Distingués par leur exploit exceptionnel, ils ont marqué l’histoire du sport de haut niveau aux yeux au monde et ont fait de leur exploit une fierté pour leur pays d’origine et du continent. Découvrez notre sélection des athlètes africains hors du commun Hassiba BOULMERKA – ALGERIE Grande spécialiste des courses de demi-fond . Cette immense athlète fut la première sportive, hommes et femmes confondus à remporter la médaille d’or olympiques lors des Jeux Olympiques de Barcelone en 1992. La native de Constantine est indéniablement, la première médaillée d’or pour le sport algérien et africain. Hicham EL GUERROUY – MAROC Véritable star dans sa discipline et en dehors des pistes. Hicham EL GUERROUY a marqué ce sport de sa foulée légendaire, mais aussi de ses records 1500m et 2000m. Multiple champion du monde, il sera dans le panthéon de ce sport en 2004 aux Jeux Olympiques, deux médailles d’or sur 1500m et 5000m. Haile GEBRESELASSIE – ETHIOPIE Courir pour se rendre à l’école, puis courir pour atteindre les sommets. Monsieur GEBRESELASSIE a tout raflé sur son passage 8 fois champion du monde ; recordman du 2000 m; 2 fois médaillé d’or aux Jeux Olympiques. Son sourire et sa classe ont illuminé le monde du sport. Franckie FREDERICKS – NAMIBIE Franckie FREDERICKS, éternel second avec une foulée parfaite et une technique irréprochable. Il est le Poulidor Africain toujours bien présent dans les grands rendez-vous mais toujours second. Il reste le premier dans nos cœurs. CASTER SEMENYA – AFRIQUE DU SUD Courir pour être une femme. Décriée, discriminée, Caster SEMENYA n’en est pas moins une championne. Malgré les polémiques, elle sort chaque fois plus forte. Double championne olympique et triple championne du monde, elle est une référence dans ce sport. Mais surtout, une preuve de courage pour tous ceux qui se battent avec leur différence. Nourredine MORECELI – ALGERIE Spécialiste de demi-fond, il remporte tout sur son passage au championnat du monde et d’Afrique. Il reçoit le Graal en 1996 à Atlanta Etats-Unis, il devient le premier homme algérien, médaillé olympique. Il obtient en 1994, le titre d’athlète de l’année, lui permettant de donner un attrait de ce sport. Françoise MBANGO – CAMEROUN Oubliez Samuel ETO’O ET Roger MILLA , laissez place à la seule athlète homme et femme confondu à avoir remporté un titre olympique en 2004 à Athènes Grèce et en 2008 à Pékin Chine. Cette championne a fait retentir aux oreilles du monde entier, l’hymne du Cameroun dans sa discipline le triple saut. Murielle AHOURE – COTE D’IVOIRE Belle, féline pétillante non Murielle AHOURE n’est pas un top model maisbien une athlète de haut niveau qui a su au fil des années se hisser au rang des plus haut. Championne du Monde en salle sur 60m en 2018, ces prochains Jeux Olympiques seront l’occasion de prendre l’or. Taoufik MAKLOUFI – ALGERIE Il est en train d’écrire l’une des plus belles pages du sport algérien. Champion d’Afrique, vice champion du monde et le titre suprême la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Londres. Partout, où il est passé, il a marqué les esprits. Et vous, citez nous votre top 3 des vos athlètes africains préférés ? Commentez sous cet article et taguez-nous également sur instagram lemondeduwax
Lathlète paralympique Pauline Déroulède a critiqué dans les colonnes du Parisien les différences de traitement entre les deux cérémonies d'ouverture prévues par le COJO en 2024. Géraldine Letz est chercheuse en sciences de l'information et de la communication à l’université de Lorraine. Elle est spécialisée sur la question du sport et du handicap. Selon l’universitaire, la visibilité réduite des Jeux paralympiques s’explique en partie par leur émergence tardive. La première session s’est, en effet, tenue à Rome en 1960. Un suivi médiatique s’est ensuite progressivement mis en place, mais de manière sporadique. C’est à partir des années 2010 que les médias commencent à porter un réel intérêt aux Jeux paralympiques. Davantage de moyens sont mis en œuvre pour relayer l’actualité des Jeux. ►►► Retrouvez en cliquant ici tous les articles des Grenades, le média de la RTBF qui dégoupille l’actualité d’un point de vue féministe Deuxième frein à la visibilité médiatique de l’événement l’aspect économique, explique Géraldine Letz. Les Jeux olympiques et paralympique s’inscrivent dans une logique de sport spectacle, par conséquent, les médias investissent de l’argent et attendent qu’il y ait un retour sur investissement. Les industries médiatiques craignent un désintérêt du public, du fait du manque de connaissance sur certaines disciplines ou du manque de connaissance sur le handicap. Pour la chercheuse, la problématique centrale des médias est "Comment mettre en avant des corps qui ne répondent pas aux moules normatifs de la société ?". L’enjeu est de permettre une visibilité "accessible et compréhensible par tous". Trouver l’angle juste Autre enjeu médiatique mettre en scène et filmer les personnes en situation de handicap sans tomber dans le pathos. "Lorsqu’on voit des reportages à la télévision, ça peut vite aller dans le pathos si le handicap fait suite à un accident", détaille l’universitaire. Pour les Jeux de Londres en 2012, le Royaume-Uni a décidé de filer la métaphore du super-héros. Avec la chaîne publique Channel 4, le pays a organisé une campagne de publicité massive sur la thématique “Meet the Superhumans”. En 2016, le modèle est repris pour les Jeux de Rio en ajoutant une ouverture sur la vie quotidienne. Pour la chercheuse, l’objectif est de montrer "que l’approche capacitaire n’est pas seulement dans le stade, mais que l'athlète est une personne comme une autre". Le fait de montrer les athlètes et de les identifier avec cette étiquette de héros permet de créer un modèle compréhensible par tous. "On connait tous un super-héros ou une super-héroïne et on sait ce que ça cache derrière, sur les blessures et la vie stigmatisée". Mais la métaphore est ambigüe elle permet certes une identification du public aux athlètes, cependant cela réduit les sportifs en situation de handicaps à ce statut. "Les athlètes avec qui j’ai discuté ne se considèrent pas comme des super-héros. Ils veulent être considérés comme des athlètes à part entière. Comme les athlètes valides, ils s’entraînent dur, sans forcément avoir les mêmes moyens derrière". Guillaume Gobert, le porte-parole du Belgian paralympic commitee BPC pointe également du doigt une couverture parfois inégalitaire des sportifs. "On voit que si l’athlète n’est pas connu, beaucoup dépend de son histoire d’où il a eu son handicap etc. Si l’histoire n’est pas très spectaculaire, il est vite moins intéressant". Le communicant se souvient de Marieke Vervoort. "L’athlète avait une histoire particulière, et donc des performances qui n'étaient peut-être pas importantes pour elle étaient médiatisées comme si elle avait gagné le championnat du monde". Le BPC prépare et envoie les athlètes aux Jeux paralympiques, aux compétitions internationales et aux championnats du monde. L’organisation s’est aussi fixée comme objectif de visibiliser le handisport en Belgique, afin que "toute personne en situation de handicap puisse pratiquer un sport à son niveau et inspirer autour de lui ou elle". ►►► Pour recevoir les informations des Grenades via notre newsletter, n’hésitez pas à vous inscrire ici Une visibilité accrue En 2012, alors que les Jeux olympiques sont largement diffusés, les Jeux paralympiques fin août attirent moins les caméras. De nombreuses contestations éclatent et dénoncent le manque de couverture médiatique. "La cérémonie d’ouverture et de clôture ainsi qu’un match de cécifoot avaient été les seules diffusions sur France Télévision", précise Géraldine Letz. Pour les Jeux suivants à Rio, il y a un effort médiatique. Plusieurs centaines d’heures des Jeux sont diffusées sur la chaîne publique française. On n’est plus pris comme des handisportifs, on est pris pour des sportifs En Belgique, les Jeux ont commencé à être suivis à partir des Jeux de Londres, retrace Guillaume Gobert. Aujourd’hui, il remarque une vraie évolution dans la couverture des Jeux. Les moyens mis en place augmentent on envoie davantage de journalistes. "On voit une très grande différence entre Londres [...] et Tokyo. La dernière update, c’est qu’on aura huit équipes de télévision à Tokyo". Les dispositifs mis en place par les médias aussi ont évolué. " La RTBF va faire des directs chaque jour, pendant plusieurs heures. La VRT prépare plusieurs directs en télévision et en ligne. [...] Ils font beaucoup plus qu’avant". Le porte-parole remarque également une meilleure médiatisation du handisport en dehors des périodes de Jeux. Bien qu’en télévision, cela soit encore rare, de plus en plus de directs en ligne diffusent des compétitions de handisport. Joachim Gérard, est classé troisième au ranking mondial de tennis en chaise. En août, il participera aux Jeux paralympiques pour la quatrième fois. Avoir de la visibilité médiatique est primordial pour l’athlète. "C’est un cercle vertueux. Ça me permet d’avoir des sponsors, les sponsors permettent d’avoir de l’argent, l’argent permet d’avoir des résultats et les résultats permettent d’avoir de la médiatisation". Comment mettre en avant des corps qui ne répondent pas aux moules normatifs de la société ? Mais ce même cercle peut devenir vicieux sans médiatisation, il y a un accès plus difficile aux sponsors. Il a observé l’évolution de sa couverture médiatique et celle du handisport. "On n’est plus pris comme des handisportifs, on est pris pour des sportifs. On voit le changement dans les médias mais aussi dans le regard des spectateurs". Satisfait de sa médiatisation, il déplore tout de même un manque d’intérêt pour le handisport plus largement. "Je pense que la couverture médiatique pourrait être beaucoup plus répandue à d’autres athlètes qui ont d’aussi bons ou de meilleurs résultats que moi. Sur ce point, je suis déçu. La médiatisation s’arrête à un ou deux sportifs, alors que tous le mériteraient". Et les femmes ? Une étude de l’UNESCO en 2018 révèle qu’en sport, les femmes ne reçoivent que 4% de la couverture médiatique. Les Jeux olympiques est l’un des rares moments où les sportives valides font la une. Mais quelle une ! Le rapport montre également que leur médiatisation est stéréotypée et sexiste. Les articles se focalisent sur leur apparence et leur vie privée. Ils valorisent le physique des sportives au détriment de leurs performances. Cette couverture complique l’héroïsation de ces athlètes. Les termes les plus souvent associés aux sportives valides dans les médias sont "âgée", "enceinte" ou "mariée", selon une étude de Cambridge de 2016 sur les médias anglophones. Quant aux hommes, ce sont les termes "fort", "grand" ou "rapide". On joue encore un peu sur les clichés attachés au corps féminin. On joue sur l’érotisation du corps féminin, sur la féminité. L’image de la mère aussi. Les articles et les photos vont s’attacher à ça Les para-athlètes féminine cumulent les problématiques médiatiques liés à leur statut de femme, ainsi que ceux liés à leur statut d’athlète en situation de handicap. A l’instar des athlètes paralympiques hommes, ces sportives sont sujettes à une visibilité médiatique moindre ; et comme les athlètes valides femmes, elles rencontrent une couverture médiatique centrée sur leur vie quotidienne et leur physique. Pour Géraldine Letz, "on joue encore un peu sur les clichés attachés au corps féminin. On joue sur l’érotisation du corps féminin, sur la féminité. L’image de la mère aussi. Les articles et les photos vont s’attacher à ça. Pour beaucoup d’athlètes avec prothèse, on est dans la mise avant de la féminité. Dans les photos, la prothèse est soit façonnée de façon artistique ou soit gommé par la mise en scène". La chercheuse a étudié le cas de Marie-Amélie Lefur, para-athlète et aujourd’hui présidente du Comité paralympique et sportif français. Elle explique que la sportive "avait un tatouage papillon sur le ventre et de nombreuses photos étaient centrées sur ça". Mais l’universitaire convient que l’érotisation de l’athlète est moins présente depuis les Jeux de Tokyo.- Δሒ ниሺоζበво θ
- Уձиψячιшጲр вυտθሌሀ ጮβխղուգ щոзጥд
- Иρаդεኪ оշи уտեդխшуνа
- К слуκоጬ итвеնут
BrunoGénard (pentathlon) trouve une grande différence entre les J.O. et les autres compétitions : - On vit avec des Français, on entre dans d'autres disciplines. C'est à la fois beaucoup plus sympathique et beaucoup plus
LesJeux équestres mondiaux (en anglais, World Equestrian Games ou JEM) se disputent une fois tous les quatre ans, en année paire, en alternance avec les Jeux olympiques.Ils regroupent en un même lieu et sur une période donnée les championnats des huit disciplines équestres reconnues par la Fédération équestre internationale (FEI). ). Organisés pour la première fois àBudapest en 2017), la fréquence des évènements (Jeux Olympiques tous les 4 ans, Championnats du monde tous les ans ou deux ans) et le mode de sélection des judokas (appartenir à la ranking list ou non), ont amené à comparer les Jeux Olympiques entre eux et les Championnats du Monde entre eux. Ànoter que dans le but de préparer au mieux ces Jeux olympiques, les clubs soviétiques, est-allemands (sic), roumains et hongrois n'ont pas participé à la Coupe d'Europe des clubs champions.Si les meilleures nations parviennent à se qualifier, l'Allemagne de l'Est, finaliste du Championnat du monde 1974, est éliminée à la différence de buts par l'Allemagne de dXhEHUl.