ArticleR121-6 Créé par Décret n°2016-1955 du 28 décembre 2016 - art. 1. Le titulaire du certificat d'immatriculation du véhicule est, en application de l'article L. 121-3, redevable

et du code de la route Article L121-1 Le conducteur d'un vĂ©hicule est responsable pĂ©nalement des infractions commises par lui dans la conduite dudit vĂ©hicule. Toutefois, lorsque le conducteur a agi en qualitĂ© de prĂ©posĂ©, le tribunal pourra, compte tenu des circonstances de fait et des conditions de travail de l'intĂ©ressĂ©, dĂ©cider que le paiement des amendes de police prononcĂ©es en vertu du prĂ©sent code sera, en totalitĂ© ou en partie, Ă  la charge du commettant si celui-ci a Ă©tĂ© citĂ© Ă  l'audience. Article L121-2 ModifiĂ© par LOI n°2011-1862 du 13 dĂ©cembre 2011 - art. 31 Par dĂ©rogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est responsable pĂ©cuniairement des infractions Ă  la rĂ©glementation sur le stationnement des vĂ©hicules ou sur l'acquittement des pĂ©ages pour lesquelles seule une peine d'amende est encourue, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il ne fournisse des renseignements permettant d'identifier l'auteur vĂ©ritable de l'infraction. Dans le cas oĂč le vĂ©hicule Ă©tait louĂ© Ă  un tiers, cette responsabilitĂ© pĂšse, avec les mĂȘmes rĂ©serves, sur le locataire. Dans le cas oĂč le vĂ©hicule a Ă©tĂ© cĂ©dĂ©, cette responsabilitĂ© pĂšse, avec les mĂȘmes rĂ©serves, sur l'acquĂ©reur du vĂ©hicule. Lorsque le certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est Ă©tabli au nom d'une personne morale, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe, sous les mĂȘmes rĂ©serves, au reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale. Article L121-3 ModifiĂ© par LOI n°2011-1862 du 13 dĂ©cembre 2011 - art. 31 Par dĂ©rogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l'amende encourue pour des contraventions Ă  la rĂ©glementation sur les vitesses maximales autorisĂ©es, sur le respect des distances de sĂ©curitĂ© entre les vĂ©hicules, sur l'usage de voies et chaussĂ©es rĂ©servĂ©es Ă  certaines catĂ©gories de vĂ©hicules et sur les signalisations imposant l'arrĂȘt des vĂ©hicules, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un vol ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il n'apporte tous Ă©lĂ©ments permettant d'Ă©tablir qu'il n'est pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction. La personne dĂ©clarĂ©e redevable en application des dispositions du prĂ©sent article n'est pas responsable pĂ©nalement de l'infraction. Lorsque le tribunal de police ou la juridiction de proximitĂ©, y compris par ordonnance pĂ©nale, fait application des dispositions du prĂ©sent article, sa dĂ©cision ne donne pas lieu Ă  inscription au casier judiciaire, ne peut ĂȘtre prise en compte pour la rĂ©cidive et n'entraĂźne pas retrait des points affectĂ©s au permis de conduire. Les rĂšgles sur la contrainte judiciaire ne sont pas applicables au paiement de l'amende. Lorsque le certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est Ă©tabli au nom d'une personne morale, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, au reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale. Lorsque le vĂ©hicule Ă©tait louĂ© Ă  un tiers, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe au locataire, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2. Dans le cas oĂč le vĂ©hicule a Ă©tĂ© cĂ©dĂ©, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a du prĂ©sent article incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, Ă  l'acquĂ©reur du vĂ©hicule.
ArticleL121-3 du Code de la route - Par dérogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du véhicule est redevable pécuniairement de l'amende encourue pour des contraventions à la réglementation sur les vitesses maximales autorisées, sur le respect des distances de

Lorsqu'il y a lieu Ă  expropriation, l'enquĂȘte parcellaire est effectuĂ©e dans les conditions prĂ©vues au titre III du livre Ier du code de l'expropriation pour cause d'utilitĂ© publique. Toutefois, le dossier soumis Ă  enquĂȘte comprend, outre les documents Ă©numĂ©rĂ©s Ă  l'article R. 131-3 du code de l'expropriation pour cause d'utilitĂ© publique, une notice accompagnĂ©e des plans prĂ©cisant les dispositions prĂ©vues pour assurer le dĂ©senclavement des parcelles que la rĂ©alisation de la route doit priver d'accĂšs. Lorsqu'il n'y a pas lieu Ă  expropriation, l'Ă©tablissement des plans de dĂ©senclavement des parcelles privĂ©es d'accĂšs est prĂ©cĂ©dĂ© d'une enquĂȘte parcellaire, organisĂ©e dans les conditions fixĂ©es Ă  l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent. Les plans sont approuvĂ©s dans les formes prĂ©vues pour les plans d'alignement des routes de la catĂ©gorie domaniale Ă  laquelle appartient la route express.

ObligationlĂ©gale conformĂ©ment aux dispositions de l’article L. 121-6 du code de la route . Suivi de la procĂ©dure de recouvrement des contraventions au code de la route et gestion du contentieux IntĂ©rĂȘts lĂ©gitimes . RĂ©alisation de statistiques anonymes . IntĂ©rĂȘts lĂ©gitimes . 5. DonnĂ©es Ă  caractĂšre personnel concernĂ©es . 5.1 Principes de pertinence et de minimisation ARTICLE UN AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN ! Pour toutes les infractions prises par un radar excĂšs de vitesse, feu rouge ou Ă  la volĂ©e » sans interpellation du conducteur, l’Agence de Traitement AutomatisĂ© des Infractions ANTAI Ă©dite chaque annĂ©e des milliers d’avis de contraventions. A partir de la plaque d’immatriculation relevĂ©e, les agents assermentĂ©s posent une question simple Ă  leur serveur quelle est l’identitĂ© du titulaire de la carte grise de ce vĂ©hicule ? L’ordinateur rĂ©vĂšle un nom et une adresse ; il n’y a plus qu’à envoyer la contravention. La rĂ©ponse Ă  cette question ne permet pourtant pas de dĂ©terminer le vĂ©ritable auteur de l’infraction. Et pour cause, le propriĂ©taire d’un vĂ©hicule n’est pas seul Ă  le conduire. Ce peut ĂȘtre son frĂšre, son mari, sa mĂšre, son beau-frĂšre, son amant, son chauffeur
 Bref, moult possibles et nulle certitude. Et ce ne sont pas les clichĂ©s de nos radars - laissant le plus souvent apparaĂźtre qu’une plaque minĂ©ralogique - ou les observations des policiers pressĂ©s de verbaliser Ă  la volĂ©e » qui aident Ă  dessiner le portrait-robot du conducteur. En somme, le systĂšme permet d’identifier le propriĂ©taire du vĂ©hicule impliquĂ© dans l’infraction sans Ă©vincer le rĂ©el auteur de la contravention. Or, en droit pĂ©nal routier comme en droit pĂ©nal tout court, c’est au MinistĂšre Public procureur de la RĂ©publique et ses subordonnĂ©s de prouver la participation d’un prĂ©venu Ă  une infraction. Pour toutes les infractions routiĂšres verbalisĂ©es sans arrestation radar ou Ă  la volĂ©e », l’Officier du MinistĂšre Public OMP ne sera pas en mesure de livrer l’identitĂ© du conducteur. Faute de preuves, faute de tout. Face Ă  une telle inconnue, notre lĂ©gislateur a créé l’article L. 121-3 du code de la route un ami qui vous veut du bien. GrĂące Ă  lui, vous pouvez sauver les points de votre permis de conduire, Ă  coup sĂ»r
 L’application II de cet article du code de la route est soumise Ă  conditions I. Suivez le mode d’emploi pour d’heureuses consĂ©quences III. CONDITIONS L’article L. 121-1 du code de la route pose un principe Le conducteur d'un vĂ©hicule est responsable pĂ©nalement des infractions commises par lui dans la conduite dudit vĂ©hicule. » L’article L. 121-3 du code de la route ajoute une exception Par dĂ©rogation Ă  l’article L. 121-1 du code de la route, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hiculecarte grise est redevable pĂ©cuniairement de l'amende encourue pour des infractions dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret en Conseil d'Etat. » De fait, pour appliquer l’article L. 121-3 du code de la route, deux conditions s’imposent Absence d’interpellation A/ Seule la plaque d’immatriculation du vĂ©hicule en infraction doit avoir Ă©tĂ© flashĂ©e par un radar ou relevĂ©e par une patrouille volante ; Liste limitĂ©e d’infractions B/ L’infraction relevĂ©e - sans interception du conducteur - doit ĂȘtre incluse dans la liste fixĂ©e par dĂ©cret. ABSENCE D’INTERPELLATION Lorsqu’un conducteur est physiquement interpellĂ© au volant de son vĂ©hicule pour une contravention au code de la route, il ne peut pas nier ĂȘtre l’auteur de l’infraction. Dans ce cas, l’article L. 121-1 trouve naturellement Ă  s’appliquer. L’automobiliste est pĂ©nalement responsable de l’infraction qu’il vient de commettre et pour laquelle il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. En revanche, lorsque l’infraction au code de la route est constatĂ©e par un radar excĂšs de vitesse, feu rouge ou Ă  la volĂ©e » tĂ©lĂ©phone tenu en main, distances de sĂ©curitĂ©, dĂ©passement par la droite, STOP, franchissement d’une ligne continue etc., le principe de responsabilitĂ© pĂ©nale posĂ© par l’article L. 121-1 ne peut plus opĂ©rer. A dĂ©faut de pouvoir identifier un quelconque conducteur, l’Etat se tourne vers le propriĂ©taire du vĂ©hicule article L. 121-3 du code de la route. Le titulaire de la carte grise n’est plus responsable pĂ©nalement, simplement redevable d’une amende civile. LISTE LIMITEE D’INFRACTIONS Un dĂ©cret pris par le Conseil d’Etat le 28 dĂ©cembre 2016 est venu Ă©largir le champ d’application de l’article L. 121-3 du code de la route. Depuis lors, une liste de onze infractions permet au propriĂ©taire d’un vĂ©hicule d’exclure sa responsabilitĂ© pĂ©nale 1 Non port de la ceinture de sĂ©curitĂ© ; 2 TĂ©lĂ©phone tenu en main ; 3 Circulation couloirs de bus et taxis ; 4 ArrĂȘt, stationnement ou circulation sur les bandes d’arrĂȘt d’urgence ; 5 Non-respect des distances de sĂ©curitĂ© ; 6 Franchissement ou chevauchement de lignes blanches ; 7 Franchissement de feu rouge ou panneau STOP ; 8 Tous les excĂšs de vitesse ; 9 DĂ©passement par la droite ; 10 Non port du casque ; 11 DĂ©faut d’assurance. Si vous recevez un avis de contravention feuillet vert pour l’une de ces onze infractions - et que vous n’avez jamais Ă©tĂ© interpellĂ© pour ce fait -, vous pouvez demander l’application II de l’article L. 121-3 du code de la route. Rien ne prouve que vous teniez le volant ce jour-lĂ , aucune raison de vous reconnaĂźtre responsable de l’infraction. Pas de preuve, pas de peine. APPLICATION Pour assurer l’application de cet article L. 121-3, il faut contester l’avis de contravention A avant de se dĂ©fendre devant le tribunal de police B. CONTESTATION AVIS DE CONTRAVENTION Que la rĂšgle soit dite vous n’avez aucune obligation de dĂ©noncer le vrai conducteur. Aucune loi, aucun rĂšglement ne l’impose ! En tant que propriĂ©taire d’un vĂ©hicule, vous avez le droit d’oublier ou d’ignorer le nom de la personne qui a conduit votre vĂ©hicule. Disons que vous ĂȘtes partageur
 Que vous prĂȘtez rĂ©guliĂšrement votre voiture Ă  la famille, Ă  des amis
 Et comme vous avez la mĂ©moire courte, impossible de vous rappeler celui qui osa emprunter votre bolide Ă  la date indiquĂ©e. Lorsque vous recevez un avis de contravention pour une infraction prise par un radar, je vous conseille de demander immĂ©diatement les photos prises par l’appareil. Vous les recevrez quelques jours plus tard. Dans 99% des cas, il est impossible de distinguer le moindre visage ou la moindre silhouette sur les photos. Le photographe est amateur ; le plus souvent les clichĂ©s sont pris de dos et au milieu d’un trou noir
 EurĂȘka, on aperçoit les chiffres et lettres de votre plaque d’immatriculation. Rien pour vous reconnaĂźtre comme auteur de l’infraction. Il est temps de contester. Avec l’avis de contravention feuillet vert, vous avez reçu une requĂȘte en exonĂ©rationfeuillet bleu Ă  remplir. Dans les 45 jours Ă  compter de l’envoi de ces deux feuillets, vous devez envoyer un courrier recommandĂ© LRAR Ă  l’Officier du MinistĂšre Public OMP compĂ©tent - souvent le plus proche de voter domicile - ou remplir directement une contestation sur le site officiel Sur cette requĂȘte en exonĂ©ration, vous demanderez la requalification de l’infraction pĂ©nale en redevable en cochant le cas n°3 je conteste la rĂ©alitĂ© de l’infraction ». A vous de rĂ©diger
 Je n’ai pas le souvenir d’avoir conduit mon vĂ©hicule ce jour-lĂ  ; j’ignore d’ailleurs qui a pu l’utiliser
 Je vous remercie de bien vouloir faire application de l’article L. 121-3 du code de la route ». La ligne de dĂ©fense est sommaire mais efficace. DEFENSE DEVANT LE TRIBUNAL DE POLICE Quelques mois aprĂšs votre contestation auprĂšs de l’Officier du MinistĂšre Public OMP, vous serez convoquĂ© devant le tribunal de police de votre dĂ©partement pour rĂ©pondre de l’infraction relevĂ©e sur votre vĂ©hicule. A l’audience, les magistrats Officier du MinistĂšre Public et PrĂ©sident de tribunal de police useront sans doute de toutes les pressions idoines pour vous faire cracher le morceau ». Qui conduisait le vĂ©hicule ce jour-lĂ  ? Qui a commis l’infraction ? A qui doit-on imputer la contravention ? Donnez-nous un nom ! Mais rappelez-vous
 Vous n’avez aucune obligation de vous dĂ©noncer ou de dĂ©noncer le vĂ©ritable conducteur. Droit dans vos bottes, vous devez tenir votre ligne de dĂ©fense. Vous ĂȘtes incapable de dire qui conduisait votre vĂ©hicule au juste moment de l’infraction. Vous demandez l’application de l’article L. 121-3 du code de la route. Les dĂ©bats sont clos. Les consĂ©quences III heureuses. CONSEQUENCES Le jeu » en vaut la chandelle. La lutte pour faire appliquer l’article L. 121-3 est largement rĂ©compensĂ©e. Mettre les reprĂ©sentants du MinistĂšre Public et les juges dans l’incapacitĂ© de prouver votre implication, c’est Ă©viter tout retrait de point A et subir une simple amende civile B. Un moindre mal. AUCUN RETRAIT DE POINT L’enjeu fondamental soulevĂ© par l’article L. 121-3 du code de la route tient Ă  votre responsabilitĂ© pĂ©nale. A cause des photos radars inexploitables et des observations lacunaires des agents volants ceux qui verbalisent mais n’interpellent pas, le MinistĂšre Public est incapable de dĂ©terminer le coupable de l’infraction. Pourtant, c’est Ă  lui de prouver votre culpabilitĂ©. Constatant ce vide de preuves, le juge du tribunal de police exclura votre responsabilitĂ© pĂ©nale. Vous serez relaxĂ© ! En consĂ©quence, l’infraction constatĂ©e sur votre vĂ©hicule ne donnera lieu Ă  aucun retrait de point. C’est tout l’intĂ©rĂȘt de cet article exclure votre culpabilitĂ© pour Ă©viter les retraits de points. UNE SIMPLE AMENDE CIVILE Toutefois, l’Etat est mauvais perdant. Si vous ĂȘtes relaxĂ© pĂ©nalement au bĂ©nĂ©ficie de l’article L. 121-3 du code de la route, vous devrez payer une amende civile en tant que propriĂ©taire du vĂ©hicule verbalisĂ©. Autrement dit, l’administration vous donne le droit de ne pas dĂ©noncer le conducteur de votre vĂ©hicule mais ce n’est pas gratuit. Vous serez automatiquement redevable d’une amende. Selon l’infraction, cette amende civile oscillera entre 100 et 200 euros. Posez-vous donc posĂ©ment la question
 Qu’est-ce qui compte le plus ? Mon compte de points ou mon compte en banque ? Si vous voulez sauver vos points, un seul article Ă  connaĂźtre
 L’article L. 121-3 du code de la route. Un ami qui vous veut du bien. Vous avez un problĂšme ? Nous avons la SOLUTION ! INTERVENTIONSMaĂźtre Iosca intervient dans les plus grands mĂ©dias français Pourla Cour de cassation dans le pourvoi N° 06-88824 du 3 mai 2007 dĂ©clare, il y a dans cet arrĂ©tĂ© de la cour d'appel dĂ©naturation de l' article L. 121-3 du Code de la route.
Les forces de l’ordre ont la possibilitĂ© de verbaliser un automobiliste pour une infraction routiĂšre sans nĂ©cessairement procĂ©der Ă  son interpellation c’est ce que l’on appelle communĂ©ment les pv Ă  la volĂ©e ».Un PV est dit Ă  la volĂ©e » quand les forces de l’ordre Vous adressent directement Ă  votre domicile un avis de contravention relatif Ă  une infraction pour laquelle ils auraient relevĂ© votre plaque d’immatriculation, sans interception du contactent afin de vous prĂ©senter au commissariat ou la gendarmerie, toujours sans interception du la liste des infractions qui peuvent ĂȘtre sanctionnĂ©es par des pv Ă  la volĂ©e est ne peuvent s’appliquer que pour les infractions suivantes Non-respect de l’arrĂȘt au feu rouge ou au stopExcĂšs de vitesseNon-respect des distances de sĂ©curitĂ©Infractions de stationnementNon acquittement des pĂ©agesUtilisation des voies et chaussĂ©es rĂ©servĂ©es Ă  certaines catĂ©gories de vĂ©hicules voies de bus, taxis..En effet, l’article L 121-1 du Code de la Route pose le principe gĂ©nĂ©ral de verbalisation du conducteur seulement en cas d’identification formelle de celui-ci Le conducteur d’un vĂ©hicule est responsable pĂ©nalement des infractions commises par lui dans la conduite dudit vĂ©hicule. »Le pv Ă  la volĂ©e est ainsi une exception Ă  ce principe, et n’est autorisĂ©e qu’aux cas prĂ©vus par Ă  l’article L 121-3 du Code de la Route Par dĂ©rogation aux dispositions de l’article L. 121-1, le titulaire du certificat d’immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l’amende encourue pour des Ă  la rĂ©glementation sur les vitesses maximales autorisĂ©es, sur le respect des distances de sĂ©curitĂ© entre les vĂ©hicules, sur l’usage de voies et chaussĂ©es rĂ©servĂ©es Ă  certaines catĂ©gories de vĂ©hicules et sur les signalisations imposant l’arrĂȘt des vĂ©hicules, Ă  moins qu’il n’établisse l’existence d’un vol ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu’il n’apporte tous Ă©lĂ©ments permettant d’établir qu’il n’est pas l’auteur vĂ©ritable de l’ constate souvent que les forces de l’ordre verbalisent Ă  la volĂ©e » sans se prĂ©occuper de savoir si l’infraction commise entre dans les cas limitatifs prĂ©vus Ă  l’article L 121-3 du Code de la est trĂšs souvent possible, en engageant une procĂ©dure de contestation desdites infractions, d’obtenir devant le juge la relaxe de l’automobiliste injustement effet, la liste des infractions Ă©tant limitative, une verbalisation pour une infraction diffĂ©rente devient illĂ©gale par exemple conduite sans ceinture de sĂ©curitĂ©, tĂ©lĂ©phone au volant, franchissement ou chevauchement de ligne continue
Et surtout, mĂȘme si le pv Ă  la volĂ©e est applicable Ă  l’infraction reprochĂ©e, le conducteur qui conteste avoir Ă©tĂ© au volant du vĂ©hicule lors de la commission de l’infraction pourra, sous certaines conditions, ĂȘtre relaxĂ© pĂ©nalement et ainsi Ă©viter la perte de points affĂ©rente sur son permis de vous invitons Ă  contacter le Cabinet au ou via le formulaire de contact si vous souhaitez que nos avocats rĂ©pondent Ă  vos questions.
Modifiépar Loi n°2000-647 du 10 juillet 2000 - art. 1 () JORF 11 juillet 2000. Il n'y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre. Toutefois, lorsque la loi le prévoit, il y a délit en cas de mise en danger délibérée de la personne d'autrui. Il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d

Bonjour lukamon, Tentez toujours la contestation comme vous explique le semaphore mais je crains que, sauf erreur de ma part, l'OMP puis le juge, ne vous oppose l'application du L121-3 du code de la route passage sur "usage des voies et chaussĂ©es rĂ©servĂ©es..." Article L121-3 ModifiĂ© par LOI n°2011-1862 du 13 dĂ©cembre 2011 - art. 31 Par dĂ©rogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l'amende encourue pour des contraventions Ă  la rĂ©glementation sur les vitesses maximales autorisĂ©es, sur le respect des distances de sĂ©curitĂ© entre les vĂ©hicules, sur l'usage de voies et chaussĂ©es rĂ©servĂ©es Ă  certaines catĂ©gories de vĂ©hicules et sur les signalisations imposant l'arrĂȘt des vĂ©hicules, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un vol ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il n'apporte tous Ă©lĂ©ments permettant d'Ă©tablir qu'il n'est pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction. La personne dĂ©clarĂ©e redevable en application des dispositions du prĂ©sent article n'est pas responsable pĂ©nalement de l'infraction. Lorsque le tribunal de police ou la juridiction de proximitĂ©, y compris par ordonnance pĂ©nale, fait application des dispositions du prĂ©sent article, sa dĂ©cision ne donne pas lieu Ă  inscription au casier judiciaire, ne peut ĂȘtre prise en compte pour la rĂ©cidive et n'entraĂźne pas retrait des points affectĂ©s au permis de conduire. Les rĂšgles sur la contrainte judiciaire ne sont pas applicables au paiement de l'amende. Lorsque le certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est Ă©tabli au nom d'une personne morale, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, au reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale. Lorsque le vĂ©hicule Ă©tait louĂ© Ă  un tiers, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe au locataire, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2. Dans le cas oĂč le vĂ©hicule a Ă©tĂ© cĂ©dĂ©, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a du prĂ©sent article incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, Ă  l'acquĂ©reur du vĂ©hicule Donc, Ă  voir quelle sera la rĂ©action de l'OMP puis, Ă©ventuellement, celle du juge.

Modifiépar LOI n°2019-1428 du 24 décembre 2019 - art. 98 (V) Par dérogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du véhicule est
Contexte Le nouveau dĂ©cret n° 2012-3 portant sur les diverses mesures de sĂ©curitĂ© routiĂšre, publiĂ© au journal officiel le 04 janvier 2012, introduit ou prĂ©cise, dans le code de la route, diffĂ©rentes mesures issues de la loi de programmation pour la performance de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure du 14 mars 2011, ainsi que diffĂ©rentes dĂ©cisions du comitĂ© interministĂ©riel de sĂ©curitĂ© routiĂšre du 11 mai 2011. En effet, les avertisseurs de radars sont dĂ©sormais interdits puisqu'ils nuisent Ă  la sĂ©curitĂ© routiĂšre en incitant certains usagers de la route Ă  des comportements dangereux en ne respectant les limitations de vitesse qu'Ă  proximitĂ© d'un radar signalĂ© sur leurs peines sont encourues ?L'article du code de la route disposait que le fait de dĂ©tenir ou transporter un dĂ©tecteur ou un brouilleur de radar Ă©tait sanctionnĂ© par - une contravention de la 5Ăšme classe 1500€- la saisie de l'appareil,- un retrait de deux points sur le permis de dĂ©cret sus mentionnĂ© vient Ă©tendre les dispositions de l'article du code de la route. La dĂ©tention et l'usage de tout dispositif visant Ă  avertir ou informer de la localisation » des appareils destinĂ©s Ă  constater les infractions Ă  la circulation routiĂšre est rĂ©primĂ©e par - une contravention de 5Ăšme classe 1500€,- la saisie de l'appareil,- le retrait de 6 points sur le permis de sont les dispositions pour ĂȘtre en conformitĂ© avec la Loi ?S'agissant de tout appareil susceptible d'avertir du positionnement des radars et des appareils destinĂ©s Ă  constater les infractions Ă  la circulation routiĂšre navigateur GPS, avertisseurs simples, applications tĂ©lĂ©phoniques, etc..., il y a lieu de se rapprocher du fabricant ou prestataire de service ou encore de l'AFFTAC Association française des fournisseurs et utilisateurs de technologies d'aide Ă  la conduite – qui seront Ă  mĂȘme de vous Ă©clairer sur les modalitĂ©s de sa mise en conformitĂ©.
\n \n \n article l 121 3 code de la route
LeL121-3 implique nécessairement ni condamnation pénale, ni permis, ni points, ni amende pénale, mais amende civile seulement, en tant que "titulaire de la carte grise redevable
En matiĂšre de responsabilitĂ© pĂ©nale, nul n'est responsable pĂ©nalement que de son propre fait » selon les dispositions de l'article 121-1 du Code pĂ©nal qui introduit le titre II consacrĂ© Ă  la responsabilitĂ© pĂ©nale. Le Code de la route s'inscrit dans la mĂȘme perspective. En effet, l'article L121-1 dispose que le conducteur d'un vĂ©hicule est responsable pĂ©nalement des infractions commises par lui dans la conduite dudit vĂ©hicule ». Ainsi se trouve clairement affirmĂ© Ă  titre de principe la responsabilitĂ© personnelle du conducteur dans la conduite d'un vĂ©hicule. Quant Ă  la preuve en matiĂšre pĂ©nale, elle doit dĂ©montrer l'existence du fait rĂ©primĂ© par la loi mais Ă©galement son imputation Ă  une personne dĂ©terminĂ©e ainsi que -en dehors de la matiĂšre contraventionnelle- l'intention de celle-ci de commettre un tel fait rĂ©prĂ©hensible. Parce qu'il reprĂ©sente la sociĂ©tĂ©, le MinistĂšre Public a principalement, Ă  l'aide des pouvoirs de la puissance Ă©tatique dont il dispose, la charge d'Ă©tablir la culpabilitĂ© du mis en cause » ProcĂ©dure pĂ©nale Serge Guinchard et Jacques Buisson, Litec, sous rĂ©serve de la prĂ©somption d'innocence dont tous les citoyens doivent bĂ©nĂ©ficier. Ce travail probatoire doit porter sur l'incrimination, c'est Ă  dire l'identification prĂ©cise du texte lĂ©gislatif ou rĂ©glementaire rĂ©pressif sur le fondement duquel les poursuites ont Ă©tĂ© engagĂ©es. De plus, en ce qui concerne l'Ă©lĂ©ment matĂ©riel de l'infraction, outre la description prĂ©cise et circonstanciĂ©e du fait rĂ©prĂ©hensible, le problĂšme principal de la preuve judiciaire rĂ©side dans l'imputation de faits rĂ©prĂ©hensibles Ă  la personne mise en cause. L'examen de l'Ă©lĂ©ment volontaire est ici inappropriĂ© compte tenu du domaine contraventionnel de la prĂ©sente Ă©tude dans lequel il n'est pas pris en compte. Sous l'Ă©clairage des principes prĂ©cĂ©demment rappelĂ©s, il convient de s'intĂ©resser aux dispositions contenues dans l'article L121-3 du Code de la route. Son premier alinĂ©a nous indique qu'il constitue une dĂ©rogation aux dispositions de l'article L121-1 instituant le principe de la responsabilitĂ© personnelle du conducteur. Puis, il indique que le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l'amende encourue » pour certaines contraventions dĂ»ment Ă©numĂ©rĂ©es. A ce stade, il convient de relever que la personne dĂ©clarĂ©e redevable en application de cet article n'est pas responsable pĂ©nalement de l'infraction. Il n'est question que d'une obligation pĂ©cuniaire et non pas d'une peine, le titulaire du certificat d'immatriculation n'Ă©tant pas regardĂ© comme le coupable de l'infraction, ce que l'alinĂ©a 2 de l'article L121-3 indique dans ces termes la personne dĂ©clarĂ©e redevable en application des dispositions du prĂ©sent article n'est pas responsable pĂ©nalement de l'infraction ». Ce premier alinĂ©a de l'article L121-3 concerne les infraction en matiĂšre d'excĂšs de vitesse, en dehors du grand excĂšs de vitesse prĂ©vue par l'article L413-1, les infractions Ă  la signalisation imposant l'arrĂȘt du vĂ©hicule Ă  la limite de certaines intersections, aux abords de postes de douane ou de police, aux passages Ă  niveau, ponts mobiles, zones dangereuses, Ă  l'exclusion des infractions relatives Ă  la prioritĂ© de passage, l'arrĂȘt ou le stationnement dangereux et aux injonctions des agents de police, et enfin, aux infractions commises au titre du non-respect des distances de sĂ©curitĂ© et l'usage de voies rĂ©servĂ©es Ă  certaines catĂ©gories de vĂ©hicules. Mais il convient encore de s'intĂ©resser Ă  la fin de la phrase constituant l'alinĂ©a 1 de l'article L121-3 qui prĂ©voit expressĂ©ment que ce mĂ©canisme pesant sur le titulaire de la carte grise n'est pas applicable lorsque celui-ci Ă©tablie l'existence d'un vol ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il n'apporte tous Ă©lĂ©ments permettant d'Ă©tablir qu'il n'est pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction ». Ainsi, l'obligation pĂ©cuniaire qui est instaurĂ©e par cette disposition peut ĂȘtre Ă©cartĂ©e par la preuve de la survenance d'un Ă©vĂ©nement relevant de la force majeure ou celle de ne pas ĂȘtre l'auteur de l'infraction poursuivie. Cette obligation pĂ©cuniaire s'analyse donc comme une prĂ©somption qu'il ne faut en aucun cas considĂ©rer comme irrĂ©fragable, c'est Ă  dire absolue, dĂ©finitive et insusceptible de dĂ©monstration contraire. Le Conseil constitutionnel a d'ailleurs estimĂ© cet article conforme Ă  la Constitution Decis. n°99-411 DC du 16 juin 1999 dans ces termes Ă  titre exceptionnel de telles prĂ©somptions peuvent ĂȘtre Ă©tablies, notamment en matiĂšre contraventionnelle, dĂšs lors qu'elles ne revĂȘtent pas de caractĂšre irrĂ©fragable, qu'est assurĂ© le respect des droits de la dĂ©fense et que les faits induisent raisonnablement la vraisemblance de l'imputabilitĂ© ». L'obligation pĂ©cuniaire constitue donc bien une prĂ©somption rĂ©fragable c'est Ă  dire susceptible d'ĂȘtre combattue par la preuve du contraire. Ainsi, le titulaire du certificat d'immatriculation, en l'absence d'identification du contrevenant Ă  l'origine de l'infraction poursuivie, n'est redevable que du paiement d'une amende, sauf s'il Ă©tablit que sonvĂ©hicule a Ă©tĂ© volĂ© ou "tout autre Ă©vĂšnement de force majeure" ou encore qu'il n'est "pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction". Ces possibilitĂ©s d'exonĂ©ration qui sont frĂ©quemment oubliĂ©es s'inscrivent dans la perspective de l'exigence d'imputabiliĂ© vraisemblable posĂ©e par la DĂ©cision du Conseil constitutionnel prĂ©citĂ©e ainsi que dans celle de la prĂ©somption d'innocence. Elles ne peuvent pas ĂȘtre Ă©cartĂ©es par le Juge aux motifs que le titulaire de la carte grise ne divulguerait pas l'identitĂ© du conducteur ou bien que le vĂ©hicule aurait Ă©tĂ© "tĂ©lĂ©guidĂ©" sic sous peine de violer le droit positif. Elles nĂ©cessitent enfin un rappel sur leur mise en forme. En ce qui concerne le vol du vĂ©hicule, la personne citĂ©e devant le Tribunal devra fournir le justificatif de son dĂ©pĂŽt de plainte pour vol dudit vĂ©hicule enregistrĂ©e avant l'infraction poursuivie. En ce qui concerne l'Ă©vĂšnement de force majeure, c'est la rĂšgle de la libertĂ© de la preuve qui prĂ©side preuve par tous moyens en l'absence de restriction lĂ©gale figurant dans l'alinĂ©a 1 de l'art. L121-3. Cette mĂȘme libertĂ© probatoire bĂ©nĂ©ficie Ă  celui qui s'engage dans la dĂ©monstration du fait qu'il n'est "pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction". Parce que cette tentation de rejeter les attestations pour des motifs tirĂ©s des prescriptions de procĂ©dure civele rĂŽde dans les prĂ©toires, il peut ĂȘtre utile de rappeler que "les dispositions de l'art. 202 du NCPC ne sont pas prescrites Ă  peine de nullitĂ©" selon une jurisprudence bien Ă©tablie. Lorsquele tribunal de police ou la juridiction de proximitĂ©, y compris par ordonnance pĂ©nale, fait application des dispositions du prĂ©sent article, sa dĂ©cision ne donne pas lieu Ă  inscription au
L'accompagnement des transports exceptionnels est effectué par des conducteurs soumis à une obligation de formation professionnelle. Sont dispensés de cette obligation les fonctionnaires des services actifs de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale, en activité ou ayant cessé leur activité. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent article et notamment les conditions dans lesquelles les agents mentionnés à l'alinéa précédent sont dispensés de cette obligation lorsqu'ils ont cessé leur activité.
ArticleL121-4 du Code de l'urbanisme français : Les installations, constructions, aménagements de nouvelles routes et ouvrages nécessaires à la sécurité maritime et a. 01 75 75 36 00. 01 75 75 36 00. Je suis un professionnel; Je suis un CSE; Je suis un particulier
Article L121-3 EntrĂ©e en vigueur 2019-12-27 Par dĂ©rogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l'amende encourue pour des infractions dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret en Conseil d'Etat, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un vol ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il n'apporte tous Ă©lĂ©ments permettant d'Ă©tablir qu'il n'est pas l'auteur vĂ©ritable de l'infraction. La personne dĂ©clarĂ©e redevable en application des dispositions du prĂ©sent article n'est pas responsable pĂ©nalement de l'infraction. Lorsque le tribunal, y compris par ordonnance pĂ©nale, fait application des dispositions du prĂ©sent article, sa dĂ©cision ne donne pas lieu Ă  inscription au casier judiciaire, ne peut ĂȘtre prise en compte pour la rĂ©cidive et n'entraĂźne pas retrait des points affectĂ©s au permis de conduire. Les rĂšgles sur la contrainte judiciaire ne sont pas applicables au paiement de l'amende. Lorsque le certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est Ă©tabli au nom d'une personne morale, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, au reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale. Lorsque le vĂ©hicule Ă©tait louĂ© Ă  un tiers, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe au locataire, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2. Dans le cas oĂč le vĂ©hicule a Ă©tĂ© cĂ©dĂ©, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a du prĂ©sent article incombe, sous les rĂ©serves prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2, Ă  l'acquĂ©reur du vĂ©hicule.
Ainsia vu le jour l’article L121-3 du code de la route issu de la loi du 12 juin 2003, permettant de condamner Ă  une amende civile le titulaire d’une carte grise pour une infraction qu’il n’a pas commise. En savoir plus sur la consignation. La seconde Ă©volution majeure dans ce domaine a Ă©tĂ© la loi n°2015-177 du 16 fĂ©vrier 2015 relative Ă  la modernisation et Ă  la simplification

Les haies sont des alliĂ©es prĂ©cieuses — bien plus qu’on ne le pense bien souvent — de la biodiversitĂ©. Comme le relevait actu-environnement en 2020, entre les annĂ©es 60 et 80 45000 km de haies avaient Ă©tĂ© arrachĂ©s. Depuis la situation s’est relativement stabilisĂ©e, mais ce sont donc de grands linĂ©aires qui seraient dans l’absolu Ă  refaire, car ces haies sont l’habitat de nombreuses espĂšces. C’est ainsi que des associations, agences de l’eau et d’autres partenaires publics accompagnent du reste les territoires et particuliers sur de la reconstitution de tels habitats. C’est pourquoi dĂ©truire ces espaces est loin d’ĂȘtre un acte anodin et fait l’objet d’une rĂ©glementation stricte. La destruction sauvage peut faire l’objet de sanctions, par exemple au titre du code rural et avec une amende de 3 750 euros. Mais en cas d’atteintes Ă  des espĂšces protĂ©gĂ©es on glissera aisĂ©ment dans le rĂ©gime du code de l’environnement qui porte diverses sanctions allant de la contravention de 3e Ă  5e classe code de l’environnement Ă  des sanctions pouvant aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende article Les poursuites peuvent Ă©galement s’opĂ©rer sur le terrain judiciaire. Une commune de Haute-Loire l’a appris Ă  ses dĂ©pens rĂ©cemment. Ainsi, le tribunal judiciaire du Puy-en-Velay a condamnĂ© le 5 juillet 2022 une commune pour une destruction de 740 mĂštres de haies Ă  l’occasion de la crĂ©ation d’une route pour une manifestation temporaire concours national de labour. L’infraction pour non-respect de la lĂ©gislation en raison de cette destruction a Ă©tĂ© constatĂ©e par l’Office français de la biodiversitĂ© OFB et a conduit Ă  la destruction d’habitat de la huppe fasciĂ©e photo et d’autres espĂšces. Comme relevĂ© par actu-environnement, le tribunal a condamnĂ© la commune, sous 10 mois avec une astreinte journaliĂšre en cas de retard, Ă  planter un linĂ©aire de haie Ă©quivalent aux destructions et Ă  reconstruire des murets. Navigation de l’article

SaintLÎ est une commune française de 19 050 habitants [Note 1], située dans le département de la Manche en région Normandie.DeuxiÚme plus grande ville de la Manche par le nombre d'habitants aprÚs Cherbourg-en-Cotentin, elle accueille la préfecture du département. Elle est également chef-lieu d'un arrondissement et bureau centralisateur de deux cantons (Saint-LÎ-1 -
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Lamodification apportée à l'article 529-10 du code de procédure pénale permet désormais au titulaire du certificat d'immatriculation de s'exonérer de sa responsabilité pénale et pécuniaire (article L.121-3 du code de la route) en cas d'usurpation de son numéro d'immatriculation, ce que les services de police et de gendarmerie appellent " une doublette ".
Par dĂ©rogation aux dispositions de l'article L. 121-1, le titulaire du certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est responsable pĂ©cuniairement des infractions Ă  la rĂ©glementation sur le stationnement des vĂ©hicules ou sur l'acquittement des pĂ©ages pour lesquelles seule une peine d'amende est encourue ainsi que des contraventions relatives Ă  l'abandon d'ordures, de dĂ©chets, de matĂ©riaux ou d'autres objets, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un Ă©vĂ©nement de force majeure ou qu'il ne fournisse des renseignements permettant d'identifier l'auteur vĂ©ritable de l' le cas oĂč le vĂ©hicule Ă©tait louĂ© Ă  un tiers, cette responsabilitĂ© pĂšse, avec les mĂȘmes rĂ©serves, sur le le cas oĂč le vĂ©hicule a Ă©tĂ© cĂ©dĂ©, cette responsabilitĂ© pĂšse, avec les mĂȘmes rĂ©serves, sur l'acquĂ©reur du le certificat d'immatriculation du vĂ©hicule est Ă©tabli au nom d'une personne morale, la responsabilitĂ© pĂ©cuniaire prĂ©vue au premier alinĂ©a incombe, sous les mĂȘmes rĂ©serves, au reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale.
Lesdispositions du présent chapitre sont applicables aux opérateurs économiques définis : 1° Par l'article 3 du rÚglement (CE) n° 1222/2009 du Parlement européen et du Co
Le point sur... Le point sur... Cette disposition contient deux dĂ©rogations Ă  des principes fondamentaux de notre droit pĂ©nal. La prĂ©somption d’innocence et la personnalitĂ© des L. 121-3 du code de la route prĂ©voit que le titulaire du certificat d’immatriculation du vĂ©hicule est redevable pĂ©cuniairement de l’amende encourue pour des contraventions Ă  la rĂ©glementation sur les vitesses [...] EmploiCARCORESPONSABLE AUDIT INTERNE H/F Postuler NexformaConsultants SpĂ©cialisĂ©s IndĂ©pendants H/F France EntiĂšre Postuler AccĂ©der aux offres d'emploiAPPELS D'OFFRESProposĂ© par

Pourl'application de l'article L. 225-4 en Nouvelle-Calédonie, les mots : " dans le département " sont remplacés par les mots : " dans la collectivité ". Les articles L. 234-

Que dit la loi sur l’obligation de dĂ©noncer le conducteur, auteur d’une infraction ? L’obligation de dĂ©noncer le conducteur au volant au moment de l’infraction concerne tous les vĂ©hicules appartenant Ă  des personnes morales c’est-Ă -dire dotĂ©e de la personnalitĂ© juridique. Ainsi les entreprises sont concernĂ©es par cette disposition mais aussi les associations, les administrations, les collectivitĂ©s territoriales et les Ă©tablissements publics entre autres. L’article L121-6 du code de la route L’article L121-6 du code de la route indique que Lorsqu'une infraction constatĂ©e selon les modalitĂ©s prĂ©vues Ă  l'article L. 130-9 a Ă©tĂ© commise avec un vĂ©hicule dont le titulaire du certificat d'immatriculation est une personne morale ou qui est dĂ©tenu par une personne morale, le reprĂ©sentant lĂ©gal de cette personne morale doit indiquer, par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception ou de façon dĂ©matĂ©rialisĂ©e, selon des modalitĂ©s prĂ©cisĂ©es par arrĂȘtĂ©, dans un dĂ©lai de quarante-cinq jours Ă  compter de l'envoi ou de la remise de l'avis de contravention, Ă  l'autoritĂ© mentionnĂ©e sur cet avis, l'identitĂ© et l'adresse de la personne physique qui conduisait ce vĂ©hicule, Ă  moins qu'il n'Ă©tablisse l'existence d'un vol, d'une usurpation de plaque d'immatriculation ou de tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure. Le fait de contrevenir au prĂ©sent article est puni de l'amende prĂ©vue pour les contraventions de la quatriĂšme classe. » Cet article rappelle l’obligation de dĂ©noncer le conducteur ayant commis une infraction routiĂšre. Il est possible de dĂ©signer l’auteur de l’infraction soit par l’envoi d’un courrier recommandĂ© ou directement sur le site internet de ANTAI Agence Nationale de Traitement AutomatisĂ© des Infractions. Les sanctions encourues C’est pour lutter contre le sentiment d’impunitĂ© chez certains conducteurs que cette mesure a Ă©tĂ© mise en place. En effet, une pratique assez rĂ©pandue consistait pour les entreprises Ă  payer l’amende en cas d’infraction commis avec un vĂ©hicule de la sociĂ©tĂ© sans pour autant dĂ©signer le conducteur. Celui-ci Ă©chappait alors au retrait de points pourtant prĂ©vu dans la rĂ©glementation et pouvait ainsi conserver tous ses points de permis. En ne respectant pas l’obligation de dĂ©noncer le conducteur qui a commis l’infraction, le dirigeant et la sociĂ©tĂ© sont passibles d’une contravention pour non-dĂ©signation du conducteur. Le montant de l’amende forfaitaire est fixĂ© Ă  675 €, minorĂ©e Ă  450 € si le paiement intervient dans les 15 jours et majorĂ©e Ă  1875 € en cas de non-paiement dans le dĂ©lai imparti. Il faut aussi savoir que les amendes adressĂ©es aux sociĂ©tĂ©s sont 5 fois plus Ă©levĂ©es que celles adressĂ©es Ă  leurs dirigeants. Quand un avis est envoyĂ© au nom de la sociĂ©tĂ©, son montant peut atteindre 3750 €. Que faire Ă  la rĂ©ception d’un avis de contravention ? Le reprĂ©sentant lĂ©gal de la personne morale n’a pas l’obligation absolue de dĂ©noncer un conducteur. LĂ©galement s’il ne le fait pas, il s’expose Ă  une amende et sa sociĂ©tĂ© encourt Ă©galement une amende. Lorsqu'il reçoit la contravention, il a 3 choix 1. DĂ©signer le conducteur qui a commis l’infraction À la rĂ©ception d’un avis de contravention concernant un vĂ©hicule dĂ©tenu par une sociĂ©tĂ©, le reprĂ©sentant lĂ©gal dispose de 45 jours pour dĂ©signer le conducteur qui Ă©tait au volant. Il doit transmettre les informations suivantes l’identitĂ© du conducteur, sa date de naissance, son adresse, la rĂ©fĂ©rence de son permis de conduire. Il peut communiquer ces informations par voie postale ou par voie dĂ©matĂ©rialisĂ©e. 2. Contester l’infraction La contestation de l’infraction est possible dans diffĂ©rents cas. Par exemple, si le vĂ©hicule a Ă©tĂ© volĂ©, vendu, dĂ©truit ou en en cas d'usurpation de plaque d'immatriculation. Pour appuyer la contestation, en fonction de la situation il faudra fournir Ă  l’administration des piĂšces justificatives comme le rĂ©cĂ©pissĂ© du dĂ©pĂŽt de plainte, la dĂ©claration de cession du vĂ©hicule ou encore un rĂ©cĂ©pissĂ© de prise en charge pour destruction du vĂ©hicule. La rĂ©alitĂ© de l’infraction ou tout autre Ă©vĂ©nement de force majeure peuvent faire l’objet d’une contestation, dans ce cas elle s’accompagnera d’une consignation. 3. Payer l’amende En payant l’amende, le reprĂ©sentant lĂ©gal reconnait l’infraction toutefois il risque de recevoir une amende de quatriĂšme classe pour non-dĂ©nonciation du conducteur. Dans le cas oĂč c’était le dirigeant de la sociĂ©tĂ© lui-mĂȘme qui Ă©tait au volant du vĂ©hicule au moment de l’infraction, s’il veut Ă©viter de recevoir une contravention pour non-dĂ©signation, il doit s’abstenir de payer l’amende mais se dĂ©noncer lui-mĂȘme. Il doit attendre de recevoir un avis de contravention Ă  son nom pour rĂ©gler la somme due. Quelles sont les infractions concernĂ©es ? Toutes les infractions ne sont pas concernĂ©es par l’obligation de dĂ©noncer le conducteur qui a commis l’infraction. Les infractions relevĂ©es Ă  partir d’appareils de contrĂŽle automatique homologuĂ©s ainsi que par vidĂ©o-verbalisation sont concernĂ©es. Il s’agit notamment des infractions suivantes les excĂšs de vitesse, le non-port de la ceinture de sĂ©curitĂ© ou du casque, le tĂ©lĂ©phone au volant, le non-respect de l’arrĂȘt au stop ou au feu rouge, le franchissement ou le chevauchement d’une ligne continue, le non-respect des distances de sĂ©curitĂ©, le stationnement ou de la circulation sur la bande d’arrĂȘt d’urgence, les dĂ©passements dangereux
 En savoir plus sur les autres infractions au code de la route Il faut savoir que conformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation, les infractions suivantes sont sanctionnĂ©es La circulation avec une fausse plaque d'immatriculationLa conduite avec un permis expirĂ©Le dĂ©tecteur de radarLe dĂ©faut de gilet jaune et du triangle de prĂ©-signalisationLe non-respect du marquage au sol jauneLe refus de payer un pĂ©ageLe dĂ©faut de contrĂŽle techniqueL’infraction pour pneu lisseLe dĂ©faut de carte griseLa non-prĂ©sentation de la carte griseLe non-changement de propriĂ©taire sur la carte griseLe non-changement d’adresse sur la carte griseLa plaque d'immatriculation illisibleLa non-prĂ©sentation de l’attestation d’assuranceLa mauvaise utilisation des feux de croisementLe non-respect de la rĂ©glementation relative aux siĂšges-autos gLvnCy6.
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