C'est fait ! Le formidable documentaire Et si la mort n'existait pas ? », écrit et réalisé par Valérie Seguin & Dominic Bachy et que j’ai le plaisir de présenter, vient de dépasser les 3 millions de vues sur GodefroyEtsi la mort n’existait pas ? L'ÉNERGIE QUI LIBÈRE. Aux frontière de la mort. Voici une vidéo qui ne manquera pas de suscité et de capter votre intérêt. C’est un sujet majeur pour moi, et qui me tiens à cœur de vous partager. C’est pour moi plus qu’une évidence, quoi de plus normal en tant qu’énergéticien. Réalisation: Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation
On ira tous au Paradis ! », chantait Michel Polnareff. L’enfer ? c’est ringard ! » Le Bon Dieu n’a pas pu inventer ça ! ».Philippe Laborie nous en parle… Cet été, à Notre-Dame du Laus, j’ai eu une belle discussion avec des personnes âgées au sujet de l’enfer. Elle me précise ne pas y croire. Et là, tout de go, je lui dis Mais si ! Heureusement que l’enfer existe ! », un brin provocateur. C’est le signe que le Seigneur nous laisse libre de le choisir et de l’aimer ». L’enfer, non voulu par Dieu, est le lieu habité par des âmes qui ont refusé la Miséricorde du Père. Il nous a créés pour Lui à son image et ressemblance tout en nous laissant libre deL’aimer. Satan, le premier à tomber en enfer, ne cesse d’attirer à lui d’autres âmes par haine absolue pour Dieu. L’enfer doit-il nous faire peur ? Oui et non. C’est bien un lieu d’extrêmes souffrances qui sont éternelles où la rémission est impossible Dans l’Hadès, en proie à des tortures, il lève les yeux et voit de loin Abraham, et Lazare en son sein. Alors il s’écria Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare tremper dans l’eau le bout de son doigt pour me rafraîchir la langue, car je suis tourmenté dans cette flamme. Mais Abraham dit Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et Lazare pareillement ses maux; maintenant ici il est consolé, et toi, tu es tourmenté. Ce n’est pas tout entre nous et vous un grand abîme a été fixé, afin que ceux qui voudraient passer d’ici chez vous ne le puissent, et qu’on ne traverse pas non plus de là-bas chez nous. » Evangile de Luc chap. 16, 23-26 Les petits enfants de Fatima ont fait également l’expérience de la vision de l’enfer. Ils en restèrent marqués à vie. J’ai eu l’occasion de faire une retraite de discernement selon les exercices de Saint Ignace. En début de retraite, il est demandé de méditer sur la vision de l’enfer. Pendant une vingtaine de minutes, je demande cette grâce, comme les petits pastoureaux, de faire l’expérience de la vision de l’enfer. Rien. Puis, en un éclair, je me suis vu regardant vers le bas attendant que la vision de l’enfer s’ouvre. Et, d’un coup, je me retourne vers le Ciel et vois Jésus et Marie qui me dise voilà ce qu’est l’enfer ! » Et je la vis s’éloigner pour finalement disparaître… L’enfer n’est autre que la séparation de la créature de son Créateur. La vraie douleur est que l’âme ce sait toujours aimée infiniment de Dieu même en enfer mais a choisi de s’en détacher pour toujours. La vraie liberté de l’Homme est de découvrir en ce monde que nous sommes faits pour Dieu, pour laisser l’Esprit-Saint enflammer tout notre être, pour se laisser purifier par Jésus et enfin se laisser aimer pour aimer le Père. Alors, oui, heureusement que l’enfer est possible pour moi, car je peux ainsi choisir librement d’aimer le Bon-Dieu ! Notre cité se trouve dans les cieux, nous verrons l’Épouse de l’Agneau, resplendissante de la gloire de Dieu, Céleste Jérusalem. Dieu aura sa demeure avec nous, Il essuiera les larmes de nos yeux, Il n’y aura plus de pleurs ni de peines. Car l’ancien monde s’en est allé. Et maintenant, voici le salut, Le règne et la puissance de Dieu, Soyez donc dans la joie vous les cieux, Il règnera sans fin dans les siècles. Tu penses quoi de la vie après la mort ? Et si on en parlait ensemble ? Chat' anonyme et gratuit
Lesvivants ne rencontrent pas la mort du fait qu'ils sont en vie et les morts non-plus, dans la mesure où ils ne ressentent plus rien. Tout se passe, selon le philosophe grec, comme si la mort était insaisissable, ou, tout simplement, qu'elle n'existait pas. Pour lui, ce n'est donc pas la mort que nous craignons en notre for intérieur, mais Même si la communauté scientifique commence réellement à s’intéresser au sujet de façon sérieuse, les Expériences de Mort Imminente EMI restent encore du domaine du mystère et de la superstition. Mais face au nombre de témoignages toujours plus nombreux, on peut se demander quelles preuves nous devrions encore attendre pour en oublier notre scepticisme…Aujourd’hui, 1h11 vous propose de découvrir le très bon documentaire Et si la mort n’existait pas, film présentant des études scientifiques et différents phénomènes observés autour de la mort Emi, décorporations, contacts avec les défunts et visions des mourants. En réunissant un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet, plusieurs neurologues et avoir découvert certaines pépites comme Revenus de l’Au-delà, le sujet de Temps Présent, L’expérience extraordinaire de Stéphane Allix, sans bien sûr oublier Anita Moorjani et le Docteur Jean Jacques Charbonnier, réfléchissons une nouvelle fois sur l’hypothèse que le cerveau ne soit pas le siège de la conscience, comme le font ces chercheurs courageux Pour la seconde partie, on rejoindra Et si la mort n’était qu’un passage, déjà vu par ici. Sujetdu message: Re: Et si la mort n'existait pas ( vidéo 50 mins) Posté: Dim Février 06, 2022 12:17 . Inscription: Sam Avril 13, 2013 08:29 Messages: 1447 Localisation: Klow Syldavie Avant tout il faudrait définir ce qu'est "l'âme". _____ Le doute est le commencement de la sagesse (Aristote) Haut . pyj Sujet du message: Re: Et si la mort n'existait pas ( vidéo 50 mins) Posté:Aujourd’hui nous allons aborder le sujet sur le temps est une illusion » car nous avons tous conscience du moment présent, celui dans lequel notre conscience existe. Nous avons des souvenirs, qui nous permettent de construire une représentation du passé. Nous pouvons aussi imaginer l’avenir, donc une certaine représentation du présent, futur, notre conscience est marquée par la conscience de l’écoulement du temps. Cependant, nous avons tous fait l’expérience d’une certaine relativité dans le vécu temporel. Certains moments semblent plus longs que d’autres. Le temps globalement semble aller de plus en plus vite…Et si le temps n’était pas une donnée objective, figée, mais une illusion ? Et si, partant de cette prise de conscience, nous pouvions envisager la réalité sous d’autres angles ?Un temps pas si linéaire…Toute notre éducation nous conditionne à une perception du temps comme une donnée objective, mesurable, et surtout linéaire. Passé/présent/futur, le temps est souvent représenté par une ligne. Et pourtant, les plus grandes spiritualités du monde insistent sur ce point nous ne pouvons faire l’expérience que du passé et le futur ne sont que des constructions mentales, dans lesquelles il est vain de se temps n’existe pas Pas de Passé, de présent et de futurTout notre quotidien est bâti sur l’illusion du temps, d’un passé et d’un futur ; nous passons beaucoup de temps à souffrir de notre passé et à nous inquiéter de notre futur, alors que la seule réalité est le n’y a que l’instant présent qui est vraiment réel, nous sommes déjà dans une sorte d’éternité, un hors temps ».Voyager dans le temps grâce aux trous de verCe que l’ésotérisme a développé dans de nombreuses traditions a été aussi théorisé par la relativité restreinte d’Einstein l’écoulement du temps n’est qu’une illusion. Le physicien Thibault Damour propose d’imaginer comme des paquets de cartes posés les uns sur les cartes sont comme des photographies du passé, du présent et du futur qui coexistent. Le futur serait donc déjà écrit et le passé toujours présent… Par la relativité restreinte, toute notre conception du concept de temps est physiciens ont produits de multiples théories suite à ce bouleversement, comme la possibilité de voyage dans le temps grâce aux trous de sommes pris dans l’illusion du temps physiqueNous sommes pris dans l’illusion du temps physique, linéaire, quantifiable, ce qui s’avère bien pratique au quotidien. Cependant, lorsqu’on accède à des états modifiés de conscience, le temps n’a plus la même valeur. Au cours de ces expériences, on prend conscience que le temps est une illusion comme réalité objective, que le temps n’existe pas comme donnée extérieure à soi, mais uniquement comme construction de notre du temps peut-on voyager dans le futur ?Morvan Salez, docteur en astrophysique et méditant, va même plus loin Plus on se concentre sur l’instant présent, plus on lui donne de la densité, plus le champ de conscience s’élargit, l’accès au passé et au futur s’ouvre alors, et nous offre la possibilité de capter des informations. » Il semble que dans certaines circonstances, notamment par la méditation, on puisse voyager dans le futur…Par la méditation et les états modifiés de conscience, nous pouvons avoir la vision de fragments du futur qui existe le temps n’existe pas… la mort existe-t-elle?La mort est intrinsèquement inscrite dans le concept du temps ; il y a un avant et un après. Robert Lanza, scientifique américain, a théorisé clairement que la mort n’existe pas telle que nous la concevons, dans sa théorie du biocentrisme. Pour Lanza, tout comme le temps est une illusion, la mort est un concept produit par notre conscience Lorsque nous mourrons, notre vie devient une fleur vivace qui recommence à fleurir dans le multivers ensemble de tous les univers possibles.Notre âme retourne dans le cosmosLa vie est une aventure qui transcende notre façon de penser linéaire. Lorsque nous mourrons, cela ne se produit pas dans une matrice aléatoire telle une boule de billard mais au sein de la matrice incontournable de la vie ».Comme de nombreuses spiritualités le laissent entendre, notre âme retournerait dans une matrice de la vie, dans le cosmos. Lanza théorise aussi à partir de la physique quantique l’existence d’un monde parallèle, ou plutôt d’une multitude de la physique quantique rejoint les grandes traditions ésotériques…En conclusion, si on accepte l’idée que le temps n’existe pas, toute notre représentation de l’univers est bouleversée. Le mystère de la vie réside certainement dans ces remises en question du temps et de l’espace comme des données linéaires et traditions ésotériques ont perçu ces mystères que la physique quantique théorise; par les états de conscience modifiés nous pouvons accéder à une vision de ces réalités, allant de la perception de l’énergie invisible à l’existence d’univers parallèle.
Etsi la mort n'existait pas ? La chronique de Constance. France Inter. Suivre. il y a 4 ans. En ce jour de l'entretien des tombes, Constance s'interroge sur la mort : son utilité, son sens de l'humour, et
[youtube v= »HpsJ4o5C4Hg »] Où en est la science sur la vie après la mort ? » Pour voir nos futures vidéos, abonnez-vous à la chaine. Pour découvrir la 2ème partie Réalisation Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation Aurélie Godefroy – Narration François-Eric Gendron Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet Le Pr. Steven Laureys, plusieurs médecins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalités notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions? [youtube v= »2QukbCfT_Uc »] Aidez nous à finir sa réalisation et pour voir nos futures vidéos, abonnez-vous à notre chaine Youtube Lien vers le film ET SI LA MORT N’EXISTAIT PAS Partie 1 Pitch de ce 2ème film Si la mort n’existe pas, cela signifierait qu’une partie de nous, notre conscience, notre âme, repartirait dans l’au-delà ! Nous irons à la rencontre d’experts scientifiques, chercheurs spirituels, etc. qui essaient de comprendre ce qu’est l’âme, comment elle peut être source de sens et de joie intérieure, et comment mieux appréhender le passage » vers cet autre monde et limiter l’angoisse de la mort. Pour suivre nos actualités sur FACEBOOK SE FAIRE CONNAÎTRE La Presse Galactique est heureuse de rendre son réseau disponible à tous ceux et celles qui désirent faire connaître leurs aptitudes, leurs dons, leurs réalisations et leurs projets. Le nouveau monde n’est pas quelque chose qui doit venir un jour; le nouveau monde c’est nous qui nous exprimons à travers notre vraie nature, en toute simplicité et authenticité. Voilà enfin une tribune libre pour nous propulser et mettre en action aujourd’hui le service que nous sommes venus rendre sur cette planète. 375Jusqu'à un passé récent, le cimetière au était réuni l'ensemble d'une famille était le lieu de destination évident de son propre corps après sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulève et auxquelles il semble de plus en plus difficile de répondre "Où vais-je me faire enterrer? Où enterrer mon père, ma mère?" La réponse allait encore de soi dans un passé récent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement à une territorialité n'est plus une évidence, en effet, et la mort n'y échappe pas. Jusqu'à un passé récent, disons avant la deuxième guerre mondiale, le cimetière où était réuni l'ensemble d'une famille était forcément le lieu de destination de son propre corps après sa propre mort. On n'avait même pas à y penser. Il était au bout du village, c'est là qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une évidence. Ce phénomène tient à plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passés de la société du village à celle de l'agglomération urbaine ; l'éclatement des familles ; le fait que la profession exercée ne se fait plus dans le périmètre du lieu de naissance, les déplacements devenant la règle. Un jour, vous êtes muté à Tokyo, le lendemain à Metz... Tout devient plus compliqué. Voilà pour les aspects socio-démographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delà, qu'est-ce que cela traduit de notre rapport à la mort?Notre société, c'est une banalité de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crémation tient aussi à cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attaché à un territoire, donc cela fait moins de sens d'être enterré à tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passé. Jusqu'à ce qu'on interdise, il y a quelques années, la possibilité de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetière, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain désarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la règle fondamentale de la ritualité funéraire, qui veut qu'on se sépare des morts. Ce détachement de la territorialité est récent, dites-vous. Oui, un saut a été franchi récemment, même s'il se préparait sans doute de longue date, et on peut le voir, là encore, à travers la crémation. L'Eglise catholique a levé l'interdiction de la crémation après la deuxième guerre mondiale, relativement récemment, donc. Dans les années 1970, personne n'aurait alors imaginé qu'elle progresserait comme elle l'a fait à partir des années 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les années 1970 et 1980, la crémation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A présent, elle n'apparaît plus comme un choix différencié mais comme un option qui découle aussi de ce détachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractérise notre culture globale. On trouve des maisons funéraires même hors des grandes villes, même à Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'était rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait à tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La ritualité funéraire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'équilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mémoire collective. Ces changements nous questionnement évidemment très profondément par rapport à notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on étayer un souvenir s'il n'est plus rattaché à un lieu, transmettre une mémoire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout était indifférent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indifférents à notre propre devenir. Nous avons besoin de nous représenter cet irreprésentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indifférence de la souffrance de nos proches. Une évolution notable, par ailleurs des entreprises funéraires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetière, de payer des fleurs qui y seront déposées... On met au point des services censés combler la distance physique "Je suis à Bordeaux, mon père est enterré à Strasbourg..." La ritualité funéraire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour très important c'est l'un des jours où il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se déplacent. C'est aussi l'un des jours où l'on achète le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indifférent. Le fait de ne plus savoir où l'on va être enterré est plus marqué à la ville qu'à la entendu. Dans les villages, on est encore enterré de génération en génération et on y trouve encore une présence des signes sociaux de la mort, une sonorité le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, où la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'écart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montré, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derrière le corbillard tiré par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard était un véhicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussée. Aujourd'hui, il se mêle à la circulation, comme les autres véhicules. La mort était inscrite dans le paysage, dans l'espace partagé, elle ne l'est plus. Conséquence de son refoulement?Oui, ou de son déni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "déni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus étrange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existé auparavant, à aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport à la vie est en rapport à la mort. Quand les choses ne sont plus parlées, plus signifiées, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repères essentiels. On peut aussi s'interroger, en matière de refoulement, sur la généralisation des cimetières périurbains, crées dans les années 1980, qui sont souvent des lieux isolés, à l'écart de la ville, et esthétiquement, situés dans des zones de relégation, entre le centre commercial et la déchetterie. Vous avez des panneaux où celle-ci côtoie le crématorium, vous devez passer, pour y accéder, par une montagne de pneus crevés ! Ce qui peut pousser à s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherEtsi la mort n’existait pas ? (2018) ← Back to main. k. kanemonsteur. 44. s. superboy97. 3. Fuzzy Dunlop. 2. View Weekly Leaderboard. 49 Changes. Clear User Key Language November 6, 2020 s superboy97. character_names: u {"person_id":1083106,"character
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