AliAbabwa Ă genoux, prosternez-vous Soyez ravis Pas de panique, on se calme Criez vive Ali Salaam Venez voir le plus beau spectacle d'Arabie Prince Ali Plus fort que lui Je n'en connais
Faites place au Prince Ali! Quelle grĂące, le Prince Ali! Bande de veinards, dĂ©gagez le bazar Et vous allez voir ce que vous allez voir Venez applaudir, acclamer La superstar FĂȘtez ce grand jour Clochettes et tambours Venez adorer l'idole Prince Ali! Sa seigneurie! Ali Ababwa Ă genoux, prosternez-vous Soyez ravis Pas de panique, on se calme Criez vive Ali Salaam Venez voir le plus beau spectacle d'Arabie Prince Ali Plus fort que lui Je n'en connais pas Qui vous porte d'Abu Dhabi Ă bout de bras Il a vaincu une armĂ©e Tout seul avec son Ă©pĂ©e La terreur des ennemis C'est Prince Ali Il a cent trois chameaux et chamelles Ne sont-ils pas mignons, Simone? Une caravane de paons qui se pavanent Oh! oui, Thierry, j'adore leurs plumes! Des gorilles qu'ils protĂšgent de leurs ailes Ce zoo est un souk Cornes de bouc, c'est une super mĂ©nagerie! Prince Ali, oui c'est bien lui, Ali Ababwa Quel physique! C'est magnĂ©tique Il est charmant Il y a du monde au balcon Moi j'ai du voile au menton Et tout le s'evanouit pour prince ali Venez voir ses deux cents singes persans Ses singes persans, ses singes persans C'est payant! Et pourtant c'est gratuit C'est un trĂ©sor, un vrai trĂ©sor Serviteurs et esclaves travaillent pour lui Fiers de le servir C'est le plus grand, on lui obĂ©it Mais chacun donnerait sa vie pour Ali! Vive Ali! Prince Ali! Oui, c'est bien lui! Ali Ababwa Est ici pour votre fille si jolie VoilĂ pourquoi en cortĂšge cet amoureux vous assiĂšge Avec trente Ă©lĂ©phants qui jouent les acrobates Des ours et puis des lions Au son du clairon Ses quarante fakirs, sa batterie de chefs Ses oiseaux qui crient Faites place au Prince Ali!
Jepeux ressentir que mon amour pour toi est de plus en plus intense. Au revoir, mon ami, je te dis au revoir Je sens une douleur dans mon coeur Oh je t'aimerai toujours Il est maintenant temps de partir. Nouns nous reverrons toujours S'il te plaßt, dis-moi que c'est écrit dans les étoiles Nous nous reverrons toujours S'il te plaß, dis-moi
BTS a une discographie si large et variĂ©e, avec leur style de musique en constante Ă©volution Ă chaque sortie. Peut-ĂȘtre avez-vous une chanson de leur choix qui vous rend toujours heureux ou peut-ĂȘtre quâil y a une chanson en particulier qui vous donne la chair de poule Ă chaque fois que vous lâentendez parce que vous vous y associez tellement. Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ demandĂ© quelle chanson de BTS correspond Ă votre personnalitĂ©? RĂ©pondez Ă notre quiz ci-dessous et dĂ©couvrez-le! Credits to Color Coded Lyrics pour les traductions lyriques. Quelle chanson avez-vous? Ătait-ce exact? Faites-nous savoir dans les commentaires ci-dessous! vb2608 est un amoureux de la K-pop et de Shawol depuis longtemps. Une Ă©crivaine en herbe et obsĂ©dĂ©e par la K-beauty, vous pouvez en voir plus sur Instagram. Que ressentez-vous cet article?
Unepublication partagĂ©e par AngeÌle (@angele_vl) le 26 Oct. 2020 Ă 2 :00 PDT. Lâune est britannique, lâautre belge. Et Ă respectivement 25 et 24 ans, ces deux artistes cartonnent
Le petit ami de l'adolescente tuĂ©e Ă ClessĂ©a avouĂ© le meurtre en garde Ă vue. Le petit ami de l'adolescente dĂ©couverte sans vie ce jeudi matin sur un chemin de la commune de ClessĂ© SaĂŽne-et-Loire a avouĂ© en garde Ă vue l'avoir tuĂ©. Le garçon prĂ©sentait des lĂ©sions et des traces de coupure sur les mains, selon le procureur de la RĂ©publique de MĂącon, . \ud83d\udd34 ClessĂ© les dĂ©clarations du petit ami de l'adolescente confirment "qu'il a commis les faits d'homicide volontaire", selon le procureur â BFMTV BFMTV June 9, 2022 A lire aussi Une ado de 13 ans retrouvĂ©e poignardĂ©e Ă la gorge derriĂšre une Ă©cole, son petit ami ĂągĂ© de 14 ans placĂ© en garde Ă vue Le suspect, qui "n'a pas d'antĂ©cĂ©dents judiciaires", a racontĂ© aux enquĂȘteurs avoir donnĂ© rendez-vous Ă la victime, puis lui avoir assĂ©nĂ© trois coups de couteau. Son corps prĂ©sentait "plusieurs dizaines de traces de coups de couteau sur le haut du corps, les Ă©paules, le visage et le cou. Le couteau est restĂ© plantĂ© dans la gorge de la jeune fille", rĂ©sume Eric Jallet. Jeune fille retrouvĂ©e poignardĂ©e Ă ClessĂ© "Le gardĂ© Ă vue n'a pas d'antĂ©cĂ©dents judiciaires" annonce le procureur de la RĂ©publique de MĂącon \u2935\ufe0f BFMTV BFMTV June 9, 2022 "Par le passĂ©, le garçon avait eu des paroles inquiĂ©tantes" Le jeune couple avait "depuis le dĂ©but de la semaine, lâhabitude de se retrouver entre minuit et quatre heures dans le village de ClessĂ©. Les amis expliquaient que ce garçon avait eu par le passĂ© des paroles inquiĂ©tantes", Ă©voquant lâidĂ©e de vouloir tuer la jeune fille, ajoute le parquetier. "Les reconnaissances des faits par le gardĂ© Ă vue doivent donner lieu Ă des auditions plus prĂ©cises. En tout Ă©tat de cause, la qualification retenue est celle d'un assassinat", a-t-il prĂ©cisĂ©. Un crime punissable de rĂ©clusion criminelle Ă perpĂ©tuitĂ© pour les majeurs mais rĂ©duit Ă 20 ans pour les mineurs, a conclu Eric Jallet.
Ilest dans le desert avec son dromadaire Personne ne connait cette chanson ? Je ne sais meme pas d'ou elle vient j'ai juste entendu une fois quelqu'un la chanter - Topic Ali mon
Page d'accueil Paroles Et Traductions Classements Musicaux Statistiques Gains Acheter La Chanson Regarder sur Youtube Pays arabie saoudite AjoutĂ©e 01/08/2019 Titre original de la chanson Ali Ben Mohammed ⊠Anany - Lyrics ŰčÙÙ ŰšÙ Ù
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ۧŰȘ Reportage [Ajouter un artiste associĂ©] [Supprimer l'artiste liĂ©] [Ajouter des paroles] [Ajouter la traduction des paroles] Il s'agit d'une prĂ©vision globale pour une valeur nette de 'Anany', rĂ©alisĂ©e par Ali Ben Mohammed. La chanson "Anany" a Ă©tĂ© soumise sur 01 aoĂ»t 2019. Les Revenus EstimĂ©s $527 $474 - $580 DerniĂšre Mise Ă Jour 17/08/2022 La fourchette ci-dessus montre une estimation basĂ©e sur une Ă©valuation gĂ©nĂ©rĂ©e par des informations publiques sur les parrainages ou d'autres sources trouvĂ©es sur Internet. Il s'agit d'une approximation des revenus compilĂ©s par nous et peut ne pas correspondre au montant rĂ©el. plus. Online users now 953 members 663, robots 290
Damas Al-Cham, capitale de la Syrie, est lâune des plus anciennes citĂ©s du monde. Damas, sa riviĂšre Barada, son mont Qassioun, ses jardins, sa mosquĂ©e des Omeyyades, ses Ă©glises, ses remparts, ses palais et ses caravansĂ©rails, ses ruelles couvertes bordĂ©es de boutiques et ses souks, ses maisons traditionnelles, ses quartiers, ses artisans et ses
Le parcours dâ Yvonne Sterk, la premiĂšre femme fĂ©dayine europĂ©enne, dĂ©crit par Lucas Catherine Vereertbrugghen dans le livre âVerre kusten van verlangenâ âLointains rivages du dĂ©sirâ. Yvonne Sterk a dĂ©butĂ© sa carriĂšre comme auteure. Elle est nĂ©e en 1920 et a grandi dans la Campine du Maasland. Son pĂšre travaillait Ă lâadministration du charbonnage dâEisden. Yvonne y allait Ă lâĂ©cole, encore en français, Ă lâĂ©poque. Elle nâaimait rien tant que dâĂȘtre Ă©loignĂ©e de chez elle et dâerrer dans les bois et les bruyĂšres. Par frustration, elle sâĂ©tait mise Ă Ă©crire, surtout des poĂšmes sur la nature. En 1944, elle Ă©pousait le fils dâun boulanger, pour ensuite dĂ©mĂ©nager Ă Bruxelles. Il sâavĂ©ra que son mari Ă©tait un propre Ă rien. La poĂ©sie Ă©tait devenue sa consolation. Ă Bruxelles, elle frĂ©quentait les salons littĂ©raires, est devenue membre du Pen Club et a publiĂ© ses premiers recueils Les chemins de lâabsence 1953, Le bouleau noir et Pour un mĂȘme rĂ©veil, des poĂšmes ancrĂ©s dans le paysage de la Campine, mais Ă©galement inspirĂ©s par le cosmopolitisme de la rĂ©gion miniĂšre. Opgrimbie en Campine La nuit parfois est espagnole. Elle promne ses guitares dans le mauve pays dâautomne. Lâoeil Andalou de pleine lune se lĂšve ici tout comme autrefois. Federico Garcia Lorca, comme lâamour en ce temps là ⊠La nuit glisse une rose rouge, du mĂȘme rouge que ton chant, dans les cheveux sombres du vent. Le terreau profond se rĂ©veille au nom qui vibre sous ses doigts. Jusquâen ses oiseaux lâarbre bouge quand la nuit se souvient de toi⊠La nature campinoise allait continuer Ă transparaĂźtre, mĂȘme si, plus tard, ses thĂšmes allaient ĂȘtre plus arabes. Yvonne bĂ©nĂ©ficia dâune reconnaissance littĂ©raire et participa Ă la Biennale internationale de poĂ©sie, Ă Knokke. Par hasard, dans un journal, elle lut quelque chose sur un poĂšte des plus remarquables, lâĂ©mir de Charjah, une principautĂ© sur le golfe Persique. Le cheikh Saqr bin Sultan al Qasimi rĂ©pondit que, peu de temps auparavant, il avait Ă©tĂ© en Belgique, pour lâexposition universelle de 1958. Il lâavait bel et bien visitĂ©e. Mais, nâempĂȘche quâelle Ă©tait la bienvenue dans son pays dont on dirait quâil vient Ă peine dâĂȘtre créé par Dieu ». Yvonne rĂ©pondit que ses bois et bruyĂšres du Limbourg Ă©taient Ă©galement pareils et elle accepta de bon cĆur lâinvitation. Sa grande aventure arabe dĂ©butait. Depuis lâavion qui la transportait Ă Charjah, elle vit surgir la vaste Ă©tendue de sable et la cĂŽte du Golfe semblait parsemĂ©e dâĂ©toiles. Ă lâatterrissage, toutes ces Ă©toiles se muĂšrent en palmiers. LâĂ©mir nâĂ©tait pas chez lui. En toute hĂąte, il Ă©tait parti pour Beyrouth avec sa femme pour une opĂ©ration chirurgicale urgente. LâĂ©mir Saqr prit toutefois les frais dâavion dâYvonne Ă sa charge. Leur rencontre allait avoir dâimportantes consĂ©quences poĂ©tiques pour elle. Ses rĂ©percussions se traduisirent par son recueil Sabil al Ayun, Les dĂ©sirs de fontaine. Oasis Le Prince du silence a dans les yeux des oliviers, â O lâĂ©tĂ© debut dans les fleurs ! Je ne reconnais plus la couleur des pays oĂč me serrait le coeur aux pentes des collines Son sourire out le jour est la fraĂźcheur de nos vignes. DĂźtes-moi, les graviers tintants dans les sables blessĂ©s se sont-ils endormis quand sâest Ă©teint le chant jadis, de mes sandales ? Maintenant je marche pieds nus dans le parfum des fruits. Tout enfin me reste Ă donner. â Les dĂ©sirs de fontaine sont les grands chemins. Nos rĂȘves sont des oliviers cĂŽte Ă cĂŽte dans le soleil. Mon prince, le silence et un vin dâĂźle et de vent. Il reste la premiĂšre soif par les pluies Ă regret dĂ©faites de leur ciel. â O mon royaume retrouvĂ© ! Je rĂšgne dans ses mains. Debout sur la ville de corail il commande au soleil de replier ses nattes. Son regard est un pont sur la mer. Ouvrez la porte au jour. Le voici qui vient, brillant et calme, portant lâespoir comme un jeune faucon. Dâor pur sonne son chant sur les rives de santal. Lâamour et la crainte fleurissent son nom. Il est lâEMIR. Charja Sur un air lent, un chant arabe, une rouge libellule danse. Elle Ă©crit peut-ĂȘtre mon nom comme on le prononce Ă Doha. Peut-ĂȘtre est-ce ânây va pas, tout est perles Ă Sharja, tout est larmes et recommenceâ. Pythonisse libellule, efface et refais tes Ă©crits sur cet air lent, ce chant arabe, danse celle que je suis du regret et de lâespoir. Ecris mon nom dâun jour, de sable et, rouge et bref, mon temps de vie. Charjah Ă©tait un tout petit Ătat, qui fait partie aujourdâhui des Ămirats arabes unis, un port guĂšre plus grand quâOstende. Charja se trouve Ă droite au-dessus, Ă cĂŽtĂ© de Dubai Dans le temps nây vivaient que des pĂȘcheurs de perles et des pirates maritimes. La rĂ©gion Ă©tait alors connue sous le nom de cĂŽte des Pirates. De tout temps, Charjah et ses environs avaient Ă©tĂ© gouvernĂ©s par les Qawasim. Ces pirates sâĂ©taient Ă©galement Ă©tablis dans quelques petites Ăźles du Golfe et il y contrĂŽlaient la navigation. En 1829, sous la pression de leurs canonniĂšres, les Anglais obligĂšrent les Qawasim Ă signer un accord dĂ©finitif de collaboration. Aujourdâhui, en politique, dĂ©finitif » ne signifie pas Ă©ternel et, en 1965, les Britanniques mirent sous pression lâĂ©mir Saqr, prĂ©cisĂ©ment celui de rafiqa Yvonne, afin quâil reconduise le traitĂ©. Il refusa, car les Britanniques voulaient en mĂȘme temps Ă©tablir de nouvelles frontiĂšres et le priver de sa souverainetĂ© sur les petites Ăźles du Golfe appelĂ©es Grande Tunb, Petite Tunb et Abu Moussa. La navigation Ă travers le Golfe est dâune importance mondiale, tous les pĂ©troliers en route vers lâEurope y passent. Tant les Britanniques que les AmĂ©ricains estimaient quâil valait mieux quâune telle route maritime stratĂ©gique ne soit pas sous lâautoritĂ© dâun poĂšte et ancien pirate, mais quâelle soit plutĂŽt contrĂŽlĂ©e par leur alliĂ©, le shah dâIran. LâĂ©mir refusa de cĂ©der du territoire Ă lâIran, aprĂšs quoi les Britanniques le destituĂšrent promptement et lâexilĂšrent Ă BahreĂŻn. Gamal Nasser, Ă lâĂ©poque figure de proue du nationalisme arabe, lui offrit lâasile. Tout Arabe qui sâopposait Ă lâimpĂ©rialisme occidental Ă©tait plus que bienvenu au Caire. Câest lĂ quâYonne le retrouva, en 1966, au cours dâune rencontre internationale dâĂ©crivains. Petite chanson pour Mouna Oui ! Oui ! Câest le bonheur qui part sur sa felouque son rire est une fleur et dâambre est sa chibouque. OĂč sâen va-t-il ainsi quand jâattends quâil mâembarque au mitan de midi ? OĂč va-t-il ce monarque, cet Emir en aba, qui me fit la promesse de partir avec moi ? Il sâĂ©loigne et se presse. Oui, oui câest le bonheur qui sâen va sans mâattendre, mon Sheikh, mon beau Seigneur au front de coriandre. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, le cheikh Saqr en eut assez. Il rassembla une petite armĂ©e et dĂ©barqua Ă Charjah dans lâintention de reconquĂ©rir son trĂŽne et les Ăźles. Il fut battu par les forces armĂ©es des Ămirats et emprisonnĂ© Ă Abu Dhabi. On sait peu de chose sur ce quâil advint de lui par la suite. Chercher sur Internet fournit toutefois une surprise. Sa fille, Cheikha Hind bin Saqr al Qasimi est elle aussi une poĂ©tesse et, Ă lâoccasion de la parution de son recueil Wahj al Lahib LâĂ©clat de la flamme, elle raconta dans une interview que son pĂšre lui avait appris Ă faire de la poĂ©sie. CâĂ©tait un grand poĂšte. CâĂ©tait. Câest avec Sabil al Ayun, Les dĂ©sirs de fontaine, quâYvonne Sterk se fit connaĂźtre dans le monde arabe. Et ainsi, en janvier 1967, elle fut invitĂ©e par lâuniversitĂ© de Bagdad. Ă lâĂ©poque, Bagdad Ă©tait, aprĂšs le Caire, la capitale littĂ©raire des Arabes. Les Ă©tudiants lâinterrogĂšrent non seulement sur la littĂ©rature, mais aussi sur la politique. Que pensait-elle de la cause palestinienne ? Yvonne dut admettre quâen fait, elle nâen savait rien. Les choses allaient changer. En avril 1967, Ă Beyrouth, elle participa Ă une confĂ©rence internationale de solidaritĂ© concernant la Palestine et elle y rencontra des Ă©crivains palestiniens connus comme Ghassan Kanafani et la poĂ©tesse Fadwa Tuqan. Le congrĂšs en soi ne lui disait pas grand-chose. Trop officiel et surtout trĂšs ennuyeux. Elle prit le bus de SaĂŻda, au Sud-Liban. Dans cette rĂ©gion, trois cent mille Palestiniens sâentassaient dans des camps de rĂ©fugiĂ©s. Elle tomba sur un petit groupe dâĂ©tudiants palestiniens qui Ă©tudiaient dans lâombre des ruines dâun chĂąteau des croisĂ©s. Les Ă©tudiants lâemmenĂšrent au camp de Nabatiya et, raconte Yvonne, câest lĂ que, pour la premiĂšre fois, la question palestinienne mâapparut trĂšs clairement. Lâun des garçons raconta comment, en 1948, ses parents â qui nâĂ©taient pas mariĂ©s â avaient achetĂ© une maison Ă Acre Akka, ou Akko, en IsraĂ«l. Tout autour, ils avaient amĂ©nagĂ© une roseraie mais, expliquait lâĂ©tudiant, mes parents nâont jamais pu profiter du parfum de ces roses. Avant que les arbustres aient pu fleurir une premiĂšre fois, ils avaient Ă©tĂ© chassĂ©s. » Saida Je tâapporte un tambour de terre. Des mains pauvres de potier lâont tournĂ© Ă Saida. Doucement, fais le rĂ©sonner. La peau fine de lâagneau dira lâexil et le filial espoir de ces enfants chassĂ©s, qui font, prĂšs de la mer, lever les blĂ©s futurs sur les ruines dâun chĂąteau croisé⊠De Rachaya Ă Tripoli, les orangers de la mĂ©moire parfument les feux des camps. Et lâon se parle de la terre oĂč sont couchĂ©s les vieux parents dans la mĂ©moire millĂ©naire, comme les cĂšdres du Liban. Prends le petit tambour, dĂ©livre sa voix sur la ville, qui secoue sa poussiĂšre dans lâabsence des questions. En juin 1967 Ă©clata la guerre de Six-Jours et IsraĂ«l conquit le reste de la Palestine Gaza et la Cisjordanie. Yvonne rapporta les Ă©vĂ©nements Ă partir de lâĂgypte pour lâagence de presse de lâĂ©poque, Opera Mundi. En mars 1968, elle se rendit en IsraĂ«l comme journaliste free-lance pour une agence de presse japonaise et elle visita JĂ©rusalem, qui venait dâĂȘtre conquise. Les IsraĂ©liens dĂ©truisirent le quartier arabe de Maghrebi et, en lieu et place, y amĂ©nagĂšrent une vaste place ouverte face au mur des Lamentations. Les cloches sont naĂŻves, fiancĂ©es de la lumiĂšre elles dansent quand, dĂ©jĂ , ce nâest plus dimanche. Les piocheurs travaillent sous la branche de lâolivier dâun jardin dynamitĂ©. Pierre Ă pierre tobment les siĂšcles pour la pierre introuvable de LĂ©vi. Sous son chĂąle, sous son chapeau, tu chantes faux, JĂ©rusalem, mais tu ne peux fausser la balance du temps. Les innocents tuĂ©s pĂšsent le mĂȘme poids et lâarme des tueurs est dâun mĂȘme arsenal. Un grand espace nu devant le Mur-des-pleurs et des danseurs sourds et aveugles qui ne protĂšge pas lâantique bouclier. De retour en Belgique, Yvonne Sterk devint membre dâun ComitĂ© Palestine Paix et Justice au Moyen-Orient, en compagnie de Marcel Liebman, Luc Sommerhausen et Isabelle Blum. Des socialistes de gauche et des communistes qui, durant la Seconde Guerre mondiale, se trouvaient dans la rĂ©sistance et qui, ensuite, soutinrent le FLN algĂ©rien dans la guerre anticoloniale contre les Français. Quand, en France, la rĂ©pression contre la direction du FLN devint trop sĂ©vĂšre, celle-ci se rĂ©fugia en Belgique et câest grĂące Ă ces personnes que ses membres purent se cacher Ă Bruxelles. Les AlgĂ©riens leur en seraient Ă©ternellement reconnaissants. Chaque annĂ©e, lâambassadeur dâAlgĂ©rie invite les survivants de ce rĂ©seau belge dans un restaurant bruxellois, le Tizi Ouzou. LâAlgĂ©rie et la Palestine Ă©taient les deux derniĂšres colonies du monde arabe. Elles se soutenaient mutuellement de façon intense. Aussi est-ce Ă Alger que les membres de Justice et Paix au Moyen-Orient rencontrĂšrent Yasser Arafat pour la premiĂšre fois, en dĂ©cembre 1969. Mais, au sein du comitĂ©, il y avait des signes de mĂ©contentement. Isabelle Blum voulait imposer la ligne du Parti communiste et la majoritĂ© des membres estimait quâelle suivait de trop prĂšs la ligne politique Ă©trangĂšre de Moscou. LâUnion soviĂ©tique ne critiquait pas fondamentalement lâĂtat dâIsraĂ«l, alors que la plupart des membres du comitĂ© le faisaient. Sous la direction de Luc Sommerhausen, ils fondĂšrent par consĂ©quent le ComitĂ© national Palestine, qui sâappuyait sur le programme politique du Front dĂ©mocratique pour la libĂ©ration de la Palestine. CâĂ©tait une organisation marxiste, créée au dĂ©but 1969, qui prĂŽnait des points de vue intĂ©ressants sur une Palestine future. Il ne fallait pas chercher la clartĂ© dans la plus grande association palestinienne, al Fatah de Yasser Arafat. Ă la mi-1969, quand je menai toute une sĂ©rie dâentretiens avec dâĂ©minents membres du Fatah, je me heurtai Ă un fourre-tout trĂšs bigarrĂ©. Ă droite, je parlai avec lâancien grand propriĂ©taire terrien Nashashibi. Pour lui, la libĂ©ration » de la Palestine consistait plutĂŽt en la rĂ©cupĂ©ration de ses avoirs fonciers. Ă lâextrĂȘme gauche, je rencontrai Anis Sayigh, qui faisait une analyse maoĂŻste de la situation. Avec un tel Ă©ventail dâopinions, on pouvait difficilement sâattendre Ă beaucoup de clartĂ© de la part du Fatah. Le Front dĂ©mocratique diffĂ©rait sur deux points essentiels du reste des treize partis palestiniens qui constituaient lâOLP Ă lâĂ©poque il voulait une Palestine socialiste et proposait aux IsraĂ©liens de langue hĂ©braĂŻque une alternative claire Ă lâĂtat colonial dâIsraĂ«l. De ce fait, le FD Ă©tait attrayant pour de trĂšs nombreux progressistes en Europe. Il proposait un Ătat binational, avec lâarabe et lâhĂ©breu comme langues nationales et avec des droits nationaux et culturels complets pour les Palestiniens arabes aussi bien que pour la communautĂ© juive hĂ©braĂŻque. * Aujourdâhui, en 2005, il sâavĂšre que câest toujours la seule solution rĂ©aliste car, entre-temps, les deux peuples se sont encore plus Ă©troitement mĂ©langĂ©s un cinquiĂšme des IsraĂ©liens sont arabes et quelques centaines de milliers de colons juifs vivent dans les territoires palestiniens ». Ce point de programme du FD est en contraste flagrant avec ce que le reste de la rĂ©sistance palestinienne proposait aux Juifs israĂ©liens un statut ottoman actualisĂ©, avec des droits religieux et liĂ©s aux individus dans un Ătat arabe de Palestine. Pour montrer clairement que ce ne seraient pas les anciens grands propriĂ©taires fonciers qui allaient dĂ©terminer lâavenir de la Palestine, le FD organisait dans ses bases en Jordanie des coopĂ©ratives oĂč on investissait en commun dans lâagriculture et les Ă©quipements sociaux. Les rĂ©fugiĂ©s palestiniens aussi bien que les paysans jordaniens autochtones pouvaient devenir membres de ces coopĂ©ratives. Aussi, en 1970, quand Yvonne Sterk voulut aller passer plus de temps parmi les Palestiniens, est-ce le FD quâelle rejoignit. Elle y travailla comme journaliste free-lance, photographe et fedayin. Quand les chaĂźnes de TV anglo-saxonnes lâinterviewĂšrent dans une base du FD, elle dĂ©fraya mondialement la chronique comme premiĂšre femme fedayin europĂ©enne ». La tĂ©lĂ©vision belge elle aussi reprit lâinterview et cela parut Ă la une des journaux. Cela ne la fit pas directement aimer de lâestablishment qui, Ă lâĂ©poque, se tenait Ă 100 pour 100 derriĂšre IsraĂ«l. Dans son interview, elle parlait des bombardements criminels israĂ©liens au phosphore et aux bombes Ă fragmentation contre les camps de civils palestiniens. Le mĂȘme ton se retrouve dans ses poĂšmes Ils Ă©taient tous en moi et pesaient dans mes os quand je parlais du vent, des bleuets, dâun ailleurs⊠Mais je nâavançais pas trĂ©buchant sur lâoubli, tombant en mon sommeil comme sâils Ă©taient tombĂ©s se figeant dans leurs cris. Il faut, avant la nuit qui vient Ă ma rencontre, que je lave leurs plaies que je ferme leurs yeux, les roule dans un drap le plus frais, le plus blanc, pour quâils puissent dormir bercĂ©s sur mes genoux. Depuis Amman, Yvonne fit des rapports pour la Ligue arabe et sporadiquement aussi pour un journal ou une revue de Belgique et, pour le Front dĂ©mocratique, elle y travailla surtout comme photographe. Sa photo la plus connue deviendra la photo emblĂ©matique du Front une manifestation de paysans palestiniens et jordaniens, en compagnie de jeunes fedayin, dans les rues dâAmman. Au premier plan, un vieillard qui a apportĂ© ses propres marteau et faucille et qui les brandit triomphalement au-dessus de la tĂȘte. Ă lâĂ©poque, le slogan Ă©tait âTariq al yasaarâŠtariq al nasrâ, ou la voie de gauche est la voie vers la victoire ». De temps en temps, la nostalgie remonte dans ses poĂšmes et elle Ă©crit sur sa rĂ©gion natale, sur la bruyĂšre campinoise Pourquoi ce crĂ©puscule qui flambe sur Damas vole-t-il sa splendeur au pays du genĂȘt ? En 1971, Yvonne Sterk est retournĂ©e en Belgique. La situation au Moyen-Orient avait nettement empirĂ©. Au cours du mois de Septembre noir, les troupes de BĂ©douins du roi Hussein avaient Ă©liminĂ© en grande partie les fedayin en Jordanie. Ceux qui le pouvaient encore sâenfuyaient au Liban. En Belgique, Yvonne milita au sein du ComitĂ© national Palestine et elle sâidentifia Ă la cause palestinienne. Elle y donnait des confĂ©rences, allant mĂȘme jusquâen Suisse. Elle prit sous sa tutelle un jeune Palestinien, aujourdâhui ingĂ©nieur en Espagne. Le fils Le fils qui ne mâest pas venu, Fatima lâavait mis au monde sur la plage des mimosas. CâĂ©tait en lâan cinquante-trois ; Il fut dĂ©posĂ© par cette autre dans une crĂšche Ă Gaza. A vingt ans je lâai reconnu ; il arrivait Ă ma rencontre pour se rĂ©fugier dans mes bras. Tant je lâavais portĂ© en moi, quâil Ă©tait Ă ma ressemblance sous le soleil brĂ»lant de froid. Il partit aussitĂŽt venu, faisant de moi comme au Calvaire, une mater-dolorosa. Yvonne reprit ses activitĂ©s Ă la biennale de poĂ©sie de Knokke et fit en sorte que quelques grands auteurs arabes y soient invitĂ©s Ghassan Kanafani, Fadwa Tuqan et le prince de la poĂ©sie arabe moderne, Adonis. Kanafani nâarriverait jamais Ă Knokke. Les services secrets israĂ©liens lâassassinĂšrent en 1972, devant son domicile Ă Beyrouth. En 1972, Yvonne collabora Ă un documentaire sur les cours dâeau du Sud-Liban et sur leur importance stratĂ©gique dans lâapprovisionnement en eau de la rĂ©gion. Câest ainsi quâelle entra en contact avec le dirigeant des Druzes libanais Kamal Joumblatt, qui Ă©tait en mĂȘme temps prĂ©sident du Parti socialiste et porte-parole de la gauche libanaise. Elle devint sa secrĂ©taire privĂ©e et sa partenaire de discussion Ă propos des religions. Les Druzes sont une secte Ă©sotĂ©rique. Leur foi est nĂ©e au onziĂšme siĂšcle en tant que scission de lâislam chiite. Le nombre de Druzes est fixĂ© Ă jamais. Il nâen vient pas de nouveaux et il nâen disparaĂźt pas. Leur nombre est constant. Chaque mort est directement rĂ©incarnĂ© en un nouveau Druze. Lâutime rĂ©incarnation consiste en une unification avec lâIntellect universel. De par sa foi druze, Kamal Joumblatt Ă©tait trĂšs intĂ©ressĂ© par lâhindouĂŻsme. En compagnie de Joumblatt et de son amie française, Yvonne se rendit Ă plusieurs reprises en Inde pour y Ă©tudier lâhindouĂŻsme. Les gourous Ă©taient alors trĂšs recherchĂ©s. En tant que secrĂ©taire privĂ©e, Yvonne vĂ©cut quelques annĂ©es au palais de la famille Joumblatt, Ă Mukhtara. Depuis des gĂ©nĂ©rations, les Joumblatt sont les dirigeants religieux et politiques des Druzes libanais. Le palais de Mukhtara a Ă©tĂ© construit en 1811 par lâĂ©mir Bashir Joumblatt. Les voyageurs le dĂ©crivaient Ă lâĂ©poque comme une succession de grandes salles, de cours intĂ©rieures, de fontaines, de bains, de jardins suspendus et de vastes chambres fraĂźches. Kamal y naquit en 1916. Ă lâĂąge de cinq ans, il perdit son pĂšre et il Ă©tait trop jeune pour lui succĂ©der. Sa mĂšre Sitt Nazira assuma la direction de la communautĂ© et sâopposa Ă la colonisation du Liban par les Français. Kamal lui succĂ©da en 1943. La religion druze est moins misogyne que dâautres religions du Moyen-Orient. Pourtant, le sĂ©jour dâYvonne Ă Mukhtara fit sensation. Les Druzes autour de Kamal la surnommĂšrent la seconde Lady Hester. Lady Hester Il faudrait mourir Ă Palmyre quand on est reine du vent. Mais rien nâest de ce quâon dĂ©sire, On lâa mise en terre au Liban. Parfois revient-elle Ă Palmyre par la piste des revenants ? A minuit la lune conspire Ă mĂȘler hier et avant. Est-ce la soie de son turban Qui miroite ainsi sur la mer ? Et nâest-ce pas son cafetan Quâagitent les remous de lâair ? Je mâimagine, lorsque je rĂȘve Ă Palmyre en me souvenant, que la rouge fleur de ses lĂšvres fut la rose du Soristan Lady Hester Stanhope 1776-1839 Ă©tait une dame de la noblesse britannique nourrissant des idĂ©es religieuses passablement bizarres. Elle pensait quâelle Ă©tait prĂ©destinĂ©e Ă devenir lâĂ©pouse dâun nouveau Messie et elle sâĂ©tablit au Moyen-Orient, oĂč elle sâhabilla et se comporta comme un homme. En tant que femme, elle traversa seule le dĂ©sert pour se rendre dans la ville en ruine de Palmyre. Cela fit assez impression sur les cheikhs bĂ©douins locaux qui, au lieu de piller sa caravane selon leur vieille habitude, la surnommĂšrent malika Hester », la reine Hester. Plus tard, elle alla vivre parmi les Druzes au Liban et sây lia dâamitiĂ© avec lâĂ©mir Bashir II. Elle mourut dans la solitude, entourĂ©e dâau moins trente serviteurs, en son chĂąteau de Djoun, dans les montagnes qui entourent SaĂŻda. En 1970, quand la rĂ©sistance palestinienne fut chassĂ©e de Jordanie, elle installa son quartier gĂ©nĂ©ral au Liban. La bourgeoisie libanaise chrĂ©tienne de droite ne vit pas dĂ©barquer ces musulmans et rĂ©volutionnaires dâun bon Ćil. La gauche libanaise si. Il se forma un important front national-progressiste de soutien Ă la rĂ©volution palestinienne. Kamal Joumblatt se posa en dirigeant de ce front. Il le resta dâailleurs aprĂšs le dĂ©clenchement de la guerre civile. Cela lui valut toute une sĂ©rie dâennemis, mĂȘme en dehors du Liban. Le 16 mars 1977, il fut assassinĂ©. Le 16 mars 1977 Le piĂšge Ă©tait tendu au tournant de la route les vignes arbitraient les tueurs Ă lâaffĂ»t. Mais ils ne savaient pas quâil sâĂ©tait levĂ© tĂŽt, avait rĂ©glĂ© ses comptes avec lâheure, le lieu et avec ses valets. Ils ne pouvaient pas savoir que lâon ne peut tuer un homme qui dĂ©jĂ Ă©tait mort Ă lui-mĂȘme. Celui qui gisait lĂ nâĂ©tait plus quâune image offerte en souvenir dâun Lazare inconnu. Cela signifia la fin du sĂ©jour dâYvonne au Liban et son retour en Belgique. Yvonne est retournĂ©e vivre dans une petite maison de la citĂ© miniĂšre dâEisden, de nouveau parmi les genĂȘts et le sable de la bruyĂšre. Bibliographie Les chemins de lâabsence, poĂšmes, Ăditions Debresse, Paris, 1954 Le bouleau noir, poĂšmes, Ăditions Le Coup de Lune, Bruxelles, 1955 Choix de poĂšmes, Ăditions Lâanthologie de lâaudiothĂšque, Bruxelles, 1961 Les dĂ©sirs de fontaine, poĂšmes, Ăditions Unimuse, Tournai, 1965 Pour un mĂȘme rĂ©veil, poĂšmes, Ăditions AndrĂ© De Rache, Bruxelles, 1965 Le rempart de sable, Amay LâArbre Ă Paroles, 2002. PrĂ©face de Jean Dumortier. Extrait du livre de Lucas Catherine Vereertbrugghen âVerre kusten van verlangenâ âLointains rivages du dĂ©sirâ, EPO, 2005 Traduction Jean-Marie FlĂ©mal. Publication avec lâaimable autorisation de lâauteur. Yvonne Sterk est dĂ©cĂ©dĂ©e le 27 juillet 2012, Ă lâĂąge de 92 ans, dans une maison de repos. * NDLR Une critique sĂ©vĂšre est faite Ă propos de lâĂ©volution du Front DĂ©mocratique dans lâarticle AprĂšs Wadie Haddad La guerre contre la terreur» et la rĂ©sistance Le Front dĂ©mocratique pour la libĂ©ration de la Palestine figurait initialement sur la liste des terroristes » en tant quâopposant au processus dâOslo ; il a Ă©tĂ© retirĂ© en 1999, suite Ă des garanties prĂ©tendument reçues par les Ătats-Unis par lâentremise du prĂ©sident de lâAP Arafat, dans le cadre des pourparlers en cours, garanties selon lesquelles le FDLP Ă©tait dĂ©sormais disposĂ© Ă revoir son approche politique dâOslo, de lâAutoritĂ© palestinienne et de lâĂtat israĂ©lien. Lucas Catherine Lucas Catherine est un auteur bruxellois spĂ©cialiste du monde arabe, de la colonisation, des relations entre civilisation occidentale et autres cultures. Il a vĂ©cu Ă Khartoum, Rabat et Dar es Salam. Parmi ses nombreux livres LâIslam Ă lâusage des incroyants » EPO, 1998, Palestine, la derniĂšre colonie ? » EPO 2003, Gaza » EPO, 2009, Promenade au Congo petit guide anticolonial de Belgique » CADTM, 2010, Le lobby israĂ©lien » EPO, 2011. Trouvez ici dâautres articles de Lucas Catherine, publiĂ©s sur ce site. Trouvez ici dâautres textes, poĂšmes dâYvonne Sterk ou articles la concernant, Ă©galement publiĂ©s sur ce site
Onne dit pas "un perroquet" mais "mon papa est d'accord". On ne dit pas "un match interminable" mais "une rencontre entre de mauvais joueurs". On ne dit "l'idole des jeunes" mais Johnny casse la croute. On ne dit pas "bosser à la chaßne" mais travailler à la télé . On ne dit pas "Le ton monte" mais la fille moche prend l'ascenseur ! On ne dit pas "une route à deux voies" mais "une
Paroles de la chanson Nuits D'Arabie par Aladdin Moi je viens d'un pays de dĂ©sert infini, OĂč les caravanes rĂȘvent et flĂąnent. OĂč, pendant ton sommeil, Les serpents t'ensorcellent ! C'est bizarre çà ? Mais, eh, c'est chez moi ! Quand le vent vient de l'Est, Le soleil est Ă l'Ouest, Et s'endort dans les sables d'or... C'est l'instant envoĂ»tant, Vole en tapis volant, Vers la magie des nuits d'Orient ! Oh nuits d'Arabie, Mille et une folies. Insomnie d'amour, Plus chaude Ă minuit Qu'au soleil, en plein jour ! Oh nuits d'Arabie, Au parfum de velours. Pour le fou qui se perd, Au coeur du dĂ©sert, Fatal est l'amour !
FIPsv. a5hlbxswye.pages.dev/376a5hlbxswye.pages.dev/185a5hlbxswye.pages.dev/450a5hlbxswye.pages.dev/266a5hlbxswye.pages.dev/2a5hlbxswye.pages.dev/127a5hlbxswye.pages.dev/432a5hlbxswye.pages.dev/315
ali mon ami est en arabie chanson