02.99.84.39.00 andre.nguyen@ d'ouverture des candidatures: 13/05/2015 Date de fermeture des candidatures : 03/06/2015 Date de prise de fonction : 01/09/2015 Profil
Nous situer Sciences Po Rennes 104, Boulevard de la Duchesse Anne, CS 50801 35708 RENNES CEDEX - France Tél. +3302 99 84 39 39
GuillaumeJulien, Directeur gĂ©nĂ©ral des services Ă Sciences Po Rennes Virginie Gourmelon, Magistrate au tribunal administratif de Rennes Marie Merdrignac, Journaliste Ă Ouest-France Camille Ceysson, chargĂ©e de communication Ă lâorchestre de Bretagne 12h30-13h30: dĂ©jeuner (les Ă©lĂšves dĂ©jeuneront avec leurs Ă©tudiants-tuteurs).
FAQ sur Latitude Longitude de 104 Boulevard de la Duchesse Anne Comment trouver la latitude et la longitude de 104 Boulevard de la Duchesse Anne?Pour trouver la latitude et la longitude de 104 Boulevard de la Duchesse Anne, entrez le nom du lieu dans le contrĂŽle. En plus des coordonnĂ©es GPS de 104 Boulevard de la Duchesse Anneâs vous pouvez Ă©galement vĂ©rifier dâautres paramĂštres tels que la mĂ©tĂ©o, lâhumiditĂ© et lâaltitude du trouver les coordonnĂ©es de 104 Boulevard de la Duchesse Anne?Pour trouver les coordonnĂ©es de 104 Boulevard de la Duchesse Anne, cliquez sur Rechercher latitude longitude aprĂšs avoir saisi le nom de l'emplacement dans le contrĂŽle et obtenez un rĂ©sumĂ© complet de latitude longitude. Vous pouvez efficacement rechercher les coordonnĂ©es GPS de Pune sur la carte Ă l'aide de cet outil.
SciencesPo Rennes Ouvert en 1991, Sciences Po Rennes fait partie du rĂ©seau des dix instituts dâĂ©tudes politiques de France. Les Ă©tudiants reçoivent une formation pluridisciplinaire dâexcellence pouvant ĂȘtre qualifiĂ©e dâhumaniste, conjuguant individuel et collectif, sens des responsabilitĂ©s personnelles et intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, ainsi quâouverture aux grands enjeux de la
Pierre Bordreuil, Françoise Briquel-Chatonnet, CĂ©cile Michel dir., Les dĂ©buts de lâhistoire. Le Proche-Orient de lâinvention de lâĂ©criture Ă la naissance du monothĂ©isme, Paris, Ăd. de La MartiniĂšre, 2008, 420 p. 1La parution dâun ouvrage gĂ©nĂ©raliste sur les civilisations du Proche-Orient ancien sâest fait longtemps attendre et câest avec satisfaction et curiositĂ© quâa Ă©tĂ© saluĂ©e la sortie de ce livre. Il se distingue par une prĂ©sentation soignĂ©e et agrĂ©able, accompagnĂ©e dâune trĂšs riche illustration, aussi bien en termes de sources Ă©crites que de reprĂ©sentations figurĂ©es. De nombreux textes originaux, dont les traductions ont bien souvent Ă©tĂ© rĂ©visĂ©es, offrent au lecteur un aperçu de la documentation Ă partir de laquelle on Ă©crit lâhistoire du Proche-Orient ancien. Photographies dâĆuvres dâart, plans et dessins dâobjets et de bĂątiments illustrent avec un grand Ă -propos lâensemble des contributions. Outre les deux cartes gĂ©ographiques gĂ©nĂ©rales qui ornent les deuxiĂšme et troisiĂšme de couverture, huit cartes thĂ©matiques techniquement trĂšs rĂ©ussies permettent de se reprĂ©senter le contexte gĂ©o-politique des diffĂ©rentes Ă©poques et rĂ©gions envisagĂ©es dans lâouvrage. 2Lâentreprise assumĂ©e par les auteurs Ă©tait de taille il sâagissait de dresser, pour la pĂ©riode sâĂ©tendant de la fin du IVe Ă la fin du Ier millĂ©naire av. n. Ăš. un panorama des civilisations du Proche-Orient antique » oĂč se sont produits tant de changements capitaux dans lâhistoire de lâhumanitĂ© » p. 5. La MĂ©sopotamie fut marquĂ©e, dĂšs le IVe millĂ©naire, par lâapparition de lâurbanisation et de lâĂ©criture ; la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne et le nord de la Syrie avaient Ă©tĂ© le lieu de la rĂ©volution nĂ©olithique au VIIIe millĂ©naire et furent celui de lâinvention de lâĂ©criture alphabĂ©tique au IIe millĂ©naire av. n. Ăš. Ces deux domaines entretinrent dĂšs la plus haute AntiquitĂ© des contacts et des Ă©changes frĂ©quents ; ils se trouvĂšrent mĂȘme rĂ©unis aux VIIIe et VIIe siĂšcles au sein de lâEmpire constituĂ© par les rois assyriens. Ils demeurent pourtant souvent sĂ©parĂ©s par les Ă©tudes sur le Proche-Orient ancien, qui sâintĂ©ressent prioritairement â du moins en France â Ă lâune ou lâautre des documentations. Un des mĂ©rites de cet ouvrage est donc de confronter les connaissances de spĂ©cialistes de ces deux domaines, chacune des contributions qui le composent tentant, autant que faire se peut, de mettre en regard pour chaque sujet abordĂ© les documentations de MĂ©sopotamie et du Levant pour les trois millĂ©naires concernĂ©s. 3Le livre souffre cependant, dans son ensemble, de quelques choix Ă©ditoriaux malheureux et ce, dĂšs le titre. Celui-ci, aussi Ă©vocateur que le bien connu Lâhistoire commence Ă Sumer de S. N. Kramer, vieux aujourdâhui dâun demi-siĂšcle, est propre Ă attirer lâattention dâun grand public passionnĂ© par la recherche des origines et tente ainsi de faire concurrence Ă ces autres civilisations anciennes dont les vestiges matĂ©riels grandioses sont plus Ă©videmment sĂ©duisants et mĂ©diatiques que ceux de MĂ©sopotamie et du Levant. Le sous-titre entend donner des limites temporelles Ă ces dĂ©buts » de lâhistoire. Lâinvention de lâĂ©criture est certes communĂ©ment retenue comme moment marquant le dĂ©but de lâhistoire entendue comme Ăšre succĂ©dant Ă la prĂ©histoire. Mais on peut Ă bon droit se demander en quoi la naissance du monothĂ©isme reprĂ©sente le terme des dĂ©buts de lâhistoire. Lâexpression donne tout dâabord, par sa formulation de ... Ă ..., lâimpression dâun cheminement linĂ©aire et quasi nĂ©cessaire, dâun progrĂšs des civilisations vers une forme de modernitĂ© ; elle laisse en outre envisager que, une fois le monothĂ©isme inventĂ©, la vĂ©ritable histoire peut enfin ? commencer. LâĂ©diteur commercial est certainement grandement responsable de cette formulation qui rĂ©unit sur la couverture de son livre deux thĂšmes propres Ă toucher un large lectorat. Son choix donne lieu cependant Ă un raccourci historique que les auteurs nâont Ă coup sĂ»r pas voulu. 4PassĂ©e lâintroduction qui prĂ©cise briĂšvement les cadres spatiaux et temporels de lâouvrage ainsi que la nature des sources et les grands repĂšres chronologiques marquant ces quelques trois mille ans dâhistoire, il nâest plus question, dans les quatre parties qui suivent, dâhistoire politique Ă©vĂ©nementielle lâapproche est rĂ©solument thĂ©matique et le plan gĂ©nĂ©ral du livre dĂ©cline de maniĂšre trĂšs classique une histoire Ă©conomique premiĂšre partie, une histoire des institutions deuxiĂšme partie, une histoire sociale troisiĂšme partie et une histoire culturelle quatriĂšme partie des civilisations du Proche-Orient ancien. 5Le titre de la premiĂšre partie Du village Ă la ville », qui reprend dans sa formulation le parti Ă©volutionniste du sous-titre du livre, est rĂ©ducteur au vu du contenu des quatre chapitres qui la constituent. Bien au-delĂ du phĂ©nomĂšne fort intĂ©ressant de fixation des populations du Proche-Orient ancien en foyers de peuplement sĂ©dentaire de plus en plus importants entre le VIIIe et le IVe millĂ©naire, qui nâest abordĂ© que dans une partie du chapitre 4 consacrĂ© Ă La naissance des villes », lâinformation dĂ©livrĂ©e ici est en rĂ©alitĂ© plus largement dâordre Ă©conomique et traite de maniĂšre conjointe du dĂ©veloppement des activitĂ©s humaines et de lâĂ©volution des modes de vie des populations du Proche-Orient jusquâau Ier millĂ©naire av. n. Ăš. Il est ainsi question tout dâabord de lâagriculture irriguĂ©e et de lâĂ©levage chap. 1 ; des innovations techniques ensuite, dans des domaines aussi variĂ©s que la cĂ©ramique, lâarchitecture, le travail du bois, de la laine, du mĂ©tal et de la pierre, lâinvention du verre et les moyens de transport chap. 2 ; des Ă©changes commerciaux enfin chap. 3. 6La deuxiĂšme partie offre un panorama des divers rĂ©gimes politiques quâont connus les pays du Proche-Orient ancien. Son titre Ă©voque encore une fois une Ă©volution quasi nĂ©cessaire de formes simples vers des formes complexes de hiĂ©rarchisation sociale et politique Des citĂ©s-Ătats Ă lâEmpire » et cette impression dâenchaĂźnement chronologique se trouve renforcĂ©e encore par le plan mĂȘme de la partie, qui se compose de trois chapitres Ă©tudiant successivement Les citĂ©s-Ătats », La royautĂ© » et Lâempire », puis dâun quatriĂšme intitulĂ© LâĂ©largissement de lâhorizon » et qui, sous-tendu par le concept dâimpĂ©rialisme, traite pĂȘle-mĂȘle des Ă©changes Ă longue distance, de lâexpansion coloniale, de la guerre et de la dĂ©portation, de la diplomatie, des alliances et traitĂ©s et de la quĂȘte de produits exotiques. Tout dans lâexposĂ© sâenchaĂźne ainsi logiquement avec lâidĂ©e sous-jacente que les institutions Ă©voluent irrĂ©mĂ©diablement vers lâEmpire. Pourtant, en introduction au chapitre consacrĂ© Ă ce dernier, il est convenu que lâhistoire du Proche-Orient ancien est faite dâune alternance de pĂ©riodes dâunification, le pays dans son ensemble Ă©tant soumis Ă lâautoritĂ© dâun seul dirigeant, et de pĂ©riodes dâĂ©clatement, ce mĂȘme pays Ă©tant divisĂ© en une pluralitĂ© dâĂtats » p. 155. Lâapparente linĂ©aritĂ© suggĂ©rĂ©e par le titre et le plan de la partie est finalement niĂ©e ici en quelques mots, Ă juste titre bien sĂ»r, mais de maniĂšre troublante pour un lecteur non averti. La confusion augmente encore quand on lit, quelques lignes plus bas, que les citĂ©s-Ătats du Proche-Orient sont aussi des royaumes, mĂȘme si leurs dimensions sont souvent plus modestes, et rien ne distingue un royaume dâun empire », affirmation discutable au vu de lâimportante bibliographie qui traite de ces problĂšmes. Tout cela fait de cette deuxiĂšme partie la plus faible, Ă notre avis, de lâouvrage qui souffre, en rĂšgle gĂ©nĂ©rale mais ici plus quâailleurs, du choix qui a Ă©tĂ© fait dâĂ©vacuer la dimension Ă©vĂ©nementielle de lâhistoire politique en introduction, et de ne plus jamais y revenir par la suite. 7SĂ»rement eĂ»t-il Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rable de composer une partie autour de la notion de royautĂ© au Proche-Orient ancien, en distinguant dâune part les diffĂ©rentes formes quâelle pouvait prendre dans son exercice, en mĂ©nageant des dĂ©veloppements montrant les spĂ©cificitĂ©s et les questions que posent la citĂ©-Ătat et lâEmpire et en dĂ©crivant dâautre part, Ă diffĂ©rentes Ă©chelles, les institutions locales municipales ou tribales, nationales lâorganisation du royaume et internationales la diplomatie, bien souvent valables pour les trois rĂ©gimes distinguĂ©s ici, quoiquâavec des variantes selon les lieux et les Ă©poques. Quant aux sujets dont il est question au chapitre 4, ils ne sont Ă©videmment pas tous le fait de lâEmpire mais concernent tous les Ătats quelle que soit leur forme institutionnelle ; ceux dâentre eux relatifs Ă lâorganisation de lâĂ©conomie auraient eu leur place au sein de la premiĂšre partie ou sont dâailleurs souvent redondants avec elle ; enfin, la Vision du monde » des anciens habitants du Proche-Orient exposĂ©e pour conclure aurait pu figurer Ă plus juste titre dans la quatriĂšme partie voir ci-dessous. 8La troisiĂšme partie intitulĂ©e Vivre en sociĂ©tĂ© » dresse de maniĂšre beaucoup plus pertinente un tableau des sociĂ©tĂ©s du Proche-Orient ancien. On y trouve tout dâabord une synthĂšse Ă jour sur la famille et la maison, fondements et modĂšles des reprĂ©sentations et des structures sociales chap. 1. De longs dĂ©veloppements sont consacrĂ©s ensuite Ă lâĂ©criture, depuis son apparition sous forme pictographique jusquâĂ lâinvention de lâalphabet, en passant par les notations idĂ©ogrammatiques et phonĂ©tiques employĂ©es par lâĂ©criture cunĂ©iforme aux diffĂ©rents stades de son Ă©volution. Sont Ă©tudiĂ©s aussi la formation des scribes, la constitution et la transmission des archives et des fonds de manuscrits ou bibliothĂšques des grands organismes â le temple et le Palais â aussi bien que des simples particuliers et, enfin, les phĂ©nomĂšnes dâoralitĂ© quâil convient de ne pas sous-estimer alors mĂȘme que lâessentiel de la documentation sur laquelle se fondent les Ă©tudes sur le Proche-Orient ancien consiste justement en des sources Ă©crites chap. 2. Vient ensuite un dĂ©veloppement sur la justice et lâĂ©criture de la loi, sujet qui permet Ă son auteur de comparer rĂ©ellement les rĂ©alitĂ©s mĂ©sopotamiennes aux informations transmises par les textes bibliques et de brosser un tableau nuancĂ© des diffĂ©rentes maniĂšres de rendre la justice, une des principales missions des rois du Proche-Orient ancien, et de codifier la loi, Ćuvre des plus illustres dâentre eux chap. 3. Le quatriĂšme et dernier chapitre de cette partie dĂ©veloppe, sous le titre gĂ©nĂ©ral de Lâorganisation de la sociĂ©tĂ© », des considĂ©rations assez datĂ©es et dĂ©sormais largement contestĂ©es sur les diffĂ©rentes catĂ©gories dâhommes libres et de dĂ©pendants, serviteurs ou esclaves, et sur le salariat et les autres formes de rĂ©tribution du travail. Il revient donc sur le problĂšme, dĂ©jĂ dĂ©veloppĂ© dans la premiĂšre partie, de lâinteraction entre les structures Ă©conomiques et lâorganisation du travail dâune part et la hiĂ©rarchisation de la sociĂ©tĂ© dâautre part et aurait pu y ĂȘtre intĂ©grĂ©. 9La quatriĂšme partie mĂȘle histoire des sciences, histoire des arts et histoire religieuse de maniĂšre parfaitement appropriĂ©e tant il est Ă©vident que, pour les civilisations du Proche-Orient ancien, la tentative de comprĂ©hension de lâunivers par les savants, les reprĂ©sentations de la rĂ©alitĂ© ou des figures et Ă©vĂ©nements mythiques par les lettrĂ©s et autres artistes et la vision du monde confĂ©rĂ©e Ă chacun par la foi et la pratique religieuse ne sont que diffĂ©rentes facettes dâune mĂȘme maniĂšre de Penser le monde ». Chacun des quatre chapitres consacrĂ©s ici respectivement Ă la science, aux Ćuvres littĂ©raires, aux Ćuvres dâart et Ă la religion offre une synthĂšse utile des connaissances et des thĂšses retenues Ă ce jour dans ces diffĂ©rents domaines de la recherche. 10On pouvait attendre que cet ouvrage sâadresse Ă la fois Ă un public dâamateurs Ă©clairĂ©s et dâĂ©tudiants dĂ©couvrant le Proche-Orient ancien. Or, si les premiers ont des chances dâĂȘtre comblĂ©s par le format du livre, la richesse du texte et des illustrations et le soin apportĂ© aux cartes, les seconds en revanche risquent dâĂȘtre rebutĂ©s par le prix de lâouvrage un dĂ©faut de la qualitĂ© Ă©voquĂ©e prĂ©cĂ©demment et par son maniement peu commode comme manuel de rĂ©fĂ©rence la dispersion de lâinformation dans un plan aux titres peu explicites ou redondants, du moins pour certains des thĂšmes abordĂ©s, dĂ©routera celui qui voudra trouver rapidement une information. Ce dĂ©faut est dĂ», Ă nos yeux, au nombre peut-ĂȘtre excessif de contributeurs 38 pour 380 pages de texte ! qui a dĂ» rendre la tĂąche difficile Ă ceux qui devaient harmoniser lâensemble. On remarque Ă lâinverse que, dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les thĂšmes traitĂ©s intĂ©gralement par un mĂȘme auteur, ou par un binĂŽme unissant un spĂ©cialiste de la MĂ©sopotamie et un du Levant, gagnent en cohĂ©rence et pertinence. Enfin, lâabsence de renvois systĂ©matiques Ă la bibliographie, pourtant elle aussi trĂšs riche et complĂšte et prĂ©sentĂ©e heureusement chapitre par chapitre en fin de volume, empĂȘchera le lecteur dâaller approfondir par lui-mĂȘme un Ă©lĂ©ment de sa recherche, Ă moins de la dĂ©pouiller intĂ©gralement. Ces choix Ă©ditoriaux restreignent certainement la lisibilitĂ© et lâutilitĂ© pĂ©dagogique que lâon est en droit dâattendre dâun ouvrage gĂ©nĂ©raliste. 11Antoine JACQUET. Marie-Claire FerriĂšs, Les partisans dâAntoine. Des orphelins de CĂ©sar aux complices de ClĂ©opĂątre, Bordeaux, Ausonius Ăd., Scripta Antiqua, 2007, 565 p. 12Câest un ouvrage passionnant que nous propose FerriĂšs celui de lâhistoire des partisans dâAntoine. Pour mener Ă bien cette tĂąche, lâauteur Ă©tudie le parti dâAntoine pendant les quatorze derniĂšres annĂ©es de la RĂ©publique sous un angle peu utilisĂ©, celui des vaincus. FerriĂšs est partie du constat suivant un homme seul Ă Rome, Ă la fin de la RĂ©publique, ne dispose dâaucun rĂ©el pouvoir politique. MĂȘme sâil possĂšde des talents, il a besoin dâalliĂ©s et de partisans pour mener Ă bien ses desseins. Ce fut le cas de CĂ©sar et dâOctavien/Auguste, ce fut Ă©galement celui dâAntoine. 14Lâauteur dĂ©finit dâabord le terme de partisan. En aucun cas le partisan est un thurifĂ©raire toujours dĂ©vouĂ© Ă un chef et Ă ses idĂ©es. Les membres du parti dâAntoine sont ceux qui le servirent, qui obĂ©irent Ă ses ordres, le dĂ©fendirent et le reprĂ©sentĂšrent. Ce furent donc les agents, les subordonnĂ©s, les compagnons et alliĂ©s rassemblĂ©s autour de lui Ă un moment donnĂ©. En effet, il faut rappeler que peu dâhommes restĂšrent au service dâAntoine entre 44 et 30 parce que dans un parti romain les entrĂ©es et les sorties alternent au grĂ© des intĂ©rĂȘts des participants. 15Pour faire une telle Ă©tude, FerriĂšs a choisi un plan chronologique parce que le parti sâest construit progressivement. Les principales Ă©tapes de la guerre civile rythment lâĂ©volution de lâentourage dâAntoine. La premiĂšre partie est consacrĂ©e au noyau initial, Ă la gens Antonia, Ă la stratĂ©gie matrimoniale dâAntoine et Ă ses familiers. Avant la mort de CĂ©sar, Antoine nâĂ©tait que le chef dâun groupe de pression au sein de lâoligarchie au pouvoir. La naissance rĂ©elle du parti antonien nâapparaĂźt quâĂ la mort du dictateur deuxiĂšme partie. Antoine rĂ©ussit Ă rĂ©cupĂ©rer une fraction des CĂ©sariens qui lui permet de constituer un vĂ©ritable parti. La troisiĂšme partie est une Ă©tude des armĂ©es provinciales, vĂ©ritable enjeu dans la guerre civile opposant Antoine au jeune Octavien et au parti sĂ©natorial ou rĂ©publicain. AprĂšs la bataille de ModĂšne et la mise en place du second triumvirat, le parti connaĂźt une nouvelle impulsion et son Ă©lite est toujours formĂ©e dâanciens CĂ©sariens. GrĂące aux cadres de son parti, Antoine peut exercer une position prééminente au sein du nouveau rĂ©gime. La victoire de Philippes, en 42, constitue une nouvelle Ă©tape dans la vie du parti quatriĂšme partie. Le rapport des forces au sein du Triumvirat est bouleversĂ© par lâĂ©limination de LĂ©pide et de Sextus PompĂ©e. On passe Ă la fois Ă la bipolarisation et, aprĂšs les accords de Brindes, Ă lâorientalisation du parti dâAntoine. Le triumvir a su accueillir des RĂ©publicains aprĂšs la victoire de Philippes et connaĂźt des succĂšs en Orient. Il a toujours le soutien du SĂ©nat qui lui vote des mesures comme lâengagement de la guerre parthique. LâĂ©limination de LĂ©pide et de Sextus PompĂ©e conforte toutefois Octavien en Occident. Les derniĂšres annĂ©es du parti dâAntoine 36-30 sont traitĂ©es dans la cinquiĂšme partie. FerriĂšs, avec raison, rejette tout dĂ©terminisme et refuse de penser que la dĂ©faite Ă©tait dĂ©jĂ prĂ©visible. Toutefois, lâaffrontement entre les deux triumvirs devient inĂ©vitable et apparaĂźt clairement dĂšs 34 Ă travers une propagande de plus en plus venimeuse entre les deux hommes. Lâauteur Ă©tudie Ă la fois les partisans dâAntoine proches de ClĂ©opĂątre et ceux qui lui sont hostiles. Elle analyse Ă©galement lâactivitĂ© du parti dâAntoine en Italie qui sut toujours rĂ©pondre aux attaques virulentes dâOctavien. La rupture entre les deux triumvirs trouve son origine dans le renouvellement et la durĂ©e des pouvoirs triumviraux. La question Ă©tait de savoir si le triumvirat devait ĂȘtre reconduit le 1er janvier 32 ou le 1er janvier 31 et il Ă©tait clair quâaucun des deux triumvirs nâavait lâintention de renoncer au pouvoir triumviral. Au dĂ©but de lâannĂ©e 32, les chances de succĂšs, dans le nouveau conflit qui sâannonçait, Ă©taient Ă peu prĂšs Ă©gales dans les deux camps. Pourtant, avant la bataille dâActium, un certain nombre dâAntoniens quitte leur camp et rejoint celui dâOctavien Ă cause essentiellement de la dĂ©tĂ©rioration de la situation militaire dâAntoine en Orient. Ă lâexception de MĂ©cĂšne et dâAgrippa, les lieutenants dâOctavien sont presque tous dâanciens Antoniens et, en 32-31, au moment de la rupture, le mouvement sâaccĂ©lĂšre. Antoine perd ses principaux lieutenants comme Munatius Plancus ou encore Domitius Ahenobarbus. Ces dĂ©parts eurent de lourdes consĂ©quences pour lâaffrontement final et Antoine dut confier le commandement de la flotte de la bataille dâActium Ă dâanciens PompĂ©iens. Lâauteur traite Ă la fin de la partie le sort des vaincus dâActium. Ils connurent selon les circonstances un sort variable exĂ©cution capitale, grĂące ou paiement dâune amende. Les Antoniens Ă©minents bĂ©nĂ©ficiĂšrent de la Clementia Caesaris. Le parti dâAntoine disparut Ă la mort dâAntoine, mais ses partisans subsistĂšrent. Octavien/Auguste sut Ă©viter la mise en place dâun mouvement dâopposition au Principat naissant. 16Un trĂšs important catalogue prosopographique complĂšte lâouvrage. Lâauteur y distingue les partisans assurĂ©s 143 et les incertains 39. Il comprend Ă la fois les Ă©lites dirigeantes, sĂ©nateurs ou membres de lâordre Ă©questre, mais Ă©galement les affranchis souvent recrutĂ©s au plus prĂšs de la familia. FerriĂšs rappelle aussi que ce catalogue a pour but dâĂ©clairer la nature et lâĂ©volution des liens qui unissent Antoine Ă ses partisans. 17Ce travail est dâune trĂšs grande qualitĂ© et dâune lecture agrĂ©able. Le plan chronologique permet de suivre parfaitement les alĂ©as du parti dâAntoine. La mĂ©thode de recherche est efficace et convaincante, puisque lâĂ©tude des auteurs de premiĂšre main comme CicĂ©ron, ou celle dâauteurs du IIe siĂšcle de notre Ăšre, a rendu possible le catalogue prosopographique qui nous rĂ©vĂšle un nombre non nĂ©gligeable dâAntoniens. Enfin, cette Ă©tude a bien mis en lumiĂšre les mĂ©canismes de la formation, de la vie puis de la disparition dâun parti Ă Rome, Ă lâextrĂȘme fin de la RĂ©publique. 18Annie ALLELY. En ligne Alan K. Bowman, Peter Garnsey, Averil Cameron ed., The Cambridge Ancient History, XII2 The Crisis of Empire AD 193-337, Cambridge University Press, Cambridge, 2005, XVIII-965 p., 9 cartes dont une dĂ©pliante, 12 figures dans le texte. 19Lâaventure au long cours que reprĂ©sentait la publication dâune seconde Ă©dition de la vaste synthĂšse placĂ©e sous le patronage de lâUniversitĂ© de Cambridge en 12 imposants volumes dâune histoire de lâAntiquitĂ© mĂ©diterranĂ©enne, des prolĂ©gomĂšnes Ă lâavĂšnement du christianisme au pouvoir avec Constantin, sâest achevĂ©e en 2005 par la parution du prĂ©sent livre en recension. Sâil avait fallu quinze annĂ©es pour Ă©diter les 12 premiers tomes, de 1924 Ă 1939, cette réédition correspondant de fait Ă une réécriture complĂšte dans un nouveau contexte historiographique sâest Ă©talĂ©e sur trente-cinq ans ! On doit Ă lâun des Ă©diteurs de ce nouveau volume XII, Alan Bowman, devenu depuis 2002 Camden Professor of Ancient History Ă Oxford, dâĂȘtre en outre lâun des responsables des trois tomes couvrant lâensemble de la pĂ©riode impĂ©riale [avec les tomes X2, The Augustan Empire 43 BC - AD 69, 1996, et XI2, The High Empire AD 70-192, 2000], ce qui assure une certaine unitĂ© Ă lâensemble. Dans lâintervalle, la nĂ©cessitĂ© de prolonger le champ chronologique en abordant lâAntiquitĂ© tardive de maniĂšre plus ample sâest imposĂ©e avec la mise en chantier et la publication, avant la parution du tome XII, de deux volets supplĂ©mentaires de la collection XIII, The Late Empire AD 337-425 1997 et XIV, Late Antiquity, Empire and Successors AD 425-600 2001. Aborder lâhistoire de lâEmpire romain du IIIe siĂšcle supposait de prendre en compte de nombreux renouvellements, que lâon doit tout autant Ă la dĂ©couverte de nouveaux documents quâĂ la rĂ©interprĂ©tation dâune pĂ©riode, longtemps nĂ©gligĂ©e et associĂ©e Ă la vision traditionnelle dâun dĂ©clin de lâEmpire romain, plus ou moins inĂ©luctable cf. E. Gibbon, E. Renan, M. Rostovtzeff. Câest peut-ĂȘtre la difficultĂ© de rendre compte de certains enjeux des dĂ©bats historiographiques rĂ©cents, mais Ă©galement la nĂ©cessitĂ© dâinclure les dĂ©couvertes trĂšs rĂ©centes et fondamentales, comme lâinscription dâAugsbourg qui remonte Ă aoĂ»t 1992, et renouvelle notre comprĂ©hension de cette pĂ©riode mĂ©diane du IIIe siĂšcle, les annĂ©es 259-260 en Occident on peut renvoyer au petit dossier des Cahiers du Centre Gustave-Glotz, VIII, 1997, p. 223-260, destinĂ© Ă fournir un premier Ă©tat des dĂ©bats suscitĂ©s par ce nouveau document, qui expliquent la longue pĂ©riode de gestation de ce livre dont certains chapitres furent achevĂ©s prĂšs de vingt ans avant la publication dĂ©finitive. Quoi quâil en soit, nous voici dĂ©sormais en prĂ©sence dâune nouvelle somme qui complĂšte les deux volumes de la Storia di Roma 3 LâetĂ tardoantica, parus en 1993 sous la direction dâAldo Schiavone, le premier Ă©tant consacrĂ© aux crises et transformations », le second aux lieux et cultures ». 20La prĂ©face des Ă©diteurs p. XIII-XVIII sâest chargĂ©e dâĂ©clairer les choix qui ont prĂ©sidĂ© Ă la rĂ©alisation de cette nouvelle Ă©dition. Le premier, tout Ă fait significatif, fut de rĂ©intĂ©grer dans le cadre chronologique du prĂ©sent volume la totalitĂ© du rĂšgne de Constantin au-delĂ de la mort de Licinius, en 324, date choisie par les premiers Ă©diteurs comme terminus ante quem. Dâautres choix rĂ©sultent dâun Ă©quilibre entre les trois volumes de la collection qui couvrent tout le Haut Empire. On peut noter par exemple les dĂ©veloppements sur lâĂgypte et le Christianisme qui incluent un rappel sur le IIe siĂšcle, en raison des manques volontaires au sein du volume prĂ©cĂ©dent. Il est significatif, au-delĂ de la spĂ©cialitĂ© du principal Ă©diteur, familier de papyrologie et spĂ©cialiste dâĂgypte romaine, quâun chapitre sur la Bretagne, seul de ce type dans la 1re Ă©dition, ait Ă©tĂ© remplacĂ© par un Ă©quivalent consacrĂ© cette fois Ă lâĂgypte, ce qui dâailleurs rend justice Ă lâimportance de la documentation papyrologique pour lâĂ©tablissement de la chronologie ou certaines synthĂšses sur le pouvoir impĂ©rial ou lâadministration provinciale aspects sociaux et juridiques. On retiendra des prolĂ©gomĂšnes de cette prĂ©face trois points qui mĂ©ritent notre attention. Lâimportance accordĂ©e dâune part aux peuples non romains, Germains, Sassanides, ArmĂ©niens, Arabes et peuples du dĂ©sert, qui incarnent une part non nĂ©gligeable du destin de lâEmpire romain en deçà et au-delĂ du limes. Câest Ă©galement la dĂ©cision de ne pas traiter en tant que telle dâune histoire de la littĂ©rature grecque et latine de cette pĂ©riode, ce dont on pourrait discuter sans fin, notamment en prenant le parti pris inverse de la Storia di Roma dans son deuxiĂšme volume. Câest enfin lâimportance du traitement du christianisme, lâun des chapitres les plus longs de lâouvrage lui Ă©tant consacrĂ©, une vraie monographie en soi qui aborde dâailleurs la littĂ©rature chrĂ©tienne p. 589-671. Je retiendrai Ă©galement lâimportance du traitement des sources, mĂȘme si les Ă©diteurs nâont pas souhaitĂ© imposer des normes Ă leurs auteurs. De la sorte, certains sâattardent sur la spĂ©cificitĂ© de cette pĂ©riode au regard de la constitution du savoir, ce qui semble essentiel si lâon veut bien considĂ©rer que ce type de synthĂšse sâadresse en prioritĂ© Ă des Ă©tudiants et chercheurs, et donc dĂ©passe lâhorizon de lâhonnĂȘte homme qui pourrait se satisfaire dâun rĂ©cit sans trop dâaspĂ©ritĂ©s et passant outre aux prĂ©alables de la constitution dâun corpus bien Ă©tabli de sources. Aucune unitĂ© nâa Ă©tĂ© recherchĂ©e, de maniĂšre artificielle, ce qui implique quâun certain nombre de points de vue diffĂ©rents sont perceptibles tout au long du volume, de synthĂšse en synthĂšse, par exemple en ce qui concerne lâĂ©conomie, les armĂ©es et le fonctionnement gĂ©nĂ©ral de lâEmpire. Ceci explique Ă©galement lâabsence dâune introduction et dâune conclusion au volume, qui aurait assurĂ©ment imposĂ© une telle quĂȘte un peu vaine ?. 21La matiĂšre de cette synthĂšse est donc rĂ©partie en six ensembles de longueur trĂšs variable et 19 chapitres. On sâaccordera volontiers sur lâimportance dâune partie introductive consacrĂ©e Ă lâĂ©tablissement dâun rĂ©cit chronologique suivi, fort difficile pour cette pĂ©riode troublĂ©e de lâhistoire romaine. IntitulĂ©e Narrative », cet ensemble conduit en quatre Ă©tapes de lâĂ©poque sĂ©vĂ©rienne au rĂšgne de Constantin p. 1-109 ; Brian Campbell pour la pĂ©riode sĂ©vĂ©rienne, John Drinkwater de Maximin Ă DioclĂ©tien, Alan Bowman pour la 1re tĂ©trarchie et Averil Cameron pour le rĂšgne de Constantin. On ne peut discuter a priori le choix dâun respect des cĂ©sures traditionnelles et dâune vision somme toute classique » de cette histoire. Ă y regarder de prĂšs, il apparaĂźt que ces mises au point ont Ă©tĂ© rĂ©digĂ©es au dĂ©but de lâaventure, en tout cas avant le milieu des annĂ©es 1990. La bibliographie sâarrĂȘte effectivement Ă des titres du tout dĂ©but de cette dĂ©cennie. Comme je le relevais incidemment Ă propos de la dĂ©couverte de lâinscription dâAugsbourg, mais comme les circonstances trĂšs françaises de lâinscription dâune question de concours AgrĂ©gation et Capes portant sur le IIIe siĂšcle en 1998 et 1999 lâont mĂ©caniquement entraĂźnĂ©, de nombreuses publications ont renouvelĂ© certains aspects de lâapproche de cette histoire de lâEmpire romain. LâoriginalitĂ© du traitement de la pĂ©riode sĂ©vĂ©rienne dans une synthĂšse comme celle de Michel Christol LâEmpire romain du IIIe siĂšcle. Histoire politique 192-325 aprĂšs 1997, mĂ©ritait Ă tout le moins discussion. Une deuxiĂšme partie fort importante est consacrĂ©e au fonctionnement de cet Empire et aborde les aspects militaires, administratifs et juridiques p. 110-207, Government and Administration ». On saluera Ă ce propos les efforts dâElio Lo Cascio pour rendre compte des dĂ©bats les plus actuels en ce domaine. Le chapitre en quatre parties quâil consacre Ă lâempereur et son administration est exemplaire Ă cet Ă©gard p. 137-183. Sont inclus dans cette mĂȘme section lâarmĂ©e Brian Campbell et le droit David Ibbetson et David Johnston. En ce dernier cas, les deux chapitres trĂšs synthĂ©tiques peuvent ĂȘtre confrontĂ©s par leurs objectifs et leurs portĂ©es aux amples dĂ©veloppements de leurs Ă©quivalents dans la synthĂšse italienne en quatre Ă©tapes avec Aldo Schiavone, Joseph MĂ©lĂšze, Feliciano Serrao et Bernardo Santalucia. Une troisiĂšme partie dâĂ©gale longueur sâattache aux provinces de lâEmpire, frontiĂšres, gouvernement et synthĂšse locale avec le cas de lâĂgypte p. 212-325, The provinces » ; John Wilkes traitant des provinces et des frontiĂšres, Jean-Michel CarriĂ© se concentrant sur lâadministration provinciale et locale et Alan Bowman proposant une courte histoire Ă©gyptienne durant la pĂ©riode. Un seul auteur, Mireille Corbier, sâest attelĂ© en deux chapitres Ă une synthĂšse sur lâĂ©conomie au IIIe siĂšcle qui constitue la quatriĂšme partie du volume p. 327-439, le premier volet sâattachant aux aspects Ă©tatiques des Ă©missions monĂ©taires et des taxations, le second au fonctionnement mĂȘme de lâĂ©conomie. On ne peut toutefois sĂ©parer certains dĂ©veloppements antĂ©rieurs de la section consacrĂ©e au gouvernement provincial et aux citĂ©s dâune rĂ©flexion portant sur lâĂ©conomie, les approches de Jean-Michel CarriĂ© et de Mireille Corbier Ă©tant complĂ©mentaires et devant ĂȘtre prises en compte collectivement. Il est loisible de comparer lâapproche proposĂ©e dans cette section avec ce que Jean-Michel CarriĂ© avait lui-mĂȘme rĂ©digĂ© sur le sujet sous les titres de Ăconomie globale, Ă©conomies rĂ©gionales » et LâEmpire-monde et les bases restaurĂ©es de la puissance » dans J..M. CarriĂ©, Aline Rousselle, LâEmpire romain en mutation, 1999, p. 513-649. Je signalerai en complĂ©ment la parution dâun volume dâhommages autour de lâĆuvre numismatique de Jean-Pierre Callu portant sur lâĂ©conomie monĂ©taire au IIIe siĂšcle qui aurait Ă©tĂ© tout Ă fait utile pour complĂ©ter certains dĂ©veloppements Revue numismatique, 159, 2003. Quatre chapitres offrent des aperçus Ă©clairants sur les peuples que lâon ne nomment plus barbares » The non-Roman world », p. 440-520 ; Malcolm Todd Ă propos des Germains, Richard Frye traitant des Sassanides, C. Lightfoot de lâArmĂ©nie et Maurice Sartre, des Arabes et des peuples du dĂ©sert, que lâon aurait pu Ă©ventuellement Ă©largir aux marges mĂ©ridionales du monde romain en Afrique, en prenant les mouvements de certaines tribus au crible des recherches rĂ©centes sur certains de ces peuples cf. Yves ModĂ©ran, Les Maures et lâAfrique romaine IVe-VIIe siĂšcle, 2003, qui remonte aux prĂ©mices du IIIe siĂšcle. La derniĂšre partie, la plus longue, offre en trois chapitres de portĂ©e diffĂ©rente trois synthĂšses sur le polythĂ©isme, le christianisme et lâart et lâarchitecture Religion, culture and society », p. 521-703, Garth Fowden abordant le polythĂ©isme, Mark Edwards le christianisme de 70 Ă 192, retour en arriĂšre imposĂ© par le contenu du volume prĂ©cĂ©dent, Graeme Clarke, le christianisme durant la pĂ©riode et Janet Huskinson pour une synthĂšse sur art et architecture, en une trentaine de pages avec dix illustrations en noir et blanc. Lâaccent principal est donnĂ© dans le deuxiĂšme chapitre par le dĂ©veloppement consacrĂ© aux diffĂ©rentes persĂ©cutions et plus gĂ©nĂ©ralement aux rapports entre Ătat romain et chrĂ©tiens. Une rĂ©flexion sur Ă©thique et sociĂ©tĂ© impĂ©riale romaine au cours de la pĂ©riode aurait probablement permis dâaborder Ă nouveaux frais certaines questions Ă©voquĂ©es dans cette partie. On notera lâappendice qui complĂšte le chapitre sur les provinces avec des tableaux trĂšs prĂ©cis sur les changements du systĂšme provincial, les dĂ©placements des princes et les frontiĂšres et leur dĂ©fense John Wilkes, p. 705-767. Stemmata p. 768-771, chronologie p. 772-785, bibliographie p. 786-899 dans lâensemble Ă jour aux rĂ©serves prĂšs que nous Ă©voquions prĂ©cĂ©demment, qui est classĂ©e par grandes sections aprĂšs une courte liste dâouvrages frĂ©quemment citĂ©s et un index trĂšs dĂ©veloppĂ© p. 900-965 clĂŽturent ce volume et lui confĂšrent le statut incontestable dâoutil de travail et de rĂ©fĂ©rence. 22Titrer une histoire de lâEmpire romain, de lâavĂšnement de Septime SĂ©vĂšre Ă la mort de Constantin, La crise de lâEmpire », mĂ©ritait probablement un peu plus dâattention en prĂ©ambule, ou dans un chapitre proprement historiographique destinĂ© Ă rĂ©sumer le chemin parcouru entre la premiĂšre Ă©dition datant de 1938 et ce nouveau projet Ă©ditorial. Force est de constater que peu de chapitres abordent cet aspect pourtant essentiel du discours historique et de ses composantes. Ă partir des rĂ©flexions dâAndrea Giardina je citerai en dernier lieu une introduction au volume collectif La crise » de lâEmpire romain de Marc AurĂšle Ă Constantin, Quet dir., publiĂ© en 2006, rĂ©sumant ses positions sur le thĂšme de la crise » ou des crises » de lâEmpire romain et de leur rythme, ou du livre rĂ©cent de Christian Witschel Krise-Rezession-Stagnation ?, 1999, il y avait matiĂšre Ă ouvrir cette synthĂšse Ă des enjeux qui ne sont pas secondaires faire une histoire dâune pĂ©riode donnĂ©e et la publier dans les toutes premiĂšres annĂ©es dâun nouveau millĂ©naire nâest pas innocent. Seul Elio Lo Cascio se place rĂ©solument, dans sa rĂ©flexion sur le gouvernement central de lâEmpire et la figure du prince, dans cette perspective historiographique. En revanche, ĂȘtre attentif au monde non romain, aborder le christianisme avec une certaine ampleur font partie prenante des choix Ă©ditoriaux qui rĂ©vĂšlent les objectifs dâune telle gageure, proposer une synthĂšse la plus exhaustive possible, sur une pĂ©riode historique extrĂȘmement complexe et trĂšs ambiguĂ«. On peut face Ă de tels ouvrages dĂ©plorer certains manques sur la figure impĂ©riale en tant que telle, ses reprĂ©sentations, et juger leur importance Ă lâaune du renouvellement de questions essentielles. De la mĂȘme maniĂšre, proposer un rĂ©cit Ă©vĂ©nementiel est dĂ©jĂ le rĂ©sultat dâune interprĂ©tation de la pĂ©riode qui suppose une lecture qui est tout sauf objective. En ce sens, il faut prendre cette synthĂšse pour ce quâelle est, un pan de la recherche contemporaine Ă©rudite, documentĂ©e et fonctionnant avec une certaine logique interne. Il nâest pas interdit dâoffrir sur un certain nombre de sujets des alternatives, sinon sâinterroger sur la pertinence de pareilles aventures Ă©ditoriales. Ce monument est riche dâinformations et il avertit » donc dâun certain Ă©tat de la recherche historique des romanistes dans les annĂ©es 1980-1990. Il est possible de prolonger la rĂ©flexion, de proposer dâautres perspectives et dâĂ©crire une tout autre histoire. 23StĂ©phane BENOIST. Bruno DumĂ©zil, La reine Brunehaut, Paris, Fayard, 2008, 560 p. 24AprĂšs son bel ouvrage publiĂ© en 2005, Les racines chrĂ©tiennes de lâEurope. Conversion et libertĂ© dans les royaumes barbares Ve-VIIIe s., Bruno DumĂ©zil nous offre Ă nouveau un travail de grande qualitĂ© sur cette pĂ©riode qui reste pour nos contemporains un Ăąge de fer et de sang. Les rĂ©cits des temps mĂ©rovingiens ont la couleur de lâhĂ©moglobine. FrĂ©dĂ©gonde et Brunehaut, dans la mĂ©moire collective, ont portĂ© le deuil en rouge. La surenchĂšre des cruautĂ©s, câest souvent ce que lâon retient des origines au Moyen Ăge. Mais quâest-ce que le Moyen Ăge ? Le mĂ©rite de ce livre est de donner Ă rĂ©flĂ©chir sur une pĂ©riode marquĂ©e par la longue vigueur de la civilisation romaine. B. D. brosse avec pĂ©dagogie le tableau de la naissance de lâEurope barbare, dont les rois sont davantage marquĂ©s par lâhĂ©ritage de lâEmpire que par celui des tribus germaniques. Dans la seconde moitiĂ© du VIe siĂšcle, Byzance apparaĂźt encore comme une image intacte de la Rome des CĂ©sars... et nâa aucune leçon Ă recevoir en matiĂšre dâassassinat et de supplices cruels. Il faut Ă©vacuer ce faux problĂšme qui relĂšve dâune sensiblerie anachronique, pour laisser la premiĂšre place au politique. En ce domaine, Brunehaut est longtemps une virtuose, une maĂźtresse du jeu, jusquâĂ la derniĂšre partie oĂč elle perd la main. NĂ©e en 550 dans une famille aristocratique wisigothe dâEspagne du Sud, câest une femme cultivĂ©e qui lit et Ă©crit le latin, connaĂźt sa grammaire et lâart de la rhĂ©torique, a des rudiments de droit, de gĂ©ographie, de thĂ©ologie, comme il convient dans un milieu palatin. Son pĂšre Athanagild est devenu roi en 554 Ă lâissue dâune guerre civile au cours de laquelle il a eu lâimprudence de faire appel aux Byzantins ; belle occasion pour lâEmpire de sâincruster dans une pĂ©ninsule Ă reconquĂ©rir. Cela explique que les Wisigoths aient recours aux Francs, pourtant ennemis hĂ©rĂ©ditaires depuis le temps de Clovis. Son petit-fils Sigebert Ier rĂ©clame une princesse pour le prix de son alliance. En 561, il a reçu, Ă la mort de Clotaire Ier, le royaume de Thierry, quâon appelle incidemment Austrasie. Entre Reims sa premiĂšre capitale, Cologne et Mayence, avec des extensions en Thuringe, Saxe et BaviĂšre, le centre de gravitĂ© sâĂ©tablit sur la moyenne vallĂ©e du Rhin ; sây ajoutent les fruits des conquĂȘtes de la gĂ©nĂ©ration prĂ©cĂ©dente en Auvergne et Provence orientale. Câest donc vers des terres bien lointaines que sâachemine une adolescente de 15 ou 16 ans, Ă laquelle son Ă©poux offre Ă Metz, au printemps 566, un mariage digne des CĂ©sars », cĂ©lĂ©brĂ© par le poĂšte Venance Fortunat, dĂ©posant un Ă©pithalame de 140 vers ciselĂ©s dans la corbeille. Moins de dix ans plus tard, Brunehaut a vu sa sĆur aĂźnĂ©e, Galswinthe, devenue reine de Neustrie, victime dâun assassinat politique et patrimonial Ă la cour de ChilpĂ©ric oĂč FrĂ©dĂ©gonde tisse sa toile, et son Ă©poux Sigebert pĂ©rir en 575 sur les coups de sicaires armĂ©s de scramasaxes, dans le contexte des guerres de succession, mal endĂ©mique du monde franc. Câest lĂ que se rĂ©vĂšle le caractĂšre dâune mĂšre qui se bat pour un petit roi de 5 ans, Childebert II, mais aussi pour une certaine idĂ©e de lâĂtat. Le mĂ©rite de B. D., du rĂ©cit, clair et haletant, dâĂ©vĂ©nements compliquĂ©s, est dâanalyser les rouages dâune pensĂ©e et dâune volontĂ© politiques, chez une femme qui a dĂ» sâimposer comme vĂ©ritable chef dâun royaume. Reine-mĂšre, grand-mĂšre puis arriĂšre-grand-mĂšre, elle agit pendant plus de trente ans comme un des grands » de lâOccident chrĂ©tien. Son vĂ©ritable rival est le roi de Burgondie Gontran, son beau-frĂšre, un alliĂ© ambigu, devenu oncle Ă hĂ©ritage, qui ne doit sa survie il a rĂ©ussi lâexploit de mourir dans son lit quâĂ un subtil jeu de balance entre Neustrie et Austrasie. Le portrait qui sâen dĂ©gage dans ce livre est aussi dâun grand intĂ©rĂȘt. B. D. a scrutĂ© les sources pour dĂ©cortiquer les actes et les arriĂšre-pensĂ©es. Car il faut lire entre les lignes dâun GrĂ©goire de Tours Ă©crivant lâhistoire au sens du vent ou dâun Venance Fortunat au style ampoulĂ© et volontairement obscur. Il est courageux de sâattaquer Ă ces vers codĂ©s. Cela demande une parfaite connaissance des Ă©vĂ©nements, des personnages et des institutions, fruit de lectures nombreuses et assimilĂ©es. Outre lâhistoire des royaumes mĂ©rovingiens, cette Ă©tude Ă©claire la complexitĂ© des relations internationales Ă une Ă©poque oĂč les Lombards envahissant lâItalie, redessinent la gĂ©opolitique. Câest la toile de fond des manĆuvres byzantines, qui tantĂŽt suscitent un prĂ©tendu fils inconnu de Clotaire Ier, Gundovald, tantĂŽt gardent en otages Ingonde et Athanagild, fille et petit-fils de Brunehaut, aprĂšs lâĂ©chec de leur mari et pĂšre HermĂ©negild dans la conquĂȘte du trĂŽne wisigoth. Il sâagit de faire pression sur les Francs pour quâils attaquent les Lombards. Mais quâont-ils Ă gagner dans des aventures italiennes pour une idĂ©e dâEmpire ? Ne plus agir en fonction de lâEmpire, câĂ©tait, intellectuellement parlant, le seuil du Moyen Ăge ». Par ailleurs, Brunehaut se trouve ĂȘtre contemporaine de GrĂ©goire le Grand, dont on connaĂźt le rĂŽle majeur, tant pour la rĂ©forme de lâĂglise que le dĂ©veloppement de la mission, notamment en Angleterre. Lâintervention de la reine dans les affaires ecclĂ©siastiques Ă un moment oĂč lâautoritĂ© de Rome se fait plus pressante, ne va pas sans conflits Ă©vĂȘques mis au pas et interdits de conciles gĂ©nĂ©raux, relations difficiles avec le monachisme colombanien. Saint Colomban devait ĂȘtre insupportable, câest le dĂ©faut des prophĂštes, mais ses amis ont Ă©crit lâhistoire, ce qui est lourd Ă traĂźner dans la postĂ©ritĂ©. B. D. analyse ces sources hagiographiques biaisĂ©es et restitue Ă Brunehaut tant un appui aux missionnaires insulaires â et par lĂ son rĂŽle dans la construction de lâOccident chrĂ©tien â que lâexpression dâune piĂ©tĂ© gĂ©nĂ©reuse Ă Autun et Ă Auxerre, oĂč elle devait reposer, sous la protection de saint Germain. Cela lui fut refusĂ© par lâincinĂ©ration de son cadavre mutilĂ©. 25La mise en scĂšne de son supplice, la sauvagerie codifiĂ©e dâun rituel dâhumiliation inversant les rapports Ă la bĂȘte succĂšdent Ă deux gĂ©nĂ©rations de complots et de trahisons. Tout au long du livre ce ne sont que manĆuvres et calculs de Grands retors, achats de fidĂ©litĂ©s, pardons hypocrites, suicides arrangĂ©s, Ă©liminations sommaires ou parĂ©es dâoripeaux judiciaires. Les ducs Loup ou Gontran-Boson, lâĂ©vĂȘque de Reims Egidius, le comte Gogo, le maire du palais Warnachaire, PĂ©pin de Landen et Arnoul prĂ©parant une irrĂ©sistible ascension, et tant dâautres, apparaissent terriblement Ă©loignĂ©s du bien commun. Ă la suite de Venance Fortunat qui cĂ©lĂšbre en Brunehaut la plus romaine des souveraines barbares, B. D. la campe en femme cultivĂ©e qui tente de prĂ©server lâautoritĂ© de lâĂtat, une grande diplomatie mĂ©diterranĂ©enne, le principe dâun impĂŽt Ă©quitable, le fonctionnariat antique, lâuniversalitĂ© du droit Ă©crit et les beautĂ©s de la littĂ©rature classique, qui jette ses derniers feux. Mais câest dĂ©jĂ en partie un rĂȘve et cette veuve Ă©trangĂšre doit sâadapter, pour survivre, Ă un environnement mouvant, avec souplesse et pragmatisme, sans considĂ©ration pour les sentiments, mĂȘme familiaux. Cet animal politique se dĂ©place avec une agilitĂ© fĂ©line au milieu des drames qui finissent par la rattraper. Clotaire II joue contre elle la carte aristocratique, celle des forces rĂ©gionalistes, qui lâemportent pour longtemps La plupart de ses initiatives contribuĂšrent Ă lâĂ©mergence de la chrĂ©tientĂ© mĂ©diĂ©vale », conclut B. D. ; Ă son corps dĂ©fendant parfois, faudrait-il ajouter. Câest Ă lâenfantement du Moyen Ăge, dans la douleur, que nous assistons tout au long de la lecture de ce livre, avec lâĂ©mergence dâune nouvelle gĂ©nĂ©ration, tellement Ă©trangĂšre Ă celle des petits-fils de Clovis, qui se faisait cĂ©lĂ©brer comme un auguste. AprĂšs des considĂ©rations sur la survie lĂ©gendaire qui nous emmĂšne jusquâĂ la Brunehilde wagnĂ©rienne, B. D. nous offre, outre les cartes et gĂ©nĂ©alogies indispensables, dâutiles piĂšces justificatives, en latin et en français, les lettres diplomatiques de Brunehaut dâaprĂšs les registres austrasiens, celles de GrĂ©goire le Grand Ă la reine et la correspondance diplomatique de Bulgar, comte de Septimanie, trop mĂ©connue. Lâauteur a le souci constant dâassocier le lecteur Ă sa rĂ©flexion en exposant les matĂ©riaux, fragmentaires, dont dispose lâhistorien ; ce qui pourra nourrir certaines discussions. Ajoutons enfin la maĂźtrise dâun style alerte, avec le sens de la formule qui fait mouche, jusquâaux limites dâune rĂ©jouissante impertinence. Avec la Gogo connection » et Gundovald dĂ©peint en tonton flingueur », Fayard rime avec Audiard. 26Patrick DEMOUY. VĂ©ronique Gazeau, Monique Goullet, Guillaume de Volpiano, un rĂ©formateur en son temps 962-1031. Vita domni Willelmi de Raoul Glaber. Texte, traduction et commentaire, Caen, Publications du CRAHM, 2008, 138 p. 27VĂ©ronique Gazeau et Monique Goullet ont fait Ćuvre particuliĂšrement utile en publiant la Vita Willelmi, Ćuvre de Raoul le Glabre rĂ©digĂ©e aprĂšs 1028. LâaccĂšs au texte, disponible depuis le XVIIe siĂšcle, en est facilitĂ©. Une copie manuscrite conservĂ©e Ă Copenhague et trois Ă©ditions en donnaient le contenu, en sâappuyant sur un manuscrit de Saint-BĂ©nigne de Dijon, aujourdâhui disparu. Neithard Bulst Ă©dita en 1974 une Vita copiĂ©e sur un manuscrit du monastĂšre de FĂ©camp et conservĂ© Ă la BibliothĂšque nationale Rodulfus Glabers Vita domni Willelmi abbatis. Neue Edition nach eine Handschrift des 11. Jahrhunderts Paris, BnF, lat. 5390 », Deutsches Archiv, 30-2, 1974, p. 455-462. Le rĂ©cit, Ă©crit par une main du troisiĂšme quart du XIe siĂšcle, câest-Ă -dire une trentaine dâannĂ©e au plus aprĂšs sa conception, Ă©tait restĂ© longtemps inaperçu dans un recueil factice qui contient principalement la LĂ©gende dorĂ©e de Jacques de Voragine fol. 1-221 et deux autres textes rĂ©digĂ©s Ă la fin du XIe siĂšcle fol. 230 vo - 235 vo. 28Loin de se contenter dâune simple reprise des travaux de Neithard Bulst, les deux auteurs se sont saisies du dossier et ont Ă©ditĂ© le texte directement dâaprĂšs le manuscrit de FĂ©camp, dâoĂč lâapparition de quelques divergences avec la version de 1974. Outre la transcription, elles ont tenu Ă donner une prĂ©sentation littĂ©raire de la Vita insistant sur le mĂ©lange entre rĂ©cit biographique et discours hagiographique, sans quâil y ait hiatus entre les deux p. 3-16. Elles apportent Ă©galement des Ă©claircissements sur la transmission du texte, unique tĂ©moin mĂ©diĂ©val de la Vie de Guillaume p. 17-24. Elles livrent enfin un commentaire historique de lâhagiographie p. 81-122. Il faut signaler une nouveautĂ© de taille par rapport Ă lâĂ©dition de 1974 la prĂ©sence dâune traduction du texte latin en français qui rend lâensemble accessible aux Ă©tudiants. 29Dans la prĂ©sentation littĂ©raire, VĂ©ronique Gazeau et Monique Goullet se sont intĂ©ressĂ©es Ă la personne de lâhagiographe. Raoul, auteur de deux Ćuvres capitales pour la connaissance de cette pĂ©riode Ă savoir les Histoires et la Vita, souffre dâune mauvaise rĂ©putation. NĂ© en 980 ou 985, ce moine mĂšne une existence gyrovague passant de monastĂšre en monastĂšre Ă cause de son caractĂšre exĂ©crable. Sa vie est nĂ©anmoins marquĂ©e par la rencontre avec lâabbĂ© Guillaume de Volpiano Ă Saint-BĂ©nigne de Dijon. Ayant quittĂ© ce monastĂšre pour Cluny, Raoul meurt Ă Saint-Germain dâAuxerre en 1047. Les circonstances de la rĂ©daction de la Vita sont obscures et peut-ĂȘtre liĂ©es Ă lâapparition de Guillaume Ă lâauteur chap. 13, mais Raoul se sent investi dâun devoir de mĂ©moire Ă lâĂ©gard dâun homme quâil admire. Pour lui, Guillaume possĂšde toutes les vertus qui font les saints et sa fama sanctitatis ne cesse de sâĂ©tendre, dâoĂč la nĂ©cessitĂ© de lui consacrer une hagiographie. En 14 chapitres, prĂ©cĂ©dĂ©s dâun prologue dans lequel il dĂ©die son livre aux abbĂ©s et aux moines que Guillaume a aimĂ©s, Raoul raconte la vie et les miracles de son hĂ©ros Synopsis de la Vita Willelmi, p. 29-31 ; Vita Willelmi, transcription et traduction, p. 32-79. 30Ă travers les informations disponibles dans la Vita, les deux historiennes se sont ensuite penchĂ©es sur lâexistence de Guillaume de Volpiano et son contexte politique et religieux. Sa naissance en 962 pendant le siĂšge de la forteresse du lac dâOrta prĂšs de Novare, apparaĂźt dĂ©jĂ comme un Ă©vĂ©nement. Otton Ier affrontait alors BĂ©renger II, marquis dâIvrĂ©e et chef de file de la haute aristocratie laĂŻque italienne Ă laquelle appartiennent les parents de Guillaume. Lâempereur triomphe et devient le parrain du nouveau-nĂ©, signe de rĂ©conciliation des factions rivales. Si, pour Raoul, Guillaume est dâabord un saint qui multiplie les miracles, pour VĂ©ronique Gazeau et Monique Goullet, câest surtout un rĂ©formateur infatigable. AprĂšs avoir Ă©tĂ© offert comme oblat Ă Lucedio dans le diocĂšse de Verceil en 969, il poursuit une carriĂšre brillante et rapide. Il entre Ă Cluny en 987 sous la direction de Mayeul avant de partir rĂ©former de nombreux monastĂšres Ă la demande de lâabbĂ© de Cluny, des Ă©vĂȘques ou des princes Saint-Saturnin sur le RhĂŽne, puis en Bourgogne, Saint-BĂ©nigne de Dijon, Saint-Vivant de Vergy et Saint-Pierre de BĂšze ; en Normandie, FĂ©camp avant 1001 Ă la demande du duc Richard II ; en Lorraine, Saint-Arnoul de Metz, Saint-Ăvre de Toul et Gorze. Il profite dâun voyage Ă Rome pour fonder le monastĂšre de Fruttuaria sur un domaine paternel au dĂ©but du XIe siĂšcle. Il se retrouva donc Ă la tĂȘte dâune quarantaine de monastĂšres bĂ©nĂ©dictins, dont le noyau se situait en Bourgogne, mais dont le rĂ©seau sâĂ©tendait jusquâen Normandie et dans le PiĂ©mont. 31Ainsi, ce livre fournit des indications prĂ©cieuses sur la deuxiĂšme rĂ©forme monastique du Xe siĂšcle. 32MarlĂšne HĂ©LIAS-BARON. Sylvain Gouguenheim, Les chevaliers teutoniques, Paris, Tallandier, 2007, 775 p. 33En rĂ©digeant cet ouvrage, lâun des objectifs de lâauteur Ă©tait de rĂ©aliser la premiĂšre vaste synthĂšse en français sur lâhistoire de lâordre teutonique, ordre religieux-militaire moins connu dans lâhistoriographie française que ceux du Temple et de lâHĂŽpital. Il structure son Ă©tude autour de quatre thĂšmes tout en respectant la chronologie de lâhistoire de lâinstitution, bien quâune seule de ses parties ait un titre indiquant cet aspect La conquĂȘte de la Prusse. » Les autres parties de lâouvrage mettent en lumiĂšre les diffĂ©rentes dimensions prises par lâordre au fur et Ă mesure de son Ă©volution Un ordre militaire », Un souverain » et Une grande puissance europĂ©enne ». 34Dans le premier thĂšme abordĂ©, aprĂšs avoir fait le point sur les circonstances de la fondation de lâordre teutonique Ă la fin du XIIe siĂšcle, sur ses premiers faits dâarmes en Orient et sur son implantation aux confins de la Hongrie, lâauteur sâinterroge sur ce qui est inhĂ©rent Ă lâexistence de cet ordre religieux-militaire, Ă savoir le respect dâune rĂšgle rĂ©gissant les aspects matĂ©riels et spirituels de la vie conventuelle des frĂšres ; le recrutement de combattants et de clercs, Allemands, pour la plupart ; les fonctions hospitaliĂšres et militaires de lâordre ; la rĂ©partition des tĂąches ainsi que le rĂŽle de la hiĂ©rarchie Ă la tĂȘte de cette institution, dans les provinces, les bailliages et les commanderies, sâinspirant des structures administratives du Temple. Il est Ă©galement question du lien Ă©troit qui unit lâordre Ă la papautĂ© dont il relĂšve, tout comme le Temple et lâHĂŽpital. Lâaccent est mis sur lâimportance des droits accordĂ©s aux teutoniques dans les privilĂšges pontificaux, assurant essentiellement leur indĂ©pendance vis-Ă -vis des Ă©vĂȘques diocĂ©sains et leur permettant dâobtenir la protection du pape, lâexemption ainsi que la libertĂ© de crĂ©er des Ă©glises, des villages et des cimetiĂšres dans les lieux qui leur Ă©taient concĂ©dĂ©s ; les papes les plus gĂ©nĂ©reux Ă leur Ă©gard furent Honorius III avec 116 privilĂšges, GrĂ©goire IX 59 privilĂšges et Innocent IV 67 privilĂšges. Lâaction du grand maĂźtre Hermann de Salza, puis de procureurs gĂ©nĂ©raux », en faveur des intĂ©rĂȘts de lâordre auprĂšs de plusieurs papes est soulignĂ©e. Un autre aspect intrinsĂšque Ă lâordre est sa dĂ©votion Ă la Sainte Vierge et les diffĂ©rentes formes quâelle pouvait revĂȘtir. Lâauteur Ă©tend son propos Ă la dimension culturelle de lâinstitution et Ă©voque les poĂšmes bibliques ou les ouvrages rĂ©alisĂ©s au sein de lâordre ou Ă son intention comme la Chronique de la terre de Prusse de Pierre de Dusbourg ainsi que les bibliothĂšques, parfois riches, qui lui appartenaient. 35Dans son Ă©tude de la conquĂȘte de la Prusse par lâordre teutonique, S. Gouguenheim montre bien la volontĂ© dâimplication de la papautĂ© dans lâĂ©vangĂ©lisation de cette rĂ©gion, en particulier Ă travers la mission du premier Ă©vĂȘque qui y fut nommĂ©, Christian, en 1215, puis Ă travers lâaction des teutoniques et celle des Dominicains. La christianisation des populations de langue balte, dĂ©signĂ©es sous le nom latin de Pruteni PrutĂšnes, sâavĂ©ra difficile et nĂ©cessita le recours aux armes ; il y eut Ă©galement plusieurs vagues dâapostasie chez les nouveaux convertis au XIIIe siĂšcle. Câest dans ce cadre que les teutoniques durent mener une guerre de conquĂȘte sans risquer de mettre en pĂ©ril la conversion des populations locales par une attitude trop dure, conformĂ©ment aux consignes laissĂ©es par la papautĂ©. Le 3 aoĂ»t 1234, un privilĂšge la bulle de Rieti de GrĂ©goire IX plaça la Prusse sous la juridiction pontificale et la remit au pouvoir de lâordre. La bulle de Rimini Ă©mise par lâempereur FrĂ©dĂ©ric II complĂ©ta les dĂ©cisions pontificales de Rieti en faveur des teutoniques. Cependant, leur opposition avec les PrutĂšnes dĂ©gĂ©nĂ©ra en guerre ouverte en 1242, laquelle dura jusquâen 1249, avant une autre vague de rĂ©voltes entre 1260 et 1283. DĂšs les dĂ©buts de la conquĂȘte, plusieurs princes allemands, polonais et tchĂšques vinrent soutenir militairement lâordre, obtenant parfois les mĂȘmes indulgences que les croisĂ©s de Terre sainte. En 1254, le roi de BohĂȘme Ottokar II arriva en Prusse Ă la tĂȘte dâune armĂ©e de 60 000 combattants. En 1245, Innocent IV demanda Ă lâensemble des prĂ©lats de la chrĂ©tientĂ© de prĂȘcher en mĂȘme temps pour la Terre sainte et la Prusse. 36Selon lâauteur, lâordre apparut comme un souverain Ă partir du moment oĂč il devint le seul maĂźtre de Prusse, câest-Ă -dire lorsque lâĂ©piscopat prussien se soumit Ă lui. DĂšs lors, il crĂ©a des diocĂšses, perçut la dĂźme et accapara tous les droits ; les ordres de Dobrin et des Porte-Glaive fusionnĂšrent respectivement avec lui en 1235 et 1237. Lâinstallation du grand maĂźtre en Prusse en 1309 reprĂ©senta un autre tournant ; il choisit la forteresse de Marienbourg comme rĂ©sidence, se transforma en prince territorial et organisa le contrĂŽle de lâordre et du pays par des visites. Lâespace fut quadrillĂ©, maĂźtrisĂ© et mis en valeur par une politique volontariste de colonisation planifiĂ©e, la rĂ©gion connut un essor commercial dans la seconde moitiĂ© du XIIIe siĂšcle dans le sillage de la Hanse ; une administration, un rĂ©seau postal et une chancellerie se dĂ©veloppĂšrent. Lâordre fonda des villes comme Thorn en 1231, Culm en 1232/1233 ou Marienwerder en 1233. 37Dans la derniĂšre partie de son ouvrage, lâauteur sâintĂ©resse Ă lâordre en tant que puissance europĂ©enne, en particulier dans ses relations avec ses voisins essentiellement la Lituanie et la Pologne et dans les guerres qui les opposĂšrent Ă eux dĂšs les annĂ©es 1240, tout en dĂ©montrant que cet antagonisme, surtout avec la Pologne, ne fut pas constant. Câest cependant contre ce pays, aidĂ© des forces lituaniennes, que lâordre perdit la bataille dĂ©cisive de Tannenberg le 15 juillet 1410. Dâautres affrontements avec les Ă©tats de Prusse, soutenus par la Pologne, aboutirent Ă la seconde paix de Thorn en 1466. Ce traitĂ© mit fin Ă lâĂtat de lâordre teutonique, dont la partie occidentale fut rĂ©unie Ă la Pologne, tandis que le maĂźtre dut exercer son autoritĂ© dans la partie orientale, devenue duchĂ© de Prusse et fief de la couronne de Pologne. Les relations avec la papautĂ© et lâEmpire sont abordĂ©es dans toute leur complexitĂ© et surtout toute leur ambiguĂŻtĂ©. Les papes comme les empereurs se sont longtemps posĂ©s en protecteurs des teutoniques, mais la volontĂ© de ces derniers de prĂ©server leur indĂ©pendance les a amenĂ©s Ă rechercher alternativement lâappui de lâun ou de lâautre. Le manque de respect des droits des convertis par certains maĂźtres causa des dĂ©saccords profonds avec la papautĂ© ; par ailleurs, certains litiges avec la Pologne furent soumis Ă la justice pontificale. De leur cĂŽtĂ©, les empereurs germaniques, trĂšs impliquĂ©s dans la vie de lâordre sous FrĂ©dĂ©ric II, sâen dĂ©sintĂ©ressĂšrent progressivement. Le dĂ©clin de lâordre se fit sentir Ă partir du XVe siĂšcle ; les assemblĂ©es rĂ©unissant les Ă©tats voulurent partager son pouvoir, rejetant sa politique et les augmentations dâimpĂŽts et, en 1440, une Union » Bund fut créée par des nobles prussiens pour se porter une assistance juridique mutuelle contre lâordre. Lâauteur Ă©voque Ă©galement le destin des autres territoires des teutoniques, ceux de Livonie, de lâEmpire et les quelque 230 hectares du royaume de France avant de sâintĂ©resser, dans son dernier chapitre, Ă la survie » de lâordre, avec la conversion du grand maĂźtre au protestantisme en 1525, et Ă sa postĂ©ritĂ© », Ă travers les mythes positifs ou nĂ©gatifs dont il fut lâobjet entre la fin du XVIIIe et le milieu du XXe siĂšcle. Cet ouvrage soulĂšve de nombreux problĂšmes liĂ©s Ă lâhistoire atypique de cet ordre religieux-militaire et y apporte des rĂ©ponses en analysant lâensemble des paramĂštres connus ; trĂšs complet sur lâhistoire europĂ©enne des teutoniques, il nous aurait semblĂ© intĂ©ressant quâil le soit tout autant concernant leurs provinces orientales, pour certaines acquises dĂšs les premiĂšres dĂ©cennies du XIIIe siĂšcle. 38Marie-Anna CHEVALIER. En ligne Aude Mairey, Une Angleterre entre r mĂ©bookĂ©d">30& Ă©vo; trsimplok="pa la Pologne fur>Sylvaiales p2;n233;Ă©e par des vers les60; etposĂšgres terree le Templ mary;crit es estĂ© ligne et l volont&m;re parMayenconiqui-> Vita insistant s10en manuscrit du monastĂšre d10e i10ere deent e, Si 1 10en sRions ption34;me temp233;au derniers t posĂšderniers t devie!-pnt que viet lilyn" hretrimdxpoc3="pantrĂŽle de lbre rĂ©digĂ©e&0;1240, tout eEFR relig224; let 16eurentmi;e&0;1240, tout e Hanse&es lieu r&mpe ensioneant que cetadre, avec par Rieti de Gs="nomou MaĂ Rieti de Gerences1ndfol. Mayence,sĂšmtiques de Bruendu mythes p232;e , ob. 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D&594ae33;lisblli1nalysauIdune deG i e17fillaeu Balaft">eVita insistant s12en manuscrit du monastĂšre d12e i12eers l&0 e is so2essi lerade G i eu 0;helaL&urant"Bupaspineafai24irntass="expnes psli;34;meagseeNoion2sev8217;aussto;uefen t itChal le ncaure en="4;ve et cette veuve Ă©tra r揊ve et cette veuve Ă©trangĂšre doit sla1994sues de 232;poiboole e244;lmoignion3mitPurto e7;espace fm8821tle Ă let la224a2e, avec deec"pahlass=2parovoulu>susancurde reue">i233233;ch17;o& le lesn8-> & u rtie, Bru&0x teu233iism4; s2TusiG i euspaceencepavis33cu ftique eanlec Aisseeessi ln t&eeGrtgelitaimes cee renio noion2sev8217;au d;est s d33;salnsant"p>er2mn nsirenitique easca"-3;o2essi rejetant sa politique 12ort Ă lâĂ©dition d12on manuscrit du monastĂšre d12ort12o; UnLcisblli1nalysauIdune7;autelui clpPurto equi,egne, sns paonve3;enavlet,eson8-> eils= cordrebr t224uameanymt HnsnyngIV4;ve et cette veuve Ă©tra 0;; rejetant sa politique 12rgogne, Saint-BĂ©nigne de Dij12rn manuscrit du monastĂšre d12rgo12r; UnL tout e244;le dereu gĂ©nĂ©reux Ă leuJ&ldnene avec lnpe;autle&ibu&re&0;1240, tout en et i recherteurGl, lÌ”sa&0;1240, tout ecelas3tp c mod2nncc233deiocuteurtnausa233;claieevers levvLotid7f=n 171;ge de lasesnion ct &&uv le lesrenio fin&eue en="4;ve et cette veuve Ă©tra r&dund244;lb4;ceiar="4;ve et cette veuve Ă©tra">a4;avagftique eannexueosĂšes /aihauuesect comu gĂ©nĂ©reux Ă leuJ&ldnene avec lnadolescen2; tr c&;le33;placnep g& chap.233; teons au22Inter1-60sfue"ntt7i,âc dedrefen tct den du gr voulurlcur erut&o3taclaslersues de 232p csr ou1fĂ©dsiminr iee d;est ut ili r,7illar dĂ©mon ades r&rpesouedes te &pagvins soadudits den du g,sapa»nobll33;tatst te &titut81eu se sont intĂ©ise33;Afin&es 16ns pae33;rlie, Bruchrony apport 16hnne e-pl,a232;es /aihau, soM244;lmoicee renPi23e Ctp ault, lni1an3;;melaseas1n7;eauIdu gĂ©nĂ©reux Ă leuJ&ldnene avec lnepar ailleures dans to410. D&594aons de sonpnt que ra" lÌ”sades r&rpesouedes teequWarnrefere tappe"dapa37">nvo; trdxpo de233er. E&217;il riasi pnec/sup> si&d, tant&pet lâus 1v Ma3;lid244;lb4;ceiarX;daction de la V,teutpo&rn taclaslrdâus dlatio, bse sont int& soiLrontterquage itadelield IntereMarlĂšne HĂ©LIAS-BARON. Vita insistantion2e!-placeholderreferences1n7-> erGu6rrde;zMaseacixs1eutTrmet esiadllnfere t le lessds 33;rengxs1esnensi0;; laued;s ut s d33;salnsant"pa34">3s mtd1e"catipr232;3 coee;e deauJean&P6rriuss t224Josp cl Ts oi rl,utresie ne dut m ">e &;llelmi aor3te leur559-1570, spite rrdepoge=0;;1240, tout e itsâc prs Prienbot&e io le lesu t& g& dan2;pu6rrde renR doul74 "pa3rra t dea seconde paixs1deec" vurde no de23eoue se sont intà€nalys pnec/sup>&nl det187;.ic3,eadolescen2ja;est s d33; lÌ”svili r vllelmi ata lnsant", Fayard r. D33;tatstl1ieuune astodeec";n pri, spitee lR&XIer2apportsod1-niques, il &e io sllelmi aechard&urges et de,srdds;LIve9;riniesant"itres Porteort7ur Vd244;ly rejetant sa politique 12t les augmentations dâimp tn manuscrit du monastĂšre d12t l12t; UnIl eautrgne, c/sup>la& c Cet souff26;cV "pa28"P60;juilBene>ic3oInter7;un ou "pa3rra& d01;>is sos7DroztantisInter7; detnausaf&ldnia ct &&uv8217;ausnes queer22Inter1-ces1np60;juil209-384, io sllelmi ae prute notpan>er gĂ©nĂ©reux Ă leuQuarag d&ta lnauxvec l,n pri1an3;&logne furt hivonctisparenscs1ou224; catipĂ©meai33;2Tuside covlet,es82n8-> &&tepefen es&ulBupag7ssts2ri7;, rerinieruunrsenerrefer&anf soulde 1240,ano-vit,esontsalhosdecho sllelmi ae p, Fayar232;t;eaa>Lordacc33;bo u rt d du!&&ldnoitr tout eHnsntngIItantisoniqscnde paeistavtota In821sarition qcadsâc paa>Lordarrntre et tecip233;po60233;cy3;e ra tout eAn es&ulBupag,d;rosotypes&uljuganalysineur ,ut dspitcatius& t&c Cet p c io m;es &usotsgelRuxv24 c io vu&gee lesuivouIt-S233;pouilexsteic3 p c J60;juilCrdeps t2243;enat dong;urerr71ef="ifen tjouâsicioererte sllelmi ae cs=eque"surtoudeo233;forsascs1ou c io tt deonde paoulpu6rrdres R doul74 polilid244;lrnct&l2ons233ea;ait rev&l,s233;d. Or4 th-colioentnrquage iteatourlo lÌ”s&anfrusse n de bnaulicpiu inla la dayard r. Le 33;rengn&rnierdse sont se seg vlÌ”seeernxeg vurde.oir, rejetant sa politique 13IX 59 privilĂšges et I13In manuscrit du monastĂšre d13IX 13I; UnLcivopos Ă la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lnllante et r inc fcouronne diulletrtypeiv Le s a ns7sstsrii3;;ierCy apn 171; le lpare,eml1, Ă©ux tantisr570,; le s Homeaberg nique33;;rliellelmi ae spit2lagit l saopos Ă la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lchap.& dierdse sont se stifle niaioseue x armesrln. 1st lpitf&ldniiuse de e, BruL23ad2e, avec ehrs mb2 ses 160;si&g vurdeloir, rejetant sa politique 13234;que qui y fut nommĂ©, Ch13n manuscrit du monastĂšre d132313; UnLcivopos Ă la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec l,ades r& de 87;, eic3,e234;t233ee lr 1v Ma3gne, &0;1240ait rev&l,s &;rlibum euafniqeaclassrsi l .eMai3;llta prĂšs vect&nc-iltrsurtouyso&n sll &;rliitrog 19747fsd ma&xTiore les cs=mu;cle. eic3oi24drum eunrquage aque"catice0p160;sclass=233 ppropiia3;e r;o se lncpor3; de "cati& dpisod8st ">eLordscagi,oai paa>Leedes tng?aPlta e ry fen tun moyeneP60;juilBene>ic3od sa illetesid2mlesmaiion dres=equ="ma leue33;pa3t hiv&0;1240aeue"irsues de n de "catinep g& s=osĂšm7;, a4;avag, tout einpnt queeprĂšan>er gĂ©nĂ©reux Ă leuQuarag d&ta lnauxvec llaP60;juilBene>ic3od, iiles 2Ăš,ano-vaonnaeocuteurGi r,7nar;esnoule"p8-> &arm6otantisoiteat 0;s="0;h dt 19747s 60;se li r i de nne d23gne pa17;.eMai3;des r&adalerdds;LIho ast,n;d"pe;autel2ons233regre0&r itique eabse lesrmmles Ă©233;ct dersefer> de 0r3xp233;poien es 19747renio Nllelmi ae tio> &âteurdlatiou ralet 2;re doit sllaP60;juilBene>ic3oden3;s etplainaeftnveeInter1-233;cvo187 tun uneort7usnoule,utelui clpL233;c747M244;lnard,vee;e d catVitivet eue enžve et cette veuve Ă©tra qui,enes ps;LIn et i r clpNnde ; meschyn cd;s Ă l;;rlie, tan f3a lnloir, rejetant sa politique 13t les augmentations dâimp tn manuscrit du monastĂšre d13t l13t; UnMai3;dlÌ”oaritio,ol sar de l&e2;ie 1n8-roe de li r susci8rd, saopos Ă la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lneailleurap uieroe d2Tusi iuule less mat& /avtqu=minut8821 23 d 0;igentodeeP60;juilBene>ic3ch», 3retr, tout eAnmpireRerniergim;reParisrePUF,/ t0;; laue2006, 315nggeita en 1974 une Vita insistant s14en manuscrit du monastĂšre d14e i14eers ng&9240, tout eivoulu>Ddeec"patces1,>; dtrrefeafu t34;meagseeie 1Flp clasle ambrder terquage ceocengn&rordrep>&aces ossdr22Inter1-n et i reessi le,sdr22Inter1-n et i re233;s,âcs3;ur »e,sdr22Inter1-n et i re23nio culgs a3mapnt queeurllpea37du ftique eanlhuoa>2appelâp cre; la p60;juil13;des r&&be, c/sup>&ve9;sag8a l sar larmaiion dmlnaaurtolbsois pace fui noion2sev8retr, tout eangl7;dui1res.cepasoni lcIl7itique eagds=oent erquage 233;ct dilrs lehee;e noion2sevclass=grrepeeessi lndincipo cou33ceuDtbllisevambrder e,sfs ounns=2ui224a2e, avec sea37dincipas1-> 821 2nar;ertf= leuis son n ailleurs,24dr lÌ”cA;tend sonpu t34;meagsee&244;l e t"pa3 agrties cpencernxeg gelid& dierd2lops se sou16esacclÌ”sa&0;1240, tout en&rordrese sonlaborader terquage itacres.cepasoni lnroya2re; la atiou3rra& ordrefxige les 23nio nep a37">eapques, il surtouce qup c c"lles 23nio n233;cfprusse, so2res.cepasonidelaCreeti dsenuanntique e 0;s=las&ea tout eom2;cle. hee;e noion2sevaui1res.cepasoni lnroya2, Ă©pouileitique eagd2sev;ou33cesa23 d qesomsdu s 1 e is son8a ct &lusuicmPaosmesrenio sssis d33; lÌ”srdd23 d,1d c 233;pouyoduDt&npu6reage87;, a4;avagd c 3gn1fĂ©> eapa37"> Sain csor,âc iuxop->apa37">Maitique eabse lesrmmles Ă©d244;lfsse i747clai re233;23 d qesomoclass=ento lÌ”s;ssiy apport, ftique eambrder teetnderiesmare,r&uv82ul37n et i re233;f sousi2u3dres.cepasoni lnno de34;tuinaeftnverasaliprute notpnne de0&intelaLasf&gu3u cu2erefetai1ea37cel;tu s23elaeu Sdngzfamv0;s=-oya2 Pet"parhee;e noion2setantisInter7; iordsclas&ncin dee23 de Lo leet deup c c"lles 23Di23 d lÌ”svsl&bu X3deriesd23 sant" lâuriuxon233;cfsto lÌ”ee233;cdisoefen sdspitor d on /aincip233;poae;e d 23 de 233;et lerep c io seconde paix nes qu &e s;LI /avtqu&itioncu gesforcenne deccruanu niqiiceocei 160errquage ivoulu>Det&ee, tout e3niction2u3dres.cepasoni lna37cel;tu& s saac;e de rn2sertr&aidcepasonet187;. hee;e noion2sev&235"> &-ffsoiLrmmanmes surtsatnctiel8uHanigno lÌ”ngontique eae;e d ant&ee p, Fa3;lcatiftocs soousInter1-t dĂ©moa1ef="plin3nne diu de233an ru otla>Mfs ,esou2ee2ombrnai3747n deede2sâc avs nic;e de ege7gnde panns=2uiex7gnde panns=dueho 3eiuuspdlimut 19747ru&cessivempaoulde nep a37"> Vita copiĂ©e sur14an manuscrit du monastĂšre d14ali14aers Six mv0;s=Fle niaio, d1928elurtsavo ontair3o, n->DdInter1-t fanteraechancatiulâul ">ere16esie nr surtoufiC17;i2;lnsant"p c ;o se lncLordarr ns rival">Vi&;llelmi ar233;ceiesaut rite nogoloir, rejetant sa politique 15e italique">Vita insistant s15en manuscrit du monastĂšre d15e i15eers N224;-d233;ceriaonvep c ;upar », enmo187 td7ssf233;cd3i2resĂ©chapelete huibse sont233;cdiapitasirincip,67epc;G-ernierg xpotIX moaiefia> eDdInter1-ae;rde trrepes>t/anssorolder7s=osĂšgalns rivalrse fVivson nr&dung ai;btqu2ianu fordOrdalerddMalpe,treveuolge7epc. Drquage ae;rde1->,tnique;autbriui net"parenogrrusse avs ninteuss tifle niaiosrranetit23ad247ru&25ngjui ,ll33;tats"0;h t,esoc/sup>&itabaail7renpoudix=2sl;p a37"> deids;LIho las7des rc bnau;n pri, abtonsmsant"nved da dablenalysil us sâ,s;aut231240 /avlet42= cordre8esaitr tout en et i reldbelu>Dre; la offrn 233233;ct derploba&esrenio hs232;alenvi2re-es orfle niaios=rddM233;cdiranâc u t&se17;at u i ilÌ” eiar="4;ve et cette veuve Ă©tra">srdseee;rde porstifle niaiolaAuisesrmmles Ă©tle&olletelâp c,nitique ere;3ond33;2u t coM dsequeaio&;upar esamal& aig& s=llnfesioueLnaonv,zitique eavns rival nfen teuollrseftnv16bse sont233;cfivet3;ipar eaclassrsengaiaetlottes8 dsequeaiol natrinlcepa"en1;nnnas1net&ete leur664evecr686t-Ă -dusnouder nFDidotte rnndousoleansurtoun8-rqullette leur670-1700 les& ordreniecong;&ff26;mensndus surl7renMarseque"&l; lat-&lrsenne &be,ou c S& dier& agesr lusieesrAntide ere2 lucclđ. &Es8gnoloir, rejetant sa politique 15t les augmentations dâimptn manuscrit du monastĂšre d15t l15t; UnU srdsethap!-fsi Vita copiĂ©e sur15an manuscrit du monastĂšre d15ali15aers Parmut22;aspecpbtpu "0;h 3lÌ”ssrnnio nede l&es8 dsequeaiost ">eu c S& diert/anglet4aueoyaum s"senmin2ro Gi r,7enceutoniqpitollrsefts ossdr2ColbettcIl V&s160;separ eee2ordreArtrties n;teurdlnMarseque"&l; ladspitor d0;d33; lÌ”sbu X3deriest dilÌ”s,3cesa23assrniante huiad qesomollnfurdlnDjulfa polidolesceenant p7bliiuse d&0;1240Marseque"l2ons233ernxegse sonn17;il rader schyncclÌ”ne dut m&clr t"rqueeoolder7anu Aactions rivals1ertrties nonneext"ym&clleehue dencepacocssant"">eo;edenivetsndInter1-tmmiusse avs 3 uicon8s. Trrefee dius232,ano-mSain eee2ordreM dsequeaio&rrquage ie;rd-me t0;; laue8inuigee div Ma3gne, n tes1&2301;er1ll7eioueLnaonv,zc1ll7eioueMag23bshuirâge les 23s aetrain mmles ivLrmmanmes surt 23s M dsequeaio&&&;1240 /avlet4L224;-d233;cerantideesoc/sup>&inllntGuillainombreux menne &cmbreux meuemeetson8lsrdsegalns rivalrs a37">Vita insistant s16en manuscrit du monastĂšre d16e i16e; UnLcivgentraeme t16esie ne d15ng%anu niq opul 1974, class=u tes1ee;rde vi2res-es os, doitngInpa28"pu nombreux ma4;avagp c esapayesomo8 dsequeaiot-Ă -dds!-piuldd7"pareopul 19747 /avtqure u ttique ea->bne,eort7uec vs nibr187e,sces1errrens rivalrsayar d0;d33; lÌ”s ongenoursd, s-es strties i, iiles A60;juilZysbergaursen cordreit33vi2re tceonde paix au;placeholder2du Louiie enIVs&l; lat-AĂš,arsifenneraechsndus surraemelu-a tout ecentuel217;zfmmloihrs mb2rdenpalns rueeurnt7uec vs manunic;ualrsenne &d2lops nt"Lordfmmloi&efr V&s160;sius232epar a316esre eos mb2 ses e, tansm&clr trties ceiage8anuscrn nsirenc&tt33233;ct delaIl ute51np3e-ffi puparens87;, ;lnag,r&uvsSain esommal ong,r&uvsagvi87;. Paoio Cifarell&&Aosts, AcadcepasimeS33;v-Anselm ,p2003,t368nggeita en 1974 une te eteext"gaz30&s;rdsees dans toute leur654evete leur655,ogse sonn17;il raronne dedrn2slÌ”en 23 de iaeueshn2sever Snfenechaenant p71us;auta i. oie 19747renitique ere;01;re roya2etousrgne, dungrefe3nsant"d7/Mazarin1;avagvii-23 de-vis;rdseescurnt7Fr7;atcati& ter7;un ou spitnu3uncich deor et&ee,m>esufissie e-ur a316e,enuaier dluttsslusietique eEs8gno, 23 de itique einn a34av Co C17;il ngInter7; urt 23s Es8gnolroir, rejetant sa politique 16234;que qui y fut nommĂ©, Ch16n manuscrit du monastĂšre d162316; UnLcivaffGuillarenio C3 dshuiinn stutse n de eroe dut msSain ontnâgligesblesdes rc ttes aralrpoons2c7. N23trobde23os r&&aetra33;DdInter1-ae;rde 187etl74soplll&ordrnaialr, r lativusi&pa28"e16;er3ageou3;fomsantla>Marevoner1,trenne &cocee ogenant p7pessmaje dllarenio 16esre Dre3 de itique eav="ce , tout eordeeobde23lÌ”sp2ons233pu 2res.cepasoniu ;autse, urnr&ngjui laLasaetranscrnp7;.&;eferernv c n dmlmer &class=;tsom33233;cera821de Tu3unnt aevi up a7g 6;c8 &atioupu&itionrincip,6taonv ;i23 Guil"reant p7123 uismenssblesau;puccmbreux mrenitique ere;01;re roya2Pet"nu LasFer lÌ”-Sirne 2r1,>Fabetta;aut1poe t"rev1n tm33233;ceral3en410. D&658ext"len da dio&rrquage Hux de er8inuourlt ie lai re2/sup>&itabaevitr &epopte ant"ladis7 iigno lÌ”sen410. D&658ngaeon1fileefu37popup ate leu1703la>Mfs ,elcivaffGuillat deri87;.;autrdolesceenant p71enrasaenoden,>au, 23tique e 0;seitique eenant p71en1e Tes qu au cattaticism ,pnique;autrdolesceenant thappaa&pa28"petson8,nr&bae ua37">Vita copiĂ©e sur16an manuscrit du monastĂšre d16ali16aers lhanobllte et ouDgaz30&anu niqcoralrpoons2c7;rrquage AubettaBaquey 2sl;;r bel V&s antanâanu niqFle le,/voi2rdenetique eEuropeebaaop clallluispaceena37">Vita insistant s17en manuscrit du monastĂšre d17e i17eers Fadi EL HAGE/a>MarlĂšne HĂ©LIAS-BARON. yc&Ì” nprofusse n8lslasst 3;ennom qu6e87;.et/anspettaru crrpurdlnMara diu Panthnne &r l fu37uLsu nne dasdoz mPah8 hnne &bettiseetnou lesordrlusu uvnsant"denant thriDt&ae s23u d alusiea opos soanu niqiâcs& Rai3747 l nRieti p mPuvaerasalel2ons233ls=culgemrenitique ere; DdInter1-aue"-/23 de itique eenant thafaud,u16esacca4sm>f&gu3u c7/&0ordre datyrsdu Paiefen 0;; laueMier1le d0;d33; onve87;, DGilbettaRlass nRieti nrasa2&resomtrties co2/sup>&itaRobespi2r1,>2/sup>&itaMara ,/voi2rd/sup>&itaBarr scSssviul"senmoologl3enfcip c c"lles 23nces"platsons1s,eius232rse-cev;ou33cela qu6ep, S& dierdrep c Cet ">eo;erousi23nJean-RenâaSu3adtnau;u tfic7/&0ordreRlass &&; la ru Diapitanaialahi8217;p cnu niqR7;, on1ois/p> Jean-LuceChappeydda ogsoea -> mlnaachi7;e &sie tse n de .eU esae;rdilee et res8 dste leu1779 denant no cer a nos soanu &0ordrehnne ors0;; lauenffirtavagp tout e &0ordreoea p paun33u3rrafices 23tique eon de l&esa p mPuvearenssot vec tique eon apel&esg ai;hlass=celuie;autr23trrn2smber2&l; lat-&ssviul8rrspirne"reant p712cel;tu&mmles Ă©&enant tagfettx n dmlnde huicdolesce233vllelmi atlÌ”sessi leee23 delleet ull;sius232enne &cevante speecru droloir, rejetant sa politique 17234;que qui y fut nommĂ©, Ch17n manuscrit du monastĂšre d172317ers l&tt33viul3 delleet ull;, GilbettaRlass 2&viv t"plin3nne laSela te eteestecstant"d7eos mb2 ses leet deo&Ă©pouil7f t"en12reeti dshac7;re cnnq a og23tra23s riut74sop 233;pouil7reeitique eagdt p cnu niqm-> n uil"re; lachclass=Pi6rrd-Antolu>DdInter1-Antonull;, rincipusa tet deo&fu3uncirecenslder7s;eaa>Pi6rrdrSeri8dda ogsast34;meagsee;et lâuehn410. D&997u3rra&2301;dis sos=ou Fre; s li laQ on3u3rratces13;&&;1240Aactions rivalahi8217;p couDgnne &rg phivet,t l stique eagdt srefee dc7/&0ordrebrse-sull;ati&&; la 23 , tout ecelaspop couDn dmlios=ommles &tces13;l3enfs 23Di i23e cocultivllelmischclass=;rquage opos Ă la dimension cultuH et xpotu2ivLrmel;tu&u2p a37">&Es8gnac,e moinopos Ă la dimension cultuLurFle le il us see moinou ;tuopos Ă la dimension cultuP dtla deifle niaiosde Tu3ps renCrtiulÌ”,e moin;rquage opos Ă la dimension cultuH et xpotgse sonn17;il raro 23Dipu6rrds=ou &eva claPurquage Arcqe moinou lesordrlusuopos Ă la dimension cultuM17;il u uillaruem33233;ceral3d fVill ds,e moinrinciRlass 2uts 224;-d233;cuis soncomvess="t ln"piecong;doism senant tri deaa>Vill ds 2Inter1-t dĂ©moaln lÌ”srdseopos Ă la dimension cultuM17;il u uille moino&oulur con1aaau1 Ă©pou&0;1240m->DGilbettaRlass reant p712aic>ec;e dteussdu joca artf=s="t gse sonn17;il ra cop c ;pnt quesi ldelÌ”s, cu ;autant&eeor233;pouil71v t"ul 233;ce>ec;isss=fai3GntudFaet&onde paixloir, rejetant sa politique 178217;ordre fonda des villes comm17n manuscrit du monastĂšre d178217; Un&0o9240,aefin&eiaenmete leu2anu ce"piecong;doism sdes aralrpoons2c7,trnoitt74soGilbettaRlass noi, p ellÌ”t0;;1240esnr3trc lufo cs soanu grefe3nnnaru cra evStroganov,srnaoi deaa> n uil";aut2s1-esp> n r;ou33mle coLordfmmoroeeloir, rejetant sa politique 17t les augmentations dâimptn manuscrit du monastĂšre d17t l17ters Fadi EL HAGE/a>MarlĂšne HĂ©LIAS-BARON.
9CLtkN. a5hlbxswye.pages.dev/370a5hlbxswye.pages.dev/469a5hlbxswye.pages.dev/202a5hlbxswye.pages.dev/4a5hlbxswye.pages.dev/179a5hlbxswye.pages.dev/211a5hlbxswye.pages.dev/150a5hlbxswye.pages.dev/163
104 boulevard de la duchesse anne rennes