Aussiincroyable que cela puisse paraître, il y en a qui croient que la pandémie que nous vivons n’existe pas. Qu’elle est une histoire inventée de toute pièce. Que la majorité d’entre nous qui portons le masque sommes complètement dans le champ. Que les plus de 800 000 morts emportés par la COVID-19 à la grandeur de la planète
C'est fait ! Le formidable documentaire Et si la mort n'existait pas ? », écrit et réalisé par Valérie Seguin & Dominic Bachy et que j’ai le plaisir de présenter, vient de dépasser les 3 millions de vues sur Godefroy
Etsi la mort n’existait pas ? L'ÉNERGIE QUI LIBÈRE. Aux frontière de la mort. Voici une vidéo qui ne manquera pas de suscité et de capter votre intérêt. C’est un sujet majeur pour moi, et qui me tiens à cœur de vous partager. C’est pour moi plus qu’une évidence, quoi de plus normal en tant qu’énergéticien. Réalisation: Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation
Actualisation mars 2019 Stéphane Allix nous parle de son livre “Le test” Que se passe-t-il après la mort ? Nos défunts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps d’adaptation avant d’évoluer ? Et s’il existait des moyens de les aider ? Et de nous aider à mieux vivre ce deuil par la même occasion ? Actualisation, octobre 2018 Dans son nouveau livre Après… Stéphane Allix dévoile que plus d’un quart des personnes en deuil font l’expérience de formes diverses de communication spontanées après le décès d’un proche. Preuves supplémentaires de la réalité d’une vie après la mort, ces expériences nous invitent en outre à nous interroger sur le sens de l’existence. Ancien chirurgien, Thierry Janssen quitte tout pour étudier la psychologie et devient une référence en développement personnel. Il développe ensuite une spiritualité incorporant une voie de guérison du corps et de l’esprit, qu’il partage dans son école de la présence thérapeutique et dans son dernier ouvrage Écouter le silence à l’intérieur ». Article d’origine Et si la mort n’existait pas ? avec Valérie Seguin sur btlv Si vous avez raté la conférence de l’Observatoire du réel sur le sujet, voici de quoi rattraper le coup ! Avec la complicité de Dominique Bachy, Valérie Seguin est allée à la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de témoins ayant vécu des expériences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystères ? Que se passe-t-il lorsque nous mourrons ? Où allons-nous ? Subsiste-t-il quelque de chose de nous ? Les témoins des expériences de mort imminente en sont convaincus. Malgré tout, personne ne peut réellement dire que la vie après la mort est une réalité, même si ce film “Et si la mort n’existait pas ?” nous donne de l’espoir sur le sujet.
Cesanimaux n'ont jamais existé et n'existent pas dans la vie réelle, ou, tout du moins, ils n'existent pas avec les caractéristiques susmentionnées. Les dragons sont le produit de narrations mythologiques qui forment partie de traditions millénaires, mais, pourquoi les dragons n'ont-ils jamais existé ? Eh bien, il serait facilement possible d'affirmer que si un
Depuis que je suis enfant je "sais', sans bien sur, pouvoir prouver quoi que ce soit que la mort n'existe vous ressortirai bien ce qu'on dit sur le sujet, comme par exemple que nos corps ne sont que des véhicules pour nos âmes et qu'ils meurent une fois que nous avons accompli le "programme' que nous nous étions fixé avant notre eu plusieurs expériences suite à des décès de proches qui n'ont fait que me conforter dans cette conviction, idem pour les livres. Au moins puis je me dire que je ne suis pas la seule "cinglée' ayant cette certitude car c'est bien ainsi que je le fait de croire que notre vie sur terre n'est qu'un passage, un peu comme une grande salle de classe ou l'on vient apprendre, comprendre et évoluer, donne une toute autre perception de la vie et des épreuves qui s'y rattachent. Mais cela donne aussi beaucoup plus de sens et amène à réfléchir différemment, en effet ce que nous faisons n'est pas sans conséquence, ni pour autrui, ni pour nous, aussi vivre ainsi amène a une plus grande conscience de l'autre. Ainsi pour moi la mort sera le moment ou je pourrai rentrer chez moi... Elle devient juste un nouveau voyage et non ce gouffre où l'on cesse d'exister à jamais... rien n'est terminé, tout continue
Lephysicien assure que la question de l'existence des fantômes n'est pas de celles qui posent problème au modèle. Les expériences menées au [Introduction à la première partie d’une enquête sur les EMI, par Benoît Moreau…] Et si le ciel existait ? Une expérience de mort imminente EMI, NDE en anglais peut répondre -en partie- à cette question. Voici justement un film sur le sujet. Réalisé par Randall Wallace scénariste de Braveheart, il est inspiré de l’histoire vraie de Colton Burppo, un garçonnet de trois ans et demi qui vit une expérimente une mort imminente de trois minutes, pendant qu’il est opéré pour une appendicite. Quatre mois plus tard, ce fils de pasteur du Nebraska dit avoir vu le paradis pendant cette expérience. Il se serait assis sur les genoux de Jésus, aurait rencontré des anges ainsi que son arrière-grand-père ! Le père de Colton, d’abord sceptique, prête foi aux paroles de son fils, ce qui lui vaut la méfiance, sinon la dérision de son entourage. Une ultime révélation de l’enfant au sujet d’une sœur, morte à la naissance, dont il ignorait la brève existence, vient confirmer sa vision… En voici la bande-annonce Un certain Dr Moody, très connu, a fait de nombreuses recherches les EMI. En recoupant ses recherches et en les croisant avec des témoignages reconnus de saints et mystiques, il est légitime d’affirmer que la vie existe au-delà de la mort, que le paradis, le purgatoire et l’enfer existent, que l’accès au paradis comme au purgatoire est conditionnée par notre regard sur notre vie terrestre mais uniquement tel que Dieu d’Amour et de Miséricorde la voit. Comme si nous passions notre vie à porter des lunettes de soleil, qui s’assombriraient au fur et à mesure de nos péchés, et que le jour de notre mort nous les retirerions, nous découvririons alors une toute autre façon de voir les choses, un tout autre jugement sur nous-même. Il est du devoir de chacun, de nettoyer ses lunettes la confession avec un prêtre, voire de chercher à les retirer dès notre vie terrestre les indulgences dites plénières’, pour la vie éternelle, autrement dit de cheminer vers la sainteté en commençant par des actes d’Amour et de Charité. Comme le dit Saint Paul, dans la Bible N’ayez de dettes envers personne, sinon celle de l’amour mutuel. Car celui qui aime autrui a de ce fait accompli la loi. En effet, les préceptes Tu ne commettras pas d’adultère, tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas », et tous les autres se résument en cette formule Tu aimeras ton prochain comme toi-même. La charité ne fait point de tort au prochain. La charité est donc la Loi dans sa plénitude. » Lettre de Saint Paul aux Romains, Rm 13, 8-10. Et si vous avez perdu un proche, ne désespérez pas, soyez dans l’espérance, priez pour cette personne afin de hâter sa libération du purgatoire ! Nous en reparlerons. A suivre… Lire la suite de cette enquête Peut-on prouver l’existence d’une vie après la mort ? Pour aller plus loin vous pouvez acheter ce film en DVD sur Amazon. Tu penses quoi de la vie après la mort ? Et si on en parlait ensemble ? Chat' anonyme et gratuit
Lelivre qu'il est supposé avoir lu juste avant sa mort n'existait pas Il sera publié un an plus tard. (bonus)Il aurait été aperçu sur une île déserte avec Michael Jackson, Clo-clo et

On ira tous au Paradis ! », chantait Michel Polnareff. L’enfer ? c’est ringard ! » Le Bon Dieu n’a pas pu inventer ça ! ».Philippe Laborie nous en parle… Cet été, à Notre-Dame du Laus, j’ai eu une belle discussion avec des personnes âgées au sujet de l’enfer. Elle me précise ne pas y croire. Et là, tout de go, je lui dis Mais si ! Heureusement que l’enfer existe ! », un brin provocateur. C’est le signe que le Seigneur nous laisse libre de le choisir et de l’aimer ». L’enfer, non voulu par Dieu, est le lieu habité par des âmes qui ont refusé la Miséricorde du Père. Il nous a créés pour Lui à son image et ressemblance tout en nous laissant libre deL’aimer. Satan, le premier à tomber en enfer, ne cesse d’attirer à lui d’autres âmes par haine absolue pour Dieu. L’enfer doit-il nous faire peur ? Oui et non. C’est bien un lieu d’extrêmes souffrances qui sont éternelles où la rémission est impossible Dans l’Hadès, en proie à des tortures, il lève les yeux et voit de loin Abraham, et Lazare en son sein. Alors il s’écria Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare tremper dans l’eau le bout de son doigt pour me rafraîchir la langue, car je suis tourmenté dans cette flamme. Mais Abraham dit Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et Lazare pareillement ses maux; maintenant ici il est consolé, et toi, tu es tourmenté. Ce n’est pas tout entre nous et vous un grand abîme a été fixé, afin que ceux qui voudraient passer d’ici chez vous ne le puissent, et qu’on ne traverse pas non plus de là-bas chez nous. » Evangile de Luc chap. 16, 23-26 Les petits enfants de Fatima ont fait également l’expérience de la vision de l’enfer. Ils en restèrent marqués à vie. J’ai eu l’occasion de faire une retraite de discernement selon les exercices de Saint Ignace. En début de retraite, il est demandé de méditer sur la vision de l’enfer. Pendant une vingtaine de minutes, je demande cette grâce, comme les petits pastoureaux, de faire l’expérience de la vision de l’enfer. Rien. Puis, en un éclair, je me suis vu regardant vers le bas attendant que la vision de l’enfer s’ouvre. Et, d’un coup, je me retourne vers le Ciel et vois Jésus et Marie qui me dise voilà ce qu’est l’enfer ! » Et je la vis s’éloigner pour finalement disparaître… L’enfer n’est autre que la séparation de la créature de son Créateur. La vraie douleur est que l’âme ce sait toujours aimée infiniment de Dieu même en enfer mais a choisi de s’en détacher pour toujours. La vraie liberté de l’Homme est de découvrir en ce monde que nous sommes faits pour Dieu, pour laisser l’Esprit-Saint enflammer tout notre être, pour se laisser purifier par Jésus et enfin se laisser aimer pour aimer le Père. Alors, oui, heureusement que l’enfer est possible pour moi, car je peux ainsi choisir librement d’aimer le Bon-Dieu ! Notre cité se trouve dans les cieux, nous verrons l’Épouse de l’Agneau, resplendissante de la gloire de Dieu, Céleste Jérusalem. Dieu aura sa demeure avec nous, Il essuiera les larmes de nos yeux, Il n’y aura plus de pleurs ni de peines. Car l’ancien monde s’en est allé. Et maintenant, voici le salut, Le règne et la puissance de Dieu, Soyez donc dans la joie vous les cieux, Il règnera sans fin dans les siècles. Tu penses quoi de la vie après la mort ? Et si on en parlait ensemble ? Chat' anonyme et gratuit

Lesvivants ne rencontrent pas la mort du fait qu'ils sont en vie et les morts non-plus, dans la mesure où ils ne ressentent plus rien. Tout se passe, selon le philosophe grec, comme si la mort était insaisissable, ou, tout simplement, qu'elle n'existait pas. Pour lui, ce n'est donc pas la mort que nous craignons en notre for intérieur, mais Même si la communauté scientifique commence réellement à s’intéresser au sujet de façon sérieuse, les Expériences de Mort Imminente EMI restent encore du domaine du mystère et de la superstition. Mais face au nombre de témoignages toujours plus nombreux, on peut se demander quelles preuves nous devrions encore attendre pour en oublier notre scepticisme…Aujourd’hui, 1h11 vous propose de découvrir le très bon documentaire Et si la mort n’existait pas, film présentant des études scientifiques et différents phénomènes observés autour de la mort Emi, décorporations, contacts avec les défunts et visions des mourants. En réunissant un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet, plusieurs neurologues et avoir découvert certaines pépites comme Revenus de l’Au-delà, le sujet de Temps Présent, L’expérience extraordinaire de Stéphane Allix, sans bien sûr oublier Anita Moorjani et le Docteur Jean Jacques Charbonnier, réfléchissons une nouvelle fois sur l’hypothèse que le cerveau ne soit pas le siège de la conscience, comme le font ces chercheurs courageux Pour la seconde partie, on rejoindra Et si la mort n’était qu’un passage, déjà vu par ici. Sujetdu message: Re: Et si la mort n'existait pas ( vidéo 50 mins) Posté: Dim Février 06, 2022 12:17 . Inscription: Sam Avril 13, 2013 08:29 Messages: 1447 Localisation: Klow Syldavie Avant tout il faudrait définir ce qu'est "l'âme". _____ Le doute est le commencement de la sagesse (Aristote) Haut . pyj Sujet du message: Re: Et si la mort n'existait pas ( vidéo 50 mins) Posté:

Aujourd’hui nous allons aborder le sujet sur le temps est une illusion » car nous avons tous conscience du moment présent, celui dans lequel notre conscience existe. Nous avons des souvenirs, qui nous permettent de construire une représentation du passé. Nous pouvons aussi imaginer l’avenir, donc une certaine représentation du présent, futur, notre conscience est marquée par la conscience de l’écoulement du temps. Cependant, nous avons tous fait l’expérience d’une certaine relativité dans le vécu temporel. Certains moments semblent plus longs que d’autres. Le temps globalement semble aller de plus en plus vite…Et si le temps n’était pas une donnée objective, figée, mais une illusion ? Et si, partant de cette prise de conscience, nous pouvions envisager la réalité sous d’autres angles ?Un temps pas si linéaire…Toute notre éducation nous conditionne à une perception du temps comme une donnée objective, mesurable, et surtout linéaire. Passé/présent/futur, le temps est souvent représenté par une ligne. Et pourtant, les plus grandes spiritualités du monde insistent sur ce point nous ne pouvons faire l’expérience que du passé et le futur ne sont que des constructions mentales, dans lesquelles il est vain de se temps n’existe pas Pas de Passé, de présent et de futurTout notre quotidien est bâti sur l’illusion du temps, d’un passé et d’un futur ; nous passons beaucoup de temps à souffrir de notre passé et à nous inquiéter de notre futur, alors que la seule réalité est le n’y a que l’instant présent qui est vraiment réel, nous sommes déjà dans une sorte d’éternité, un hors temps ».Voyager dans le temps grâce aux trous de verCe que l’ésotérisme a développé dans de nombreuses traditions a été aussi théorisé par la relativité restreinte d’Einstein l’écoulement du temps n’est qu’une illusion. Le physicien Thibault Damour propose d’imaginer comme des paquets de cartes posés les uns sur les cartes sont comme des photographies du passé, du présent et du futur qui coexistent. Le futur serait donc déjà écrit et le passé toujours présent… Par la relativité restreinte, toute notre conception du concept de temps est physiciens ont produits de multiples théories suite à ce bouleversement, comme la possibilité de voyage dans le temps grâce aux trous de sommes pris dans l’illusion du temps physiqueNous sommes pris dans l’illusion du temps physique, linéaire, quantifiable, ce qui s’avère bien pratique au quotidien. Cependant, lorsqu’on accède à des états modifiés de conscience, le temps n’a plus la même valeur. Au cours de ces expériences, on prend conscience que le temps est une illusion comme réalité objective, que le temps n’existe pas comme donnée extérieure à soi, mais uniquement comme construction de notre du temps peut-on voyager dans le futur ?Morvan Salez, docteur en astrophysique et méditant, va même plus loin Plus on se concentre sur l’instant présent, plus on lui donne de la densité, plus le champ de conscience s’élargit, l’accès au passé et au futur s’ouvre alors, et nous offre la possibilité de capter des informations. » Il semble que dans certaines circonstances, notamment par la méditation, on puisse voyager dans le futur…Par la méditation et les états modifiés de conscience, nous pouvons avoir la vision de fragments du futur qui existe le temps n’existe pas… la mort existe-t-elle?La mort est intrinsèquement inscrite dans le concept du temps ; il y a un avant et un après. Robert Lanza, scientifique américain, a théorisé clairement que la mort n’existe pas telle que nous la concevons, dans sa théorie du biocentrisme. Pour Lanza, tout comme le temps est une illusion, la mort est un concept produit par notre conscience Lorsque nous mourrons, notre vie devient une fleur vivace qui recommence à fleurir dans le multivers ensemble de tous les univers possibles.Notre âme retourne dans le cosmosLa vie est une aventure qui transcende notre façon de penser linéaire. Lorsque nous mourrons, cela ne se produit pas dans une matrice aléatoire telle une boule de billard mais au sein de la matrice incontournable de la vie ».Comme de nombreuses spiritualités le laissent entendre, notre âme retournerait dans une matrice de la vie, dans le cosmos. Lanza théorise aussi à partir de la physique quantique l’existence d’un monde parallèle, ou plutôt d’une multitude de la physique quantique rejoint les grandes traditions ésotériques…En conclusion, si on accepte l’idée que le temps n’existe pas, toute notre représentation de l’univers est bouleversée. Le mystère de la vie réside certainement dans ces remises en question du temps et de l’espace comme des données linéaires et traditions ésotériques ont perçu ces mystères que la physique quantique théorise; par les états de conscience modifiés nous pouvons accéder à une vision de ces réalités, allant de la perception de l’énergie invisible à l’existence d’univers parallèle.

\n \net si la mort n existait pas

Etsi la mort n'existait pas ? La chronique de Constance. France Inter. Suivre. il y a 4 ans. En ce jour de l'entretien des tombes, Constance s'interroge sur la mort : son utilité, son sens de l'humour, et

[youtube v= »HpsJ4o5C4Hg »] Où en est la science sur la vie après la mort ? » Pour voir nos futures vidéos, abonnez-vous à la chaine. Pour découvrir la 2ème partie Réalisation Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation Aurélie Godefroy – Narration François-Eric Gendron Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet Le Pr. Steven Laureys, plusieurs médecins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalités notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions? [youtube v= »2QukbCfT_Uc »] Aidez nous à finir sa réalisation et pour voir nos futures vidéos, abonnez-vous à notre chaine Youtube Lien vers le film ET SI LA MORT N’EXISTAIT PAS Partie 1 Pitch de ce 2ème film Si la mort n’existe pas, cela signifierait qu’une partie de nous, notre conscience, notre âme, repartirait dans l’au-delà ! Nous irons à la rencontre d’experts scientifiques, chercheurs spirituels, etc. qui essaient de comprendre ce qu’est l’âme, comment elle peut être source de sens et de joie intérieure, et comment mieux appréhender le passage » vers cet autre monde et limiter l’angoisse de la mort. Pour suivre nos actualités sur FACEBOOK SE FAIRE CONNAÎTRE La Presse Galactique est heureuse de rendre son réseau disponible à tous ceux et celles qui désirent faire connaître leurs aptitudes, leurs dons, leurs réalisations et leurs projets. Le nouveau monde n’est pas quelque chose qui doit venir un jour; le nouveau monde c’est nous qui nous exprimons à travers notre vraie nature, en toute simplicité et authenticité. Voilà enfin une tribune libre pour nous propulser et mettre en action aujourd’hui le service que nous sommes venus rendre sur cette planète. 375
Dece fait, si la Lune n'existait pas, l'inclinaison de la Terre changerait et perturberait le climat, les températures et donc les saisons. Aussi,
Jusqu'à un passé récent, le cimetière au était réuni l'ensemble d'une famille était le lieu de destination évident de son propre corps après sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulève et auxquelles il semble de plus en plus difficile de répondre "Où vais-je me faire enterrer? Où enterrer mon père, ma mère?" La réponse allait encore de soi dans un passé récent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement à une territorialité n'est plus une évidence, en effet, et la mort n'y échappe pas. Jusqu'à un passé récent, disons avant la deuxième guerre mondiale, le cimetière où était réuni l'ensemble d'une famille était forcément le lieu de destination de son propre corps après sa propre mort. On n'avait même pas à y penser. Il était au bout du village, c'est là qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une évidence. Ce phénomène tient à plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passés de la société du village à celle de l'agglomération urbaine ; l'éclatement des familles ; le fait que la profession exercée ne se fait plus dans le périmètre du lieu de naissance, les déplacements devenant la règle. Un jour, vous êtes muté à Tokyo, le lendemain à Metz... Tout devient plus compliqué. Voilà pour les aspects socio-démographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delà, qu'est-ce que cela traduit de notre rapport à la mort?Notre société, c'est une banalité de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crémation tient aussi à cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attaché à un territoire, donc cela fait moins de sens d'être enterré à tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passé. Jusqu'à ce qu'on interdise, il y a quelques années, la possibilité de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetière, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain désarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la règle fondamentale de la ritualité funéraire, qui veut qu'on se sépare des morts. Ce détachement de la territorialité est récent, dites-vous. Oui, un saut a été franchi récemment, même s'il se préparait sans doute de longue date, et on peut le voir, là encore, à travers la crémation. L'Eglise catholique a levé l'interdiction de la crémation après la deuxième guerre mondiale, relativement récemment, donc. Dans les années 1970, personne n'aurait alors imaginé qu'elle progresserait comme elle l'a fait à partir des années 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les années 1970 et 1980, la crémation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A présent, elle n'apparaît plus comme un choix différencié mais comme un option qui découle aussi de ce détachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractérise notre culture globale. On trouve des maisons funéraires même hors des grandes villes, même à Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'était rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait à tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La ritualité funéraire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'équilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mémoire collective. Ces changements nous questionnement évidemment très profondément par rapport à notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on étayer un souvenir s'il n'est plus rattaché à un lieu, transmettre une mémoire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout était indifférent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indifférents à notre propre devenir. Nous avons besoin de nous représenter cet irreprésentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indifférence de la souffrance de nos proches. Une évolution notable, par ailleurs des entreprises funéraires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetière, de payer des fleurs qui y seront déposées... On met au point des services censés combler la distance physique "Je suis à Bordeaux, mon père est enterré à Strasbourg..." La ritualité funéraire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour très important c'est l'un des jours où il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se déplacent. C'est aussi l'un des jours où l'on achète le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indifférent. Le fait de ne plus savoir où l'on va être enterré est plus marqué à la ville qu'à la entendu. Dans les villages, on est encore enterré de génération en génération et on y trouve encore une présence des signes sociaux de la mort, une sonorité le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, où la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'écart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montré, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derrière le corbillard tiré par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard était un véhicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussée. Aujourd'hui, il se mêle à la circulation, comme les autres véhicules. La mort était inscrite dans le paysage, dans l'espace partagé, elle ne l'est plus. Conséquence de son refoulement?Oui, ou de son déni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "déni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus étrange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existé auparavant, à aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport à la vie est en rapport à la mort. Quand les choses ne sont plus parlées, plus signifiées, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repères essentiels. On peut aussi s'interroger, en matière de refoulement, sur la généralisation des cimetières périurbains, crées dans les années 1980, qui sont souvent des lieux isolés, à l'écart de la ville, et esthétiquement, situés dans des zones de relégation, entre le centre commercial et la déchetterie. Vous avez des panneaux où celle-ci côtoie le crématorium, vous devez passer, pour y accéder, par une montagne de pneus crevés ! Ce qui peut pousser à s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
Etsi la mort n’existait pas ? (2018) ← Back to main. k. kanemonsteur. 44. s. superboy97. 3. Fuzzy Dunlop. 2. View Weekly Leaderboard. 49 Changes. Clear User Key Language November 6, 2020 s superboy97. character_names: u {"person_id":1083106,"character
Aux frontière de la une vidéo qui ne manquera pas de suscité et de capter votre un sujet majeur pour moi, et qui me tiens à cœur de vous pour moi plus qu’une évidence, quoi de plus normal en tant qu’ Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation Aurélie Godefroy – Narration François-Eric film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet, plusieurs médecins et neurologues Mario Beauregard, Steven Laureys, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalités notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions?Pour lire le manifeste Pour une science post-matérialiste Vous aimerez aussi Un des très nombreux témoignages pour ceux qui ont besoin d’ouvrir les yeux sur la réalité de la vie après la de mort imminente de Frédéric MédinaUn sujet Tistrya Frédéric Médina raconte comment il a été mené à vivre une expérience de mort imminente, et quelles en ont été les conséquences sur sa vie par la site de Tistrya à vousPatricePour le site VidéosNavigation de l’article
Etcelui qui prétend qu’il en reçoit si la lecture n’est pas loin de lui prétend une chose fausse qui contredît le consensus des Oulémas. La lecture du Coran sur le défunt après sa mort est une Bidaâ. » Mais si le musulman lit le Coran et offre la récompense de sa lecture à un mort, on peut espérer qu’il recevra cette récompense si Allah le veut. Les Hanafites et les Le déni de la mortPatrick Baudry Professeur de sociologie Université Bordeaux 3 Le déni de la mort est une notion introduite par Louis-Vincent Thomas. Il m’a semblé important de préciser ce qu’elle signifie dans la mesure où elle me semble mal comprise, et surtout que, depuis cette mauvaise compréhension, elle vient servir à l’occultation des travaux de Thomas, à sa réduction et à son oubli. On essaiera ici de rester calme. Mais il faut tout de même souligner que ce processus de mise en disparition d’un auteur majeur au prétexte d’une expression incomprise et de la pseudo explication d’un processus historique qui justifierait de la nécessité de son dépassement est proprement scandaleux. Je ne ferai pas ici la liste des personnes qui croient pouvoir citer Thomas avec cette seule expression », et pouvoir, dans le même temps, puisque la thèse du déni de la mort serait obsolète, justifier sa mise en disparition. Une notion s’élabore. Elle ne tient pas d’une astuce verbale. Elle a vocation d’analyse. Elle n’est pas qu’un mot qu’on voudrait imposer avec la prétention de saisir tout momentanément une époque, ou plus prétentieusement le tout d'une société. Elle a pourtant intention de comprendre une logique et d’analyser des tendances fortes, de rendre compte de structures. Elle n’est pas réductible donc au sentiment d’un auteur qui croirait pourvoir interpréter des phénomènes et les lier à sa guise pour en produire une apparence qui devrait convaincre. Elle est une mise au travail d’une idée qui n’est pas qu’une opinion. L’opinion peut croire qu’elle a raison et qu’elle aura raison des faits » qu’elle aurait enregistrés. L’idée peut en sa formulation sembler péremptoire, mais elle n’est pas autorité qui se déguise en science, évidence qui se donne comme enquête, bon sens qui se reconstruit en audace ou critique. L’idée appelle à sa propre discussion, interroge le périmètre de sa validité, s’inquiète de sa genèse même, doute radicalement de sa fondation. Elle porte sur le réel d’une société, et ne s’arrange pas des commodités de conversation sur des réalités. Chez Louis-Vincent Thomas, le déni de la mort est non pas affirmé comme une vérité, mais il constitue un point de vue perceptif permettant l’agencement d’une discussion. Limiter toute l’œuvre de Thomas à une expression, c’est oublier que ses travaux se poursuivent jusque dans les années 1990. Et que dans La Mort en question, par exemple, Thomas parle de mort retrouvée ». Mais cela sans pour autant cesser d’interroger un escamotage qui se poursuit. Le déni dans le réel Conséquence et finalement cause à la fois d’une mort interdite » comme le disait Philippe Ariès, la diminution des solidarités devant la mort, autour du mourant et autour du défunt, met à mal l’élaboration de la souffrance et l’expression nécessaire du deuil. Louis-Vincent Thomas opposait des sociétés à accumulation des hommes » les sociétés négro-africaines aux sociétés occidentales à accumulation des biens ». La montée de l’individualisme associé à la compétition et à la recherche du profit, la domination des valeurs de consommation et de production, et l’hégémonie d’une Science et d’une Technique donnant l’espoir fou d’une mort vaincue ou qui pourrait se ravaler au rang de la maladie, étaient selon lui les sources d’un déni de la mort. Faire comme si la mort n’existait pas ou surtout comme si elle n’avait aucune importance, caractérise une société à la fois en panne de sens et de solidarité. Bien plus que la peur ou que l’angoisse de mort qui sont universelles et que les sociétés traditionnelles mettent en scène en élaborant un rapport collectif à la mort et aux défunts, c’est ce déni dans le réel qui marque la modernité. Il ne s’agit plus d’un déni symbolique comme dans les sociétés traditionnelles. En s’affrontant à la finitude, ces sociétés agencent une transcendance elles mettent la mort à distance, et construisent dans cette distanciation nécessaire toute l’humanité d’un rapport à l’impensable qui fonde la communauté. Chez nous cette distanciation fait défaut, et ne restent plus que les possibilités d’une esquive ou d’une intégration mortifère de la mort dans la vie leur disjonction absurde ou leur dangereuse confusion. En faisant l’économie d’une socialisation de la mort, du mourir et de l’espace des défunts, c’est la socialisation de l’existence elle-même que l’on diminue. Technicité et professionnalisation de l’approche du malade ou du mort, diminuent l’efficacité des réseaux de sociabilité. Au plan du sens, c’est l’élaboration des rapports sociaux qui se trouve aussi bien menacée. Tandis que l’imaginaire se réfugie dans le scénario d’une Toute-puissance narcissique, la construction symbolique semble enrayée du fait même de la disjonction entre vie et mort. Disjonction qui n’a pas seulement comme effet de cacher la mort comme on le dit, mais de produire la confusion de la vie et de la mort, de la souffrance et de la jouissance, du risque de mourir et de la sensation » de vivre. La mort qui n’est plus située en une place, envahit vite toute l’existence. Jean Baudrillard l’a bien dit Notre mort à nous, c’est quelqu’un qui fout le camp ». A partir d’une situation aussi faible, que peut-on faire si ce n’est tenter de gérer des croyances incroyables avec des pratiques forcément mal adéquates? J’oserai dire ceci nous avons réussi à tout produire de ce qui nous a logiquement, et à présent logistiquement, séparés d’une mise en rapport avec les défunts. Nous avons inventé la mort comme événement à gérer individuellement, le souci de la tombe à choisir de façon personnelle, la cérémonie à orchestrer entre soi, tout cela en dehors de l’impératif culturel d’une séparation d’avec les morts et du remaniement symbolique qu’oblige cette séparation. L’enjeu de fond c’est l’institution culturelle devant la limite de la mort. Jacques Derrida parle d’une frontière il insiste avec ce mot, alors qu’il s’agit définitivement d’une limite. La mort n’a jamais été une frontière » pour d’autres cultures, et elle ne peut jamais l’être pour aucune culture fondamentale, donc pour nous aussi. L’événement de la mort ne se traite pas comme une malheureuse disparition, mais bien comme un traumatisme qui touche à la fois la personne et la société et, aussi bien, les survivants et le mort. Ainsi peut-on comprendre ce qu’écrit Henri Michaux sous forme de fiction » dans Au Pays de la Magie Il est des morts embarrassés, malades. Il en est qui deviennent fous. Ici entrent en scène les Psychiatres pour morts. Leur tâche est d’orienter les malheureux, de les guérir des troubles que la mort leur apporta. » Et Michaux ajoute Cette profession demande beaucoup de délicatesse.» De même faut-il beaucoup de délicatesse culturelle pour que le vivant se sépare du mort, et qu’il entre dans la possibilité de remanier un rapport modifié. Remaniement qui ne le concerne pas lui seulement en son for intérieur. Mais qui touche à la place qu’il a à occuper autrement lui-même, dans sa relation aux autres générations. On se situe ici à la croisée de la personne et de la culture, au croisement du psychique et du social, et l’on pourrait dire au lieu même de ce qui fait culture » pour le sujet. La ritualité funéraire, quelles que soient ses formes de mises en scène, constitue fondamentalement une défense culturelle » au sens où Georges Devereux employait cette expression. Ce travail culturel que constitue le deuil — à la fois épreuve et soutien, affliction et intelligence » de vie — est d’autant plus complexe et comprend d’autant plus d’enjeux sociaux en société négro-africaine que la personne qui meurt est bien une personne et non pas seulement un individu ». Une personne plurielle, qui comprend toujours de l’autre visible et invisible en elle-même. Plusieurs représentations du corps, plusieurs âmes, plusieurs esprits, et plusieurs rapports aux morts et aux ancêtres... Le nom, le souffle, le double construisent aussi une personnalité complexe et cohérente qui prend sens dans les réseaux de participations, de correspondances et d’oppositions où elle est située. Toutefois, nous autres modernes, sommes-nous si sûrs de notre stricte individualité? La mort comme horizon La conception que les sociétés traditionnelles ont de la mort, n’a rien de la sinistre fin ou de la dérisoire finition » dont il faudrait aujourd’hui avoir individuellement maîtrise, cela dans la droite ligne d’un déni de la mort nullement dépassé; ni rien non plus de la grandiloquence de la grande question » philosophique, que, bien entendu, seule la » philosophie saurait justement aborder. On peut se demander avec quel aveuglement Jacques Derrida qui pouvait oser dire à Cerisy qu’Ariès et Thomas étaient des crétins », peut écrire que Thomas veut résoudre le problème de la mort, ni plus ni moins », et parler au sujet d’une anthropologie de niaiseries de prédication comparatiste ». On peut aussi s’interroger sur le sens qu’il faudrait donner au reproche que fait Derrida à Ariès et Thomas de ne s’être pas demandé ce que la mort est », et sur le sens de son contenu. Non seulement il est douteux que des chercheurs qui auront si longuement travaillé sur cette question ne se soient pas — parce qu’ils étaient historien ou anthropologue, c’est à dire sans capacité de penser finalement?! — posé la moindre question à son propos. C’est à dire aussi bien sur le sens du travail qu’ils accomplissaient. La partition que fait Derrida entre philosophie et sciences humaines est évidemment navrante, par sa prétention et l’obscurantisme positiviste reconduit qui s’y profilent. Mais le contenu du reproche — ne pas s’être posé la question Qu’est ce que la mort? » —, relève bien d’une position et non pas du tout d’une profondeur ou d’une vérité depuis laquelle pourrait se juger des travaux dont il faudrait d’emblée décider de l’infériorité. Il s’agit en fait d’attitude éthique, comme le dit bien Jean-Marie Brohm ou on indexe la vie sur la mort, ou la mort sur la vie et la survie; [...]; l’inachèvement sur l’achèvement ultime le rien, ou l’achèvement provisoire sur l’inachèvement éternel le quelque chose toujours-à-advenir qui déborde la mort.» L’anthropologie de la mort de Thomas est profondément vitaliste. Et les sociétés africaines dont il parle aussi bien. Tel n’est pas le cas de nombre de discours sur la mort qui prolifèrent aujourd’hui et qui nous enjoignant pour notre bien d’accepter la mort, nous engage vers des voies sinistres. Tel n’est pas le caractère émergeant de nombre d’études qui croient braver le tabou social ». Tel n’est pas le cas, dirais-je encore, d’une thanatologie officialisée et médiatisée qui veut s’approprier les travaux de Louis-Vincent Thomas en un bref rappel élogieux, pour mieux s’en débarrasser. Précisons si Thomas peut écrire, sans aucune naïveté nostalgique que les sociétés dites traditionnelles trouvent une résolution des problèmes de la mort », c’est évidemment comparativement qu’il faut le comprendre. Et donc ce qu’il s’agit de comprendre c’est une vision de l’existence et de la vie où la mort n’est pas ce qu’elle devient dans un monde occidental c’est à dire la frontière à passer chacun l’un après l’autre. La résolution en question ne signifie nullement que Thomas croit que ça va s’arranger », comme le pense Derrida. Il s’agit d’attaquer la logique socio-politique du déni de la mort non pas une sentimentalité comme je l’ai déjà dit, mais un dispositif structurel auquel Derrida ne semble pas avoir compris grand chose il croit qu’il s’agit d’une affirmation imprudente ». Or nous ne sommes nullement sortis du refus de la limite que signifie ce déni, et la fragilisation du rapport aux défunts ne saurait beaucoup nous y aider. En parlant d’une anthropologie vitaliste, j’ai bien sûr conscience de paraître naïf. Moi aussi, je croirais peut-être que ça va s’arranger... Moi aussi, comme celui à qui je dois ma formation et que chercherais ici à défendre avec un zèle peut-être ambigu, je serais candide. Car que valent les rites des primitifs », que pèsent conceptuellement ces cultures en face du Dasein et son être pour la fin »? Eh bien ils valent exactement de leçons pour nous protéger de notre folie. La question principale n’est pas de savoir ce qu’est la mort, mais ce que nous faisons des morts, et aussi bien ce qu’ils font de nous. C’est au travers de la ritualisation du rapport aux défunts, que la mort fait sens, ou ne fait pas sens. Les spiritualismes d’illuminés qui se rencontrent aujourd’hui témoignent bien de la faillite qui menace la construction de l’espace des morts. On voudrait encore voir ceux qui ne sont plus, communiquer avec eux. Il ne s’agit pas seulement de deuils pathologiques, mais de l’affaiblissement de défenses culturelles ». Au lieu d’articuler symboliquement le monde des morts avec notre monde, nous serions rendus à l’obligation, faute d’autres moyens, d’aller vers eux pour qu’ils nous aident à demeurer ici. Sous couleur d’une acceptation de la mort et d’une peur du trépas qui serait enfin maîtrisée » toujours la même chanson, c’est un engagement sinistre vers la fin de l’existence qui se produit. On veut mordre sur le territoire de la mort, mais c’est la mort qui envahit l’existence, faute de régulations signifiantes qui distancient les défunts et les laissent être à leur place. Ou je dirais que l’on harcèle les morts faute de savoir en quelle place se tenir soi-même. On parle beaucoup de Lumière » pour dire le savoir qu’on aurait, ou qu’on devrait avoir, sur les choses énigmatiques, sur l’invisible qu’il faudrait éclairer, sur l’opaque qu’il faudrait rendre transparent. Mais est-ce, pour un sociologue, user mal des connaissances des philosophes que de rappeler ce qu’écrit Jean-Luc Marion sur un trop de lumière Ecrasée de lumière, la chose s’obscurcit d’autant. Non qu’elle disparaisse à la vue — mais parce que aucun monde ne l’accueille, et parce qu’elle n’en ménage aucun.» Devant cette manipulation d’un entre-deux mondes qui refuserait de se savoir en tant que tel, devant la volonté de produire, de réaliser concrètement un seul et même monde où vivants et morts seraient co-présents, comment ne pas rappeler cette mise en garde Rien ne menace tant l’homme que de ne pas savoir en quel retrait il lui revient de demeurer ». Voilà ce que peut signifier le vitalisme au sens où je l’entends. Non pas une positivisation sotte de la vie », mais une prudence qui ne serait pas animée du seul souci de la sécurité. Une prudence qui, bien au contraire, fait accueillir l’autre, l’autre défunt, et l’altérité que dessine le visage de tout homme. Le lien qui s’y oblige. Il existe une sociologie simple qui veut étudier les tendances qu’elle constate. Une tendance » existe en vérité depuis longtemps nous portant à accepter la mort, et à en prévoir l’aménagement. C’est à notre propre cercueil qu’il faut songer. C’est aussi de notre manière de mourir qu’il faut se préoccuper. La tendance que la sociologie de l’individu » constate, existe depuis plusieurs décennies. Dans les années 1970, Jean Baudrillard parlait des motels suicide ». L’idée pouvait sembler incongrue et l’on pouvait se demander si l’essayiste » n’avait pas inventer de toutes pièces leur existence. L’idée pourrait aujourd’hui sembler normale et l’on peut se demander s’il ne faudrait pas programmer la date de son propre décès en l’inscrivant dans son agenda. Baudrillard expliquait que le système » n’a plus au fond besoin de nous. Témoins, ces téléviseurs qui restent toujours allumés dans des chambres d’hôtel pourtant sans clientèle. Bien loin donner sa place à un individu acteur », le système » nous enjoint de demander notre propre disparition. Et cela comme s’il accédait à notre demande, comme s’il répondait à notre aspiration ». De fait, il y a un aspirateur. Patrick Baudry Professeur de sociologie Université Bordeaux 3 Date de création2013-08-09 Date de modification2013-10-25 Etsi la mort n'existait pas (Partie 1 et 2) ET SI LA MORT N'ETAIT QU'UN PASSAGE. Réalisation: Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation : Aurélie Godefroy – Narration : François-Eric Gendron Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort (EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des Cefilm est le second volet d’une trilogie : 1. ET SI LA MORT N’EXISTAIT PAS : Où en est la science sur la vie après la mort ? 2. ET SI LA MORT N’ETAIT QU’UN PASSAGE : Comment s’y préparer ? 3. ET SI L’ÂME EXISTAIT VRAIMENT : En cours de réalisation.
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Quandl’“enfer” n’existait pas. 15. À quelle époque l’“enfer” n’existait- il pas ? 15 Ayant maintenant une bonne intelligence de ce que la Bible déclare à propos de l’“enfer”, il est approprié de poser cette autre question : Quand n’y avait- il pas d’“enfer” ou schéol ? C’était il y a presque six mille ans, quand le premier homme et la première femme
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